Chapitre 5 : Une sorte de mafia espagnole

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    ¡ Alonzo ! ¡ Juan ! Venir aquí finalmente los encontramos.

   Ok, pour une fois, Deb a peur ! J'ai l'impression d'être dans un rêve. Peut-être a-t-elle été droguée ? Je me rassure en me disant que Nick a peur, il tremble comme une personne âgée !

   Les fameux Alonzo et Juan arrivent dans le bureau de leur patron. Et ce sont les deux espagnols qui nous on ligoté qui entrent, sans leurs objets de torture... Ça m'a soulagée jusqu'à que le chef dit :
"On va pas aller pas quatre chemins. Tout ce que vous voyez, entendez, faîtes, vous ne le dites à personne ! Sinon, vous êtes morts même avant que je le découvre ! Est-ce bien clair ?
- Oui oui. Disons-nous avec inquiétude.
- Très bien, vous êtes dans la Casa Negra, une sorte de mafia espagnole..."
DOUX SEIGNEUR ! Une sorte de mafia espagnole ? Dans quel merdier on s'est embarqué ? Franchement, pourquoi on est là ? Le chef, Allan San Bierbo c'est son nom, nous dit qu'on doit être des Russes qui ont piraté un de leur plus grand projet d'attentat. Cet attentat visait la Californie et la Floride. D'où on est Russes ? San Bierbo se fit à notre accent québécois ? C'est quand qu'on sort d'ici ?? Mais mes pensées cessent de me travailler quand j'entends qu'on doit mourir ! Oui, il fallait si attendre ! Là, je commence à être rongée par la peur, l'inquiétude et tout les autres sensations quand un mafieux vous annonce que tu dois mourir avec tes best... Yes ! Vive la vie disait une camarade de classe, au secondaire.

   Deb n'ose pas parler, ni même nous regarder quand on arrive dans une salle sombre, moins humide mais toujours autant chaude. Nick transpire des litres et des litres de sueur parce qu'il a trop peur. Moi, comment vous dire ?? JE FLIPPE MA RACE ! Mes brûlures me font horriblement mal. J'en peux plus ! On nous attache à un banc pendant qu'Alonzo et Juan prennent une porte grise et vont derrière une vitre. Dans cette dernière, il y a deux trous avec des mitrailleuses. Ok, je sais comment on va finir : fusillés !

   Les mitrailleuses sont chargées à bloc, au cas où un de nous trois soit immortel ou je ne sais quoi d'autre ! Je commence à moins souffrir de mes brûlures soudainement... Ça y est, Juan tire les premières balles ! Mais il y a quelque chose qui m'intrigue juste avant qu'une munition m'atteigne.

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Note de l'auteur :
*rire diabolique* je suis sadique de m'arrêter là ? Naaaaan ... J'espère que cela vous a plu ;)
Salut ✌ et bonne lecture !

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