La Coloc : Sexe et autres problèmes de colocation !

Octobre.

Vendredi soir, je suis seul à la coloc. Eleanor est partie pour le WE voir son copain à Londres. Taj est partie voir une amie en Allemagne et Nikki est sortie. Le rythme des soirées a repris, ça a été intense toute la semaine. Ce soir, c'est repos ! Je me fais une petite soirée télé, j'ai décidé de me faire quelques épisodes de ma série préférée du moment. Je bois une bière. Le chat vient se poser à côté de moi. Ça fait du bien d'avoir un peu de calme après toute cette agitation.

Soudain, j'entends un grand raffut dans l'escalier. On parle fort, on rit. Ça doit être les voisins, leur rythme est souvent inversé du nôtre : ils font la fête le week-end. Ils nous ont invités plusieurs fois, mais Taj et Eleanor sont souvent absentes en fin de semaine. J'y suis allé quelques fois avec Nikki. C'est cool de rentrer chez soi en remontant d'un étage. Ça serait encore plus simple si c'était en descendant !

La porte d'entrée s'ouvre et Nikki pénètre dans l'appartement un peu éméchée, avec un homme. Il est plutôt grand, assez athlétique, il tient Nikki par la taille. Il a l'air légèrement plus jeune qu'elle, je dirais 37 ans. En me voyant, il lui dit :

« -Je vais rentrer Nikki, je ne veux pas vous déranger, on se verra un autre jour...

-Non, reste ! » Lui dit Nikki d'un regard langoureux. Elle lui passe ses bras autour du cou, se pend à lui et jette sa tête en arrière, de manière à me regarder. Elle ondule comme une chatte qui s'étire sur un tapis.

« -C'est mon colocataire, il est très gentil. »

Elle embrasse goulument l'homme, et le saisit par la main. Elle remonte sa main sur sa poitrine. Je ne comprends pas, je suis toujours là devant eux, elle s'en rend bien compte ? Je pense que l'homme va repartir avec Nikki, mais à ma stupeur, il répond à son baiser en lui en donnant de nouveaux, et avec sa main droite, fait sauter une bretelle du soutien-gorge de Nikki visible au-dessus de sa robe bleue très échancrée, laissant apparaitre son épaule gauche et une large partie de son sein. Nikki lâche un petit gémissement. En fait, elle est très réveillée. Elle glisse sa main dans la chemise de l'homme, et l'embrasse dans le cou. Elle lui saisit l'autre main, et commence à lui lécher l'index. L'homme passe sa main sur la cuisse de Nikki et lui soulève sa robe. Il remonte jusqu'à son string et lui colle carrément les doigts sur le sexe.

J'ai du mal à déglutir. Ils sont carrément en train de commencer à baiser devant moi. J'hésite à m'éclipser et à gagner ma chambre, mais le vestibule est sur la route et je suis comme tétanisé. Hypnotisé.

Nikki respire fort, elle continue d'embrasser l'homme et de lui lécher les doigts. Sa bouche s'appuie lentement sur le sommet d'un doigt, puis elle descend voluptueusement sa bouche en laissant disparaitre la pulpe du doigt sous sa lèvre rouge, légèrement gonflée. Elle remonte et recommence avec un autre doigt. Elle fixe l'homme dans les yeux. Au bout de quelques minutes, elle le pousse sur le banc de l'entrée et l'homme tombe assis devant elle. Elle attrape son jean, et commence à lécher son jean au-dessus de son sexe. Le bleu du jean devient plus sombre tant elle dépose de salive sur le tissu. Je crois qu'elle se laisse saliver, elle ne déglutit pas. La robe de Nikki est relevée au-dessus de ses fesses, son string sur le côté, je suis idéalement placée pour voir sa chatte toute mouillée, rose et belle. L'homme étend son bras et peine à caresser sa chatte en étant assis sur le banc. Nikki défait les boutons de son jean : il a une érection d'enfer. Nikki le regarde quelques secondes, et se rapproche de lui pour qu'il puisse la doigter plus facilement, ce qu'il fait copieusement. Elle semble profiter quelques instants, ses paupières font quelques mouvements sur ses yeux d'un bleu intense. Soudain, elle pose sa langue sur le sexe de l'homme, de la même manière qu'elle le faisait avec ses doigts il y a quelques instants. Elle lèche d'abord son gland, en donnant de longs coups de langues comme si elle dégustait un sorbet, pendant plusieurs minutes. Le gars n'en peut plus, il lui attrape la tête par les cheveux et lui dit :