Sonnet omni-conscient

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La réalité échappe aux mains durêveur

Démangé de fulminantes rondes ardeurs

Dont rien ne pourrait atténuer ladouleur

Bien qu'ornées de fantasmagoriquescouleurs.


Une luciole illumine la canopée

Dans la chaude fraîcheur d'unesoirée d'été

Baignée de cramoisi, ombredésenchantée

Une fragrance âcre me donne la nausée,


Embaume lentement les sentiers de monâme.

Jaune ou vert, rose ou bleu, ocre ounacre, homme ou femme

Ou même aucun des deux et les deux àla fois


Voici, mes amis, la comptine solitaire

Attaquant sans répit le moindre ver deterre

Déception dans l'isolement ;j'en suis le Roy.

Poèmes et textes libresWhere stories live. Discover now