déclaration d'un parquet

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Mon réveil fut comment dire .... brutal. Redressée sur mon lit,  le souffle court, le coeur battant,  les cheveux en bataille. Quel rêve stupide, comme si ils allaient me tuer pour du Nutella n'importe quoi .... enfin j'espère ... me tortillant comme un ver de terre pour sortir de ce cocon de coton que vous appeler  tous "couette", mon corps tomba par terre dans un bruissement sourd et devinez ce qui  tappa le premier ? La tête bien sûr. Face contre terre , je bouffer littéralement le parquet. Je grogner d'énervement. Houla ! Elle allait pas faire long feu celle là ! D'un coup de griffe la  couette  tomba en lambeau  sur les côté laissant à mes bras le plaisir de pouvoir bouger. Dos au plancher je regarder le plafond enfin  mon plafond n'était autre qu'une grande vitre transparent pouvant me laisser voir dehors le ciel étoilé. Il faisait nuit, un coup d'oeil à mon réveille ,poser sur ma table de chevet, mannoncer qu'il était trois heures trente sept. Je contempler les étoiles, mon bras ce leva comme pour les attrapée.  Mes parents adorée regarder le ciel. C'est le seul souvenir que j'ai d'eux. Le ciel est leur visage souriant. D'après Eliot et Jack ils nous avaient sauver. De quoi ? Ça on en sais rien. Ils nous avez juste déposer dans cette villa qui est située a cote d'une immense forêt avec pour seul instructions de cacher notre nature au humains et de vire. Et ils étaient partie. Sans rien dire de plus. Eliot, étant l'aîné, avais donc appeler notre grande tante qui a emménager avec nous , elle et c'est huit gamins. Elle était humaine et est décédé d'un cancer des poumons il y a des ça sept ans.  Elle nous a laisser huit louveteaux en pleure après ça mort, huit enfants de plus à s'occuper, à nourrir, à entraîner et à protéger. Ça nous faisait donc 14 enfants à la maison est aucun adultes. La tâche était trop dure pour les aînés, la plupart des enfants rester en loups, ce qui rendait leur surveillance plus difficile. Au bout  de trois mois tout le monde vivait sous forme de loup. La forêt nous suffisait. Ça a durée deux ans. Deux ans pendant lesquels on eu le temps de grandi et de devenir une des meutes les plus redouté de toute le sud.
Mon bras retomba lourdement sur mon ventre. Je savais que je n'allais pas pouvoir me rendormir, pas toute seule en tout cas.  Me mettant à quatre pattes pour me transformer, mon bras derrapa laissant mon nez s'écraser sur le plancher. Aie ! Le parquet devais vraiment m'aimer pour m'embrasser deux fois en si peut de temps. Des larmes couler sur mes joue , qu'elle nuit pourrie !
-Eliot ? Jack ? ROMAIN ! je me suis casser le nez, venez m'aider, je crois qu'il faut le remettre droit. Mon crie resonna dans toute la maison. Bien au moins je suis sur qu'ils sont tous réveiller.  Tête en arrière, une mains sur mon nez l'autre cherchant la poignée de la salle de bain.  Je parter en mission, aveugle. TROUVER ! La salle de bain est  assez étroite mais bon au moins c'est la mienne. Ma tête dans le lavabo j'essayer d'arrêter la mer rouge qui sortait de mon nez. Le miroir refleter une étrangère, avec ces cheveux blond vénitien retombant en cascade sur son dos, sur sont front on pouvais apercevoir  quelque cicatrice ainsi qu'au menton. Ces sourcils était assez bien dessinée, ça bouche pulpeuses laisser place à une ranger de dents acéré,  le plus etrange fut c'est yeux, un mélange de rouge et d'or, son regard refleter celui d'une fille forte, d'une guerrières. Son nez rouge avais un angle assez bizarre mais sinon elle était belle. Ma porte s'ouvrit sur 3 garçons me détournant de ma créature.

Une Meute De Mecs Et Moi Où les histoires vivent. Découvrez maintenant