Est-ce possible... de te pardonner ? [Omegaverse - My Hero Academia]

Chapitre 4 : Il est impossible de te racheter

Précédemment :

Après une journée d'école, Ochoca s'est retrouvée seule dans la rue... Mais malheureusement, elle rencontra deux personnes malintentionnés... Le lendemain, quand Izuku est allé à l'école, elle n'était pas là. Il est allé la voir chez elle... pour la retrouvé morte, un couteau en main et avec une lettre de suicide sur son lit.

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PDV de Izuku :

Le bruit sourd de la sirène d'une ambulance retentissait dans la rue en face de chez Ochaco. Je regardais les ambulanciers emporter le corps sans vie de mon amie alors que que j'entendais sa mère pleurer et son père qui essayait de la réconforter. 

Ses parents ont été prévenu et sont rapidement arrivés de leur travail pour découvrir la sombre vérité, quelques minutes après que j'ai découvert Ochaco dans sa chambre. Je leur ai expliqué tout ce qu'il s'est passé. 

Quelques minutes après, l'ambulance repartie et les parents d'Ochaco la suivit en voiture. Je me retrouvais maintenant seul, dehors, sous la pluie, devant la maison de mon amie... Je décidais alors de reprendre le chemin vers chez moi, tout doucement.

Après peut-être... un quart d'heure de marche ? Honnêtement, je n'y ai pas prêté attention. Je rentrais chez moi et à peine suis-je rentré que j'entendais ma mère me parler.

-Izuku, mon chéri ? C'est toi ? dit-elle en arrivant dans le couloir. Tu rentres bien ta- Elle se coupa en voyant l'état dans lequel j'étais. Izuku... Tu vas bien ?

Tout d'un coup, je sentis mes larmes tomber à nouveau de mes yeux. Ma mère vint alors rapidement près de moi pour me prendre dans ses bras et pour me réconforter tout en me demandant ce qui n'allait pas.

-C-C'est Ochaco... Elle... E-Elle... Elle est morte...

Elle ne savait pas quoi dire quand elle entendu ce que je viens de dire. Elle avait l'air choquée et me prit encore dans ses bras en disant de me calmer, que tout ira bien. Après avoir pleuré encore quelques minutes, je lâchais ma mère et je me dirigeais vers l'escalier.

-Je vais dormir, Maman... Je n'ai pas faim.

-D'accord, Izuku... Bonne nuit.

Je montais les escaliers jusqu'à ma chambre, j'enfilais mon pyjama et j'allais directement me coucher dans mon lit. Je n'arrivais pas à penser à autre chose qu'Ochaco. Je n'arrive toujours pas à croire... que je ne la verrai plus jamais... Puis, tout d'un coup, je me suis rappelé de quelque chose...

'Tiens, c'est pas bizarre, ça ? Elle avait pourtant l'air d'aller bien hier..."  

C'est ce que Todoroki a dit tout à l'heure... Avant que j'aille chez Ochaco... Bordel de merde, ne me dite pas que tout ça.. C'est de sa faute si elle n'est plus là... 

Il va me le payer cher, ce connard.

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Nous sommes Vendredi, aujourd'hui... Et je marchais seul, dans la rue, en direction de l'école. Au fond de moi, j'espérais entendre sa voix derrière moi qui me disait de l'attendre. Mais je sais très bien que je ne l'entendrai plus jamais... 

Pourquoi est-ce que quelque chose d'aussi horrible lui est arrivé ?! Elle ne mérite pas ça ! Tout ça à cause de ces connards d'alphas qui veulent nous pourrir la vie à nous, les omégas, car ils se sentent supérieur ! Enfin bref, je finis par arriver à l'école. 

Et bien sûr, comme je m'y attendais, IL vient vers moi, toujours avec son air fier et hautain.

-Alors, l'oméga. Tu as retrouvé ton amie ?

-Tu vas... fermer ta gueule.

-Oh mas qu'est-ce qu'il y a ? Tu as des problèmes ?

-FERMA TA GUEULE, ESPÈCE D'ENFOIRÉ !

Ne pouvant plus me contrôler, je me jetais sur Todoroki, le faisant tomber par terre. Et ne pouvons plus m'arrêter, je le ruais de coups. Je veux qu'il souffre pour ce qu'il a fait !

-SALE ENFOIRÉ ! C'EST DE TA FAUTE ! JE NE TE LE PARDONNERAI JAMAIS, SALE ALPHA DE MERDE !

Je continuais encore et encore de le frapper, il se débattait mais je le retenais à terre ! Le sang commençait à couler de son nez. Mais au bout d'un moment, il parvint à me repousser. Il se releva vite et se mit à califourchon sur moi et me bloquait les jambes et les bras.

-Sale clébard... Qu'est-ce qu'il y a, hein ? Ta petite copine a pleurer sur ton épaule, c'est ça ?

-ESPÈCE D'ENCULÉ ! MONSTRE SANS CŒUR ! ELLE EST MORTE, PAUVRE CONNARD ! criais-je en tentant de ne pas pleurer.

PDV de Shoto :

-Attend, quoi ?

Est-ce que j'ai bien entendu ce qu'il a dit ? Non, c'est pas possible, il doit dire ça pour me déstabiliser, pas vrai ?

-T'as bien entendu, pauvre connard ! Elle est morte ! Tout ça à cause de toi, elle a mit fin à ses jours car elle a pas supporter ce qui est arrivé par votre faute !

Elle est... vraiment morte ? Mais... Non, ce n'est pas ce que je voulais ! Je ne pensais pas qu'elle irait aussi loin ! Putain de merde ! Tout d'un coup, Izuku profita que je sois déstabilisé pour me repousser et il se retrouve maintenant au dessus de moi et il m'attrapa par le col. 

-Elle s'est tuer ! criait-il encore. J'ai vu son corps de mes propres yeux ! C'est de ta faute, c'est comme si tu l'avais tuer de tes propres mains !

-Non... Arrête, c'est pas vrai...

-SI, TU L'AS TUER ! C'EST TA FAUTE !

-FERME TA GUEULE ! JE NE L'AI PAS TUÉ !

Je le repoussais à nouveau et je me relevais alors que lui, il restait au sol... Il est maintenant par terre, à mes pieds, en train de pleurer... C'est ce que je voulais... Mais bizarrement, je me sens mal... Pourquoi je me sens mal ?!

J'aurai pu continuer à me foutre de sa gueule sur le fait que l'autre oméga est morte... J'aurais pu lui donner un coup de pied vu notre position... Mais non ! Je ne m'en sens pas capable ! 

Tout d'un coup, je me retournais et je laissais Izuku et à terre et ma bande derrière. Je retourne dans les couloirs de l'école et rapidement, Momo et Kaminari m'ont rejoint.

-Hé Shoto, ça va ? demanda Kaminari. C'était la parfaite occas' de lui montrer qui était le chef là, il était littéralement à tes pieds !

-Dégagez... J'ai besoin d'être seul un moment.

Ils ont tous les deux été surpris par l'intonation que je pris. Momo vint mettre sa main sur mon épaule avant de me parler.

-Shoto, ça va pas ? C'est exactement ce que tu voulais, non ? Le déstabiliser pour-

-J'AI DIS DÉGAGEZ !

Je fis bouger sa main de mon épaule et je partis rapidement sans eux, en courant dans les couloirs. Je ne veux voir personne ! Je courais dans les toilettes et m'enfermais dans une des cabines... Avant de commencer à pleurer...

-Bordel... Mais qu'est-ce que j'ai fais... 

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Coucou tout le monde ! Donc, voici le 4e chapitre de ma réécriture de cette histoire ! On dirait bien que l'histoire sera plus longue qu'à l'origine... Ce qui est pas plus mal ! Enfin bref, j'espère que le chapitre vous aura plu ! Sur ce, je vous dis à plus mes bouts de choux ! :/