Le pétard et moi [Katsuki Bakugo x reader]

Commisariat

L'enfoiré m'as filmé !!! La journaliste dit:

-Si vous avez plus d'informations sur cette personne nous vous prions de les partagés à la police. Cet individu a été aperçu et interpellé par un agent mais à refuser de donner son identité. Nous le soupçonnons d'être en réalité un vilain. Si vous le voyez éviter d'agir seul, il peut se révérer dangereux et ...

Ma vision commença à ce brouiller, Je tremblais, et mon ouïe se bouchait. Je ne suis PAS UN VILAIN !!! MAIS SI ÇA CONTINUE AINSI, JE JURE QUE JE RETROUVERAIS CE CONNARD ET QUE JE LUI FERRAIS LA PEAU!!!!Mes mains s'enfoncèrent dans le canapé, le déchirant. Sans m'en rendre compte j'avais commencé à répéter encore et encore:

- Je te le ferais regretter, je te le ferais regretter, je te le ferais regretter, tu me le paiera , tu me le paiera très cher, sale chien...
- Eh gamine.
Je sors de ma torpeur et regarde Shouta.Je lui réponds, d'une voix perdue:
- Oui?Quoi ?
- Il faut que tu apprennes à gérer ta colère et tes émotions.
- M-mais i-il a a didis quque je ressemblais à unune vila-vilaine.
Ma voix s'est complètement brisée, et les larmes coulent sur mes joues.
-Je je ne suis PAS UNE VI-VILAINE.
- Je sais.

Il était venu et j'avais mis ma tête sur son épaule. Ma mâchoire tremblais de manière incontrôlable et je pleurais. J'étais entrain de faire ce que je détestais le plus au monde.
-On va aller au commissariat, et empêcher qu'il diffuse trop ces images.
Je hoche le tête, incapable de parler. Je le déteste ce policier. Après m'être calmée nous partions au commissariat. J'affichais mon plus beau regard noir, celui qui consume les enfers d'un coup d'œil. Nous arrivons au commissariat et qui nous accueille? Mon cheeeeeeeeeeeer ami du parc. Aizawa déblatère avec lui et au bout de 10minutes on nous emmène dans une pièce à part. Je n'écoute pas la conversation jusqu'à que le policier essaye d'attraper mon masque, j'attrape sa main et lui fait une clé de bras. Shouta me regarde exaspéré, et je me souviens qu'on est ici pour régler mes problèmes, je le lâche donc.

-Eh gamine...
-Mmh?
-Rentre à la maison. Je me charge du reste.
-Hem, excusez moi mais il nous faudrait une photo, pour vous référencer.

J'écarquille l'œil, non c'est juste non. Qu'il ne rêve pas trop, déjà j'ai failli finir en taule a cause de lui, même Shouta en qui j'ai confiance ne l'a jamais vu. Avant que je l'envoi se faire voire ailleurs et que je lui dise que rien ni personne ne peut voir mon visage surtout pas un connard dans son genre, Ereaser Head prend les devants :

-Je suis désolé mais pour l'instant ça ne va pas pouvoir être possible.

Il lui dis ça en lui glissant une feuille, le topo de l'hôpital je présume. Après avoir lu ce qu'il avait sur la feuille, il lève les yeux vers moi et ce que j'y lit me dégoûte: de la pitié . Non, je n'en n'ai vraiment pas besoin croyez moi, surtout de toi. J'arrive très bien à vivre sans et ça continuera ainsi, je ne veux pas de traitement de faveur ou quoique ce soit. Je veux être normale, voilà une des raisons pourquoi je ne dis rien. Et cette pitié dans ton regard me donne envie de vomir. C'est parce que je suis forte que suis encore ici, tu n'aurais pas pu passer ne serait-ce 2 mois avec lui tellement tu es faible, homme. Je fais d'un ton sec :

-Je rentre.
- D'accord gamine, fais gaffe sur la route.
- Au point où j'en suis...

Shouta me regarde avec un regard triste quand je sors de la pièce. Quand j'y repense je suis un vrai nid à problème, tss. Je dépasse l'entrée du commissariat un policier m'interpelle. Mais c'est pas bientôt finis?!

-Où allez-vous comme ça?

Ne l'envoi pas se faire foutre,ne l'envoi pas se faire foutre,ne l'envoi pas se faire foutre...

-Vous n'êtes pas maîtres de mes déplacements à ce que je sache?
-Non,mais...
-Bonne journée.

Je l'ignore complètement après, merci je suis énervée pour la journée! Shouta rentre à la maison environ 1h après moi.

-Alors?
-Ne t'inquiète pas gamine, tout est réglé.

Ma tête retombe sur le canapé, alléluia. Je réfléchissais à ce que j'aurais pu faire à ce policier quand une pluie de feuilles se déversa sur moi. Un stylo un peu plus dur que le reste manqua de peu de me rendre complètement aveugle.

-Aïe.
-Tu me fais ça, je vais dormir.

Je saisis les feuilles et commença à répondre aux questions au bout d'environ 1h10, j'avais finis les 15 feuilles de Shouta. D'ailleurs ce dernier s'était réveillé et lisait attentivement les lignes que j'avais écrit.

-Ça m'as l'air pas mal, je vais envoyer ça à Yuei.