Histoire n°1 -Partie 1-

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Hey !

Heureuse de voir que mon livre t'intéresse au point d'aller lire la première histoire, celle qui notera le début d'une possible longue série !

Elle n'est pas forcément des plus joyeuse je vous aurait prévenu, elle est sur Aki, mon OC humain principal qui viens du RP École du bien/du mal de NumberXXV .

Il y aura sûrement une suite et sur ce,

Bonne lecture !!!

PDV Aki:

Ma vie a commencé au milieu d'un océan de flamme.

Mon premier souvenir ?

Du feu. Du feu m'entourant de tous les côtés, la chaleur étouffante, la fumée me brûlant les poumons et les yeux.

Les flammes dansaient joyeusement sur les murs de la pièce où je me trouvais, dévorant tout sur leur passage.

Étrangement, cela me fascinait autant que cela me terrifiait.

J'étais allongée au sol, sur la moquette qui tapissait ce qui devait être ma chambre, vu le lit pour enfant qui se consumait petit à petit devant moi.

Je m'écartai vivement et observai ce qui m'entourait.

J'entrapercus au milieu des flammes tous les meubles complètement carbonisés ou en train de se faire engloutir, et le plafond en partie effondré dont les planches continuaient de tomber.

Ma gorge, asséchée par la chaleur que dégageaient les flammes et la fumée, emplissant toujours autant mes poumons, n'arrivait pas à sortir le moindre son pour appeler à l'aide.

Mais est-ce qu'il y avait quelqu'un au moins ?

Je n'en savais rien, comme je ne savais pas où je me trouvais, comment j'avais atterri ici ni même qui j'étais.

J'essayais péniblement de me lever mais mes jambes refusaient de me soutenir.

Je me mis donc à ramper vers la porte, mon champ de vision troublé par la fumée qui envahissait toujours plus la pièce en ruine autour de moi.

Alors que la porte n'était plus qu'a quelques centimètres de moi, je sentis ma vue vaciller et se rétrécir.

Je tendis désespérément la main vers la poignée hors d'atteinte de mon pauvre corps qui s'asphyxiait petit à petit à cause de la fumée.

Je sentis la raison me quitter, ma tête tomba lourdement au sol tandis que mes paupières se fermaient lentement sur mes yeux vitreux et le manque d'air fini par avoir raison de moi.

Je sombrai dans les ténèbres tandis que le plafond terminait sa chute, droit sur mon corps frêle étendu sur le sol froid de la chambre de la petite fille que j'étais à l'époque.

Mes petites histoiresOù les histoires vivent. Découvrez maintenant