Pdv Charly:Aujourd'hui nous sommes mercredi après-midi, Claire et moi ne travaillons pas et elle a décidé qu'il fallait absolument me trouver une robe pour la soirée mondaine des parents de Chris.
Le problème: nous sommes en semaine, il fait beau...donc conclusion...
Il y a du monde partourt!
J'avoue que je ne me sens pas très bien mais Claire ne veut rien entendre. D'après elle, il faut que je combatte ma peur par la peur en elle même. Plutôt radicale et je ne vois aucune amélioration.
- Oh mon Dieu! Tu vois cette robe!? Ah! Et celle là? me hurle-t-elle dans les oreilles en pointant du doigt une boutique de robe de soirée. Il faut absolument qu'on rentre, ajoute-t-elle.
Elle me tire dans la boutique en question et ce jette sur une vendeuse.
Oh non pas les vendeuses...j'ai horreur des vendeuses, elles sont toujours là à te suivre et à te conseiller les articles les plus chère de la boutique. Et cerise si le gâteau, elle parlent beaucoup trop fort!
J'ai expérimenté la chose dans un magasin de vêtements une fois avec ma mère. Je ne l'ai plus jamais refait.
- Bonjours, alors que je vous explique. Mon amie et collègue ici présente doit ce rendre à une soirée mondaine organisée par les parents de son petit ami, et elle doit vraiment faire bonne impression. Il faut que l'on ne voit qu'elle dans la pièce.
Ok...pourquoi j'ai accepté de venir ici déjà?
"Je sais pas mais moi j'ai envie de donuts..."
Ça ne m'aide pas, mais alors pas du tout.
Perdu dans mes pensées,je ne m'étais pas rendu compte que Claire et la vendeuse avaient déjà sélectionné différents modèle.
Je sens que la journée vas être longue.
30 minutes plus tard.
Je vais exploser...je répète, je vais exploser!
J'ai déjà essayer une trentaine de robe, oui une trentaine. Je ne sais même pas comment j'ai fais pour aller aussi vite.
- Cette fois, c'est la bonne j'en suis sur! le dit Claire.
- Oui comme celle d'avant et celle d'avant encore et...
- Chuuut...cette fois c'est la bonne j'te dis!
Je souffle et me dirige vers la cabine d'essayage qui est devenus ma meilleure amie tandis que Claire trottine jusqu'à moi avec la fameuse robe dans sa housse.
Une fois seule, j'ouvre la housse et me retiens de pousser un petit d'émerveillement, cette robe est vraiment belle.
Verte foncée, avec quelque paillettes par-ci par-là, un léger décolleté. Elle est à la fois simple, élégante et pas trop extravagante.
J'enfile la robe, elle épouse parfaitement les courbes de mon corps et met en valeur ma poitrine.
J'adore cette robe...
- Alors? Ça va?
La voix de Claire me paraît à travers le rideaux, elle me paraît impatiente.
J'ouvre brusquement le rideaux.
- Wow...J'avais raison, c'est la bonne. Tu es resplendissante ma chérie. Ton homme vas tomber raide dingue quand il va te voire samedi soir.
Je rougis en pensant sur cette robe pourrait faire l'effet à Chris.
- T'es sur?
- Mon Dieu Charly tu es canon, elle est parfaite cette robe.
Ellipse jusqu'à vendredi soir.
Chris et moi sommes installé sur son canapé chez lui, à nous câliner, enfin lui me câline, moi... Je suis très mal à l'aise.
Je n'ai eu aucune intimité avec un homme depuis au moins 3 ans. Et je pense savoir comment vas se déroulé le reste de la soirée...
"En même temps si tu sors pas tu peux pas te trouver de mec"
Hum... T'as pas tord.
- Tu n'es pas concentré, je te sens ailleurs. À quoi tu pense?
- Moi mais à rien. Pourquoi je devrais penser à quelque chose en particulier?
La fille pas grillée du tout.
Je le regarde, effectivement, il paraît très septique.
Oui bah on peut pas tout avoir dans la vie.
Et moi le mensonge c'est pas mon fort.
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Bon soyons honnête ce chapitre n'est pas complet mais je viens de reprendre les cours et mon emploi du temps est juste blindé et je n'ai pas le temps pour l'écriture et ça me frustre.
Mais malgré tout j'espère que ce chapitre vous auras plu.
Bisous.

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I HATE MY BOSS
RomanceLorsque Charlotte, 22 ans, rencontre son patron, Chris Taylor 29 ans, Pdg de l'entreprise Taylor's industrie, elle se met à éprouver un sentiment qui ne lui est pas étranger...de la haine. Charlotte déteste son patron, ce qui n'est pas le cas de ce...