Chapitre 45 - Girl friend

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Je vous remercie de me suivre, de voter, de commenter et de lire la traduction. Elle a dépassé les 200k lectures et les 14k votes, et j'ai dépassé les 300 abonnés (ah oui, j'ai changé de pseudo). Vous n'imaginez pas à quel point je vous suis reconnaissante. MERCI.

J'ignore s'il y a des musulmanes qui lisent cette fiction, mais je vous dis Eid Mubarak si c'était aujourd'hui (mardi) et Eid Mubarak en retard si votre Eid était hier (lundi) (c'est le cas pour moi). 

Avery.

Il ne dit rien, nous étions entourés par un étrange silence. Je n'osais pas le regarder. Mais je lui avais dit la vérité, il m'avait toujours intimidé, me faisant me sentir mal. Un rendez-vous ne changerait pas ce qu'il avait fait. Il n'était toujours pas pardonné, je pensais qu'il le savait. J'avais peur qu'il soit énervé de ma réponse.

‘‘D'accord...je comprends’’ dit-il entre ses dents. Je le regardai et le vis fixer ses mains. Il pensait que je dirais oui ?

‘‘Harry, c'est juste que-’’

‘‘J'ai dit : je comprends’’ dit-il sèchement, me faisant sursauter avec sa forte voix. Je le regardais avec de grands yeux et une bouche légèrement ouverte.

‘‘Désolé Avery, je ne voulais pas te répondre aussi sèchement.’’ Il me regardait dans les yeux. Regarder dans les yeux de quelqu'un, rend les choses beaucoup plus intimes, peu importe de quoi vous parlez. Je lui souris légèrement.

‘‘J'aurai dit oui mais le souvenir de ce qui s'est passé, il y a quelques semaines, a fait que ce soit un non. Je suis désolée Harry. La nuit dernière était réellement extraordinaire et je ne l'oublierai jamais, merci beaucoup.’’ Je le regardai et il sourit.

‘‘Ce n'est pas toi qui devrait t'excuser, j'étais un connard avec toi, c'était bien la nuit dernière, lorsque nous nous sommes simplement assis, en riant, parlant et en oubliant tout ce qui s'était passé. Quand nous nous sommes embrassés, j'ai regretté tout ce que j'ai pu te dire et te faire. Je serais vraiment surpris, si tu me pardonnes après ça, mais tu es cool, adorable, et une jolie fille avec qui l'on peut parler facilement.’’ Ses mots m'avaient laissé sans voix. Après avoir passé ses heures incroyables avec lui, et entendu ses mots doux, il n'y avait qu'une seule chose dans mon esprit.

‘‘Je te pardonne Harry’’ Sa tête se leva rapidement, il avait de grands yeux et un sourire sur son visage. Sa bouche s'ouvrit, comme s'il était sur le point de dire quelque chose, mais il la referma quelques secondes après.

‘‘Tu me pardonnes ?’’ Il sourit en montrant ses belles fossettes.

‘‘Ouais, mais à une seule condition.’’ dis-je d'un ton sérieux et il hochait la tête alors que son sourire s'effaçait.

‘‘Ne me refais plus jamais quelque chose comme ça, parce que la prochaine fois je n'aurai aucune pitié.’’ Il hocha la tête et sourit à nouveau.

‘‘Je le promets.’’ Il s'approcha de moi et me serra dans ses bras. J'étais surprise par ses gestes mais je le serrai aussi dans mes bras.  Il murmura un autre 'je promets'. Je souris, c'était juste, et seul le temps me dira si j'avais fait la bonne chose, ou non.

‘‘Donc...voudras-tu être ma copine maintenant ?’’ Il me regarda avec un air de chien battu, et je fondais à l'intérieur.

‘‘Tu n'abandonneras pas, n'est-ce pas ?’’ Je ris, il me joignit et il secoua sa tête.

‘‘Peut être pas une copine qui embrasse et qui câline, mais une copine comme une fille et ton amie, une copine pour toi. ’’ Il éclata de rire à ma réponse et je le rejoignis. Je n'étais pas prête à être sa petite amie, et peut être que je ne le serai jamais. Seul le temps me le dira.

Nous marchâmes vers la sortie du café. Harry marcha devant moi et je sentis sa main saisir la mienne. Je fronçais mes sourcils.

‘‘Et une copine qui tient la main ?’’ demanda-t-il d'un ton innocent et un air de chien battu. Je ris à son adorablitude (ce mot n'existe pas, on est d'accord ? J'ai fait un mix de adorable et attitude.) 

‘‘Ouais, une copine qui tient la main.’’ Son sourire était à mourir de rire, il me fit sourire autant que lui. Nous entrâmes dans sa voiture et pendant qu'il conduisait, cela me frappa. On était lundi.

‘‘Harry ! Nous avons manqué tous les cours de la journée !’’ J'étais choquée, et lui il riait.

‘‘Ouais, mais c'est pas grave, j'ai envoyé un message à Liam ce matin, pour qu'il dise à Sophia que tu étais trop malade pour venir en cours aujourd'hui.’’ Mes yeux s'écarquillèrent, ce garçon est fou. Je ne savais pas quoi dire, eh bien, j'avais déjà manqué les cours et avais marqué malade comme justification dans mon ancien lycée, mais pas pour ces raisons. Celles-ci étaient totalement différentes. Il se gara à l'extérieur de ma maison, je savais que la maison était vide. Je me tournai pour voir Harry et nos lèvres s'écrasèrent l'une contre l'autre. Nous reculâmes rapidement, je le regardais avec de grands yeux, et lui, il riait.

‘‘Harry, pourquoi m'as-tu embrassé ?’’ dis-je, en étant encore choquée, et il rit encore plus.

‘‘Je ne t'ai pas embrassé, je devais te faire un bisous d'au revoir sur la joue mais tu as tourné ta tête. Donc, techniquement, tu m'as embrassé.’’ Je rougis et éclatai de rire après qu'il ait parlé.

‘‘Harry !’’J'essayai de me calmer. Nous arrêtâmes de parler et j'ouvris la portière.

‘‘Attend, je n'ai pas fait de bisous d'au revoir sur la joue à ma copine.’’ Il rit et je fis de même. Il me mentionna de me rapprocher et je le fis. Il embrassa ma joue.

‘‘Bye, à demain.’’

‘‘À demain.’’

Olive you 

The Senior (Version française) [REECRITURE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant