Ivanna Sidorov, une jeune mafieuse russe dont sa beauté ne laisse l'être humain indifférent.
Dimitri Gagliardo, un parrain de la mafia italienne, qualifié autant que belle gueule mais un très mauvaix caractère.
Ces deux dangereuses créatures, dont l...
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PDV De Ivanna . . . Quoi de bon que finir une journée qui s'est bien déroulée avec un mafieux qui m'intrigue autant, par un accident ?
Génial ! Vraiment génial !
Je n'en revient pas. Putain ! Je viens de faire un accident. C'est trop bête de ma part que je me culpabilise. Genre je viens d'heurter un enfant de 15 ans et vous voulez que je sois tranquille juste comme ça ? Purrée !!
Bordel de merde !
J'ai déja dit que je hais totalement faire du mal à des enfants et c'est d'ailleurs vrai. À mon avis, chaque petit a droit de vivre normalement et paisiblement mais ce monde de bâtard les empêche royalement.
La race humaine est vraiment cruelle...
Et ce qui me fout le plus de rage c'est que ce garçon n'est plutôt qu'un orphelin en jugeant de ses habits. Un jeune enfant qui s'est perdu et conne comme je suis j'ai fini par l'heurter avec ma bagnole.
Malgré que je ne le connais guère je peux tout de même ressentir une sorte de pitié...de compassion...franchement, je ne sais pas trop. Mais ça me range tout au fond et il faut que je le sauve vu ses blessures pas vraiment profondes mais qui restent tout de même inquiétantes.
Merde !
En ce moment, je suis entrain de faire les cent pas dans ce haul. Entrain de me faire un sang d'encre. J'ai déja appelé Isaak. Le pauvre il dormait paisiblement mais maintenant, il est en route vers cet hôpital. Je reluque ce mur blanc en attendant qu'un miracle arrive, que quelque chose de soudaine fait son apparition. Ja sais pas moi, quoi. Putain je stresse trop. Et quand je stresse je finis par faire des conneries.
Des inférmières, vêtues tout en blanc passent à mes côtés. Une d'ailleurs, me lance des regards mals. Des éclairs même. Je la regarde à mon tour. La pauvre elle se croit quelque chose pour qu'elle soutienne les miens. J'étais sur le point de lâcher l'affaire que je constate qu'elle murmure quelque chose à ses copines là, et ces dérnières finissent par rigoler.
Loin de rigoler normalent, non. Rigoler d'une façon provocante. Vous voyez ce que je veux dire là ?
Euh, les infermières sont devenues comme ça à nos jours ? Alors je décide de me lever...
- Hé toi ! T'as quoi ? Hurlais-je en m'avançant vers eux. Elles étaient trois.
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