Ivanna Sidorov, une jeune mafieuse russe dont sa beauté ne laisse l'être humain indifférent.
Dimitri Gagliardo, un parrain de la mafia italienne, qualifié autant que belle gueule mais un très mauvaix caractère.
Ces deux dangereuses créatures, dont l...
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Le mariage, une fête sacrée qui lie la vie de deux amoureux. Une célébration qui est sensée être dominée par la joie, pourtant la plupart des visages qui règnaient dans la somptueuse et grandiose salle exprimaient de la pure hypocrisie.
Janet, la marié avait déjà prévu un tel sort s'abattre sur son jour le plus jovial et spécial. C'est pour cela qu'elle a décidé de célèbrer son union avec Ahmed entre famille dans leur pays natal. C'était leur première cérémonie traditionnelle et la plus proche à la beauté d'une fête de mariage comparé à celle ci - qui est en passant la deuxième et la dernière - Cet évènement ressemblait le plus à une réunion entre les membres du royaume criminel qu'une fête. Une réunion entre les mafias.
D'une part, tous les invités étaient vêtus par des habits aussi captivants que chères. Chaque apparence reflétait amplement sa richesse et son élégance. D'une autre part, tous les prunelles se jetaient des éclairs de rivalité, voire même de haine.
Chaque mafia rêve de se battre pour la première place dédié qu'à les plus puissants. Hélas, cette première place était déjà occupée par deux mafias rivales, où peut être pas si rivales qu'ils laissent voir.
Évidemment, ce sont les Arma del Alma et les Sangre del Alma. La mafia italienne et la mafia russe.
Les yeux enviaient ces deux familles. Bien que les bouches essaiaient, en vain, de cacher leurs sentiments d'haine et de jalousie, leurs prunelles les trahissent.
- Shawn ne viendra pas. Annonça Alessio tout en sirotant son vin. Il est en ce moment avec son rayon de soleil.
- Laisse le. Il mérite du repos. Répliqua neutrement son cousin.
- Oui, il le mérite, et toi ? Où est ton rayon de soleil ? J'ai hâte de la voir. Demanda le brun d'un ton taquin.
Dimitri dessere un peu sa cravate noire sans se digner de lancer un regard à l'homme à ces côtés. Ensuite, il reprend son verre sentant soudainement le violent besoin d'humidifier sa gorge.
- Je n'ai la moindre idée de ce que tu insinues.
- Oui, je te crois. Sa phrase était visiblement ironique.
Une douce musique surgit dans la salle de bal éclairée par des dizaines de lustres dorés suspendus du toit. Des couples commencent à danser et un certain bonheur nait et réduit quelques discussions entre les hommes d'affaires dont les sujets sont largement des travaux illégaux.
- Messieurs Gagliardo !
Dimitri et Alessio tournent vers la source de la vielle voix gaie qui interpelle. C'était un homme dans les cinquantaines, les cheveux couleur de sel et un regard malin aussi brun que sa peau. Avec confiance, il se mouvait pour être à leurs côtés.
