Ivanna Sidorov, une jeune mafieuse russe dont sa beauté ne laisse l'être humain indifférent.
Dimitri Gagliardo, un parrain de la mafia italienne, qualifié autant que belle gueule mais un très mauvaix caractère.
Ces deux dangereuses créatures, dont l...
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PDV De Ivanna . . .
Purée ! Et purée ! Et puis mille purée ! J'ai mérdé, j'ai mérdé fortement là.
De toute les familles du monde ça devrait être celle que je détéste tant. De toute les mafias du monde ça devrait être Arma del Alma.
Je me faisait violence à cacher mon jouet là ! Je faisant un effort de fou à ne pas leur tuer tous. Ce Dimitri et ses hommes répugnants qui me draguaient.
Purée !!!
Lorsque je me suis appérçue de leurs tatouages je me suis glaçée sur place, figée pendant cinq minutes entières, qui semblaient une étérnité pour les hommes présents dans le bureau.
Dimitri a dû m'interpeller maintes fois pour que je déscende à nouveau sur terre. Ils doivent s'éstimer heureux que je n'avais pas mes pistolets en ce moment, puisque mon petit canif ne ferra pas l'affaire, sinon j'aurai changé le décor de la pièce blanche en rouge sanguin.
Les gars du parrain de la mafia rival m'ont bien sûr suivi jusqu'à la sortie et m'ont demandé où je vivais pour m'emmener à l'abri. Inutile de leur préciser où j'habitais. Je suis pas stupide comme même, Dimitri va bien sûr chercher des informations sur moi puisqu'il semble douter de tous les mots que je lui ai crâché ce jour.
D'ailleurs c'est normal, n'importe qu'elle mafia puissante cherchera tous les donnés possibles sur ceux qu'elle a côtoyé.
Merde.
J'ai guidé ces bâtards dans un autre quartier, un où se trouvait une boite appartenante à notre mafia. Ces deux enfoirés ne cessaient de me draguer et malheureusement je ne pouvais leur trâncher la gorge avec mon canif. Alors j'ai utilisé la manière la plus "normale", je leur ai crâché leurs quatres vérités ce qui a comme résultat; " Clouer leurs becs de merde ".
Je suis maintenant dans un bar. Je me suis inscrutée dans celui çi lorsque je me suis assurée que les deux gars ont quitté les lieux. Quant j'ai rentré, tout le monde me prétaient leurs attentions totales. Le silence régnait le bar et tous les regards étaient posés sur ma personne. Bah, je suis la fille du patron non ?
Je débute dêja à faire la grosse tête.
Bon, quelques hommes me demandaient poliment ce que je voulais mais je répondais par le refus, poliment à mon tour bien sûr. J'ai dêja dit que je suis bien élévée, mon père et mes frères ont fait de leurs mieux pour que je sois parfaite au niveau d'éducation, c'est juste que....J'ai des pulsions meurtières qui ne peuvent être négligés facilement. Donc je tue toutes personnes qui cherchent leurs morts sous ma main.
Je m'avance vers le barman, celui çi sert un homme à la vite fait pour se redresser et me donner toute son attention à son tour.
- Que nous vaut l'honneur de ta présence, Ivanna ? M'apostropha le barman après avoir mis ses coudes sur la table pour soulever tous son poids. Je m'assois sur le siège.
