Depuis lundi, la stagiaire que j'ai surpris en train de me regarder à la cantine, me sert d'assistante.
Je me souviens encore de sa tête quand, lundi matin, on s'était retrouvés dans le même ascenseur.
J'y étais avant elle, mais au moment où les portes allaient se refermer, elle s'est pointée, un peu essoufflée.Elle était entrée sans me regarder, trop occupée à farfouiller dans son sac à main, d'où on entendait la sonnerie de son téléphone.
Au moment où elle l'y a enfin sortit, l'appel avait été coupé.
Après un bref coup d'œil sur l'écran, elle avait rangé son portable, et à enfin lever ses yeux sur moi, tandis que l'ascenseur s'élevait, pour nous emmener au 5 ème étage.Elle était grande, mais visiblement plus petite que moi.
Elle portait un tailleur pantalon bleu marine, et ses cheveux étaient attachés comme la dernière fois.
Elle baissa rapidement son regard, et cela durant tout le trajet jusqu'en haut.Je n'était pas spécialement de mauvaise humeur ce matin, donc si elle l'avait voulu, on aurait pu discuter un peu.
Comme chaque fois que j'allais au bureau, je portais mes lunettes rondes en bordure argentée. La vendeuse me l'avait conseillé, car elle pensait que ça irait très bien avec mes chevaux teint en un gris - blanc.
Ah oui, au moment d'appuyer sur le bouton qui nous guiderait au 5ème étage, on allait appuyer ensemble.
Personnellement, je suis resté calme.
Mais elle, elle a paniqué, et a vite baissé sa main.Après quelques minutes, on sortit et on se dirigea chacun dans son couloir.
Dans mon bureau, je me suis affalé sur le fauteuil, puis j'ai sortis des dossiers et j'ai commencé à travailler.
À peine avais-je commencer, que mon téléphone de bureau sonna avec une sonnerie stridente à vous rendre sourd.
C'était le chef du personnel à l'autre bout du fil.
Il m'avait dit, qu'il allait envoyer une stagiaire pour me servir d'assistante, étant donné que la mienne avait démissionner il y a quelques jours.
Je n'eu pas mon mot à dire, vu que c'était l'ordre du Chef.
J'avais raccrocher et repris mon travail.20mn environ, plus tard, on avait frappé à la porte de mon bureau.
Quand j'eu donné mon accord pour son entrée, quelle ne fut pas ma surprise en voyant débarquer la fille de l'ascenseur.
En me voyant, elle devint plus rouge que jamais.
Elle s'inclina légèrement devant moi, puis me tendit quelques papiers, qui contenait des petites informations sur elle.
Je lui avais montré du doigt, un petit bureau aménagé au coin de la mienne. Un petit sourire de soulagement perla sur ses lèvres, et elle s'était hâtée jusque là bas.Et voilà comment elle est devenue mon assistante stagiaire.
On est vendredi, c'est le seul jour où je m'autorise à arriver un peu en retard.Je me suis décidé à aller enfin au bureau, vers 7h45.
Dans la voiture, j'allumai la radio, et écoutais les dernières nouvelles.
Le nom de Sakibara fut prononcer, ce qui me fit sursauter.D'après ce que la journaliste racontait, il aurait fait don d'un gros chèque, à un orphelinat, hier.
Il reçut des louanges et fut comparer à un bienfaiteur extrême. Le terme me choqua, étant donné qu'on parlait de lui.La journaliste précisait aussi, que cet orphelinat était composé essentiellement de filles.
Ça disait aussi, qu'il allait inviter les plus grandes à venir faire des entretient d'embauche dans son entreprise.Là, le rapport était parfaitement clair pour moi.
Ce vieux pervers voulait exploiter ces pauvres filles, qui ne se doutent même pas, que leurs si bon protecteurs n'est en faite, qu'un vieux pervers obsédé.J'appelais Ichijo pour lui raconter tout ça.
Il mit un peu de temps avant de répondre:📲Ichijo: Ne me dit rien, je sais ce que tu vas vouloir me raconter.
J'ai vu les nouvelles à la télé, Sakibara et l'orphelinat à nanas.
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Coffee (Rédaction En Pause)
RandomTout commence et se termine dans un seul et unique café.