Chapitre 17- A la porte des enfers

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(-Mais qu'est ce que vous attendez!! Allons les sauver!!)

Des cris de désespoir et de peur nous conduisîmes tout droit au massacre. Du sang frais souillait le sol tandis que les meurtriers continuèrent à trancher des têtes ou à enfoncer leurs isocèles dans la poitrine des captifs. Je ne pouvais voir la scène alors je baissa le regard et rampa vers le chêne et le ruisseau--Toundra et Volcan partirent libérer un à un les dragons captifs-- alors que Faucon pris à revers l'horrible dragon rouge qui regardait les feuilles tomber. Assassin était couché sur le flanc sous le chêne. Bizarrement, il ne regardait pas le spectacle sanguinolent comme l'aurait fait un meurtrier, au contraire il était dos au massacre. Quand Faucon bondit se fut le signal, je me précipita sur le dos de l'écaille de feu et lui laboura les flancs avec mes pattes arrières et lui lacéra des coups avec les pattes avant. Faucon, plus agile, passa sous son ventre et le renversa, m'emportant avec. Assassin, hurla de douleur ou de rage, impossible de le déterminer. Son adversaire se débattit violemment et appela à l'aide. Lorsque je fus sure que Faucon pouvait s'occuper seul du dragon; je m'élança au bord de la carrière; Toundra et Volcan avaient libérés la moitié des prisonniers et commencèrent à délivrer les autres pendant que les dragons libres se battaient jusqu'à la mort contre les alliés d'Assassin. Le plan marchait bien.        Quand un poids lourd me sauta dessus. Assassin! Faucon était suspendu la tête en bas, sont isocèle coincé entre deux branches du chêne. A mon soulagement il respirait toujours. Emporté par le poids d'Assassin, je bascula en bas de la carrière, en entraînant mon ennemi avec moi. On s'échangea des  coups de griffes, de crocs et même de cailloux, avant de heurter le sol, mes poumons se vidèrent sur le coup. A demi-sonnée je me releva douloureusement, cherchant Assassin du regard. On était pas tombé dans la carrière mais dans une grotte au plus profond des entrailles de la terre. Un tunnel menait à une source de lumière inconnue. Je me frotta les yeux pour enlever la poussière et c'est à ce moment là que choisit Assassin pour charger, l'encolure tendu et les cornes en avant telles un bélier, cette scène me rappela le sanglier lors d'une de mes chasses. Je ne referais pas la même erreur! Puis je sauta par dessus le dragon souillé par son sang et la terre, celui-ci, ne voyant pas l'esquive arriver frappa le mur de la grotte. Une corne tomba sous la violence du choc.

-Je... me vengerais.... Dit-il essoufflé.

-Venger quoi?! Pourquoi faire du mal à des innocents?

-Je...  me VENGERAIS!! Répéta-t-il, avant de bondir.

Je baissa la tête pour éviter une patte et sauta sur sa queue, pour ensuite lui en arracher la moitié. Assassin, Hurla à s'en décrocher la mâchoire. Même sous cette cas-s'y obscurité, je pus distinguer très clairement le sang qui gicla de sa plaie, recouvrant pratiquement toute la surface de la grotte. Assassin se contorsionna et enflamma sa demi-queue, le sang s'arrêta de couler et une croûte brûlée se forma sur la plaie. A mon tour de profiter de se manque d'attention pour me jeter sur mon ennemi. Je lui pris sont aile intacte et la brisa. Le crac des os brisés me firent des frissons dans tout le corps. Quelque chose roula sur le sol quand Assassin ouvrit la gueule pour emmètre un grognement de douleur étranglé. La chose était en fait un cailloux marron ovale et lisse, il brillait d'un éclat beige. Alors ce n'est que quand Assassin le prit en s'enfuyant vers la lumière que je réalisa que le caillou était la pierre de terre. La clef du portail! Non!! Je couru à la poursuite d'Assassin. Trop tard, il avait déjà placé la précieuse pierre dans un trou du  mur à coter de trois autres pierres. Ce qui devais être le portail ce mi à grincer et les pierres se mirent à tourner, le grincement cessa quand quelque chose frappa le portail. Et se qui devais arriver, arriva. La porte s'ouvrit aussi grande q'un dragon dévoilant les enfers. Il y avait des milliers et des milliards de Goyles derrière cette porte. Ils étaient dans le noir total et grimpaient sur de gros rochers; en bas il n'y avait que le vide. Ces monstres étaient énormes, avec des écailles noires et une masse au bout de la queue, le dessous de leur écailles étaient rouges comme de la lave. Leurs ailes de chauve-souris faisaient dix fois la taille d'une aile de dragon. Les Goyles se tournèrent vers moi et Assassin. La bête qui avait frappé la porte était juste en face de moi et battait vigoureusement des ailes pour ne pas tomber dans le vide. Une chaleur étrange émergea du dessous de ces écailles.

Quand les Goyles comprirent qu'ils étaient libres, ils glapirent de plaisir et s'envolèrent tous en même temps

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Quand les Goyles comprirent qu'ils étaient libres, ils glapirent de plaisir et s'envolèrent tous en même temps. Assassin ria d'un rire effroyable et fit demi-tour vers la sortie en criant:

-Aller-y mes amis!! Allons nous venger du monde!!

Ce que les buveurs de pouvoirs prirent pour une insulte. Ils se jetèrent sur Assassin et lui déchiquetèrent ailes, membre, dos...  . Je me précipita vers la porte et voulu la refermer mais les Goyles m'engloutirent in extremis. Je me débattit avec mes quelques forces qui restèrent. Je rugis tout ce que mes poumons pouvaient expulser. Le rugissement me surpris. Ce n'était pas le mien!! Ce rugissement pouvait provenir que d'un dragon... Céleste! Ce simple rugissement effrayèrent les Goyles. Ils ont du reconnaître le crie de celle qui les a enfermer. Les monstres alors tracèrent leur chemin vers la sortie. A terre, je respirais difficilement et quand je ferma les yeux, je crus que je me transformais en Goyle.                                                                                                                                                              

Je sentis qu'on me tirait la queue alors j'ouvrit un œil. J'étais au milieu de la carrière et une multitude de dragons me fixaient. Le dragon qui m'avait tirer la queue n'était autre que Faucon. Quand il me vit bouger il poussa un long soupir de soulagement. Je me releva et tout les dragons; prisonniers libres et alliés d'Assassin, se prosternèrent. Faucon se jeta sur mon coup.

-Lune, tu as été impressionnante! J'ai eu tellement peur pour toi quand tu t'es effondrée!

-Que... quoi? Faucon, pourquoi tous ces dragons se prosternent t'ils? Pourquoi dis-tu que j'étais impressionnante?

-AHH!! Je vous l'avez dit! intervint Volcan.

Il frotta sont museau au mien et se lança dans des explications.

-C'était la catastrophe! Des Goyles de partout! PARTOUT! Je dis. Ils allaient tuer tout le monde, quand tu es arrivée! C'était comme... comme.... Un miracle! Tu avais grossi et changer d'allure, ta stature était énorme! Et la bataille! Épique! Je ne suis même pas sur que c'était toi, tu avais des motifs jaune sur ta tête, et ta façon de te battre n'était pas du tout la même que d'ordinaire. Et quand je pense que Toundra et Faucon ne m'on pas cru...

-Attends! Je n'arrive plus à te suivre.

-Je vais trop vite, c'est vrai. Je raccourcis: Lune... je suis heureux de t'annoncer que tu étais devenu en quelque sorte... Céleste!!!

-Quoi?!! Dis-je surprise.

Faucon ouvrit la gueule mais je ne compris pas ce qu'il dit. Le monde ce mit à tourner et je cru vomir le lièvre d'Assassin, je ferma les yeux pour arrêter les tournis et quand je les ouvris, je n'étais plus au même endroit. Le vent, La grotte en face, les mouvements à l' intérieurs... J'étais de retour à l'antre de ma grand-mère! Mais quelque chose clochait... les mouvements se firent plus nets, et un Goyle sortit des ombres pour se mettre en face de moi... c'était Céleste.

Âme de dragon [Réécriture Prévue]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant