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A ce moment où se glissait la tristesse dans le cœur des MENDY, le petit BADOU se précipita de parler en interrompant son frère :
_Excuse-moi grand frère mais j’ai entendu dire qu'elle a peut-être quelques choses à voir avec la mort de papa. 
BASSIROU : non petit ne te fait pas des illusions les gens mentent comme ils respirent, je ne veux plus t’entendre dire ça.
BADOU : mais n’empêche que je ne vais oublier cette cicatrice quelle m’a fait.
MADAME MENDY : d’ailleurs je comprends bien vous l’avais quitté parce qu’elle n’était pas bonne avec vous.
BASSIROU : si elle n’a pas fumé de l’herbe elle reste très protectrice avec nous et très fragile avec les larmes aux yeux .mais si elle est défoncée elle devient amère et agressive.
MADAME MENDY : c’est ça donc on ne peut pas tourner le dos à ses propres fils d’une telle sorte ; en dépit de ses actes je paris qu’elle vous aime parce que moi aussi je suis une mère.
BASSIROU : oui MADAME ont arrivé toujours à la supportée mais ce qui nous a poussé à la quitter est bien plus pire que ça.
Bref la petite RACHEL poussait par sa curiosité posa sa tache de lait et interrogea BASSIROU :
_C’est quoi donc raconte nous
BASSIROU : un enfant mal élevé de notre quartier m’a dit que ma mère couchait avec son père en cachette, celui-ci m’a vraiment offensé et je l’ai sonné avec un coup fatal en plein visage et il s’est écroulé au sol comme un grand baobab déraciné.
RACHEL : très bien fait !!
BASSIROU : Après ça mon petit frère et moi nous avons couru à la maison sur le coup et malheureusement avec la colère que j’avais j’ai pénétré dans la chambre de ma mère de manière brusque. Là j’ai vu MONSIEUR FALLY WANE le père de SOGUI WANE et ma mère sur le lit tous nues.
BADOU : C’est l’unique raison pour laquelle nous sommes ici.
MONSIEUR ALBERT : OH mes petits c’est vraiment un vilain geste de la part de votre mère.
MADAME MENDY : nous sommes désolés les enfants.

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