Après un délicieux déjeuner les deux MBALLO et PIERRE MENDY restèrent discuter dans le jardin comme des amis de longues dates. RACHEL se pencha sur la fenêtre en supervisant BASSIROU pendant que ses parents s’apprêtèrent à partir pour l’église. Avant leur départ, MONSIEUR et MADAME MENDY entamèrent une discussion au sujet des enfants.
MADAME MENDY : chéri qu’allons-nous faire de ces deux vulnérables et innocents enfants.
MONSIEUR MENDY : je pense que je vais les gardés pour l’instant, ils ne semblent pas dangereux et ils n’ont pas d’abris.
MADAME MENDY : Espérons que ça soit une bonne idée et en plus je suis vraiment touché par leurs histoires.
MONSIEUR MENDY : oui c’est bien triste. D’ailleurs ou est notre petite RACHEL.
MADAME MENDY : je croix qu’elle est dans sa chambre.
MONSIEUR MENDY : Dans ce cas je vais l’alerter il fait déjà tard nous allons manquer l’église.
Ainsi le gentil père ALBERT tapa à la porte de sa petite fille. Et RACHEL répondit :
_Qui est ce ?
MONSIEUR ALBERT : c’est ton papa.
RACHEL : Entre je t’en prie.
MONSIEUR ALBERT : Pourquoi tu ne t’es pas habillé.
RACHEL : père je croix que je vais finalement rester.
MONSIEUR ALBERT : qu’a-t-il, pourquoi tu as changé d’avis aussi vite ?
RACHEL : papa je ne veux pas en parler et je préfère être seule.
MONSIEUR ALBERT : d’accord je te laisse mais en d’autre terme si ça concerne les petits MBALLO rassure toi que j’ai décidé qu’ils restent en attendant.
RACHEL : Attendez papa c’est à eux que je me faisais des soucis ; c’est vrai que je suis un peu déprimé en écoutant leur version. De surcroit ils sont sans défense.
MONSIEUR ALBERT : ma fille tu as deux autres frères pour l’instant.
RACHEL : ah c’est une bonne nouvelle, alors donne-moi cette robe accrochée derrière vous.
MONSIEUR ALBERT : bien sur ma fille, prenez.
RACHEL : mais dit papa qui restera à la maison avec mes deux nouveaux frères musulmans ?
MONSIEUR ALBERT : ils vont rester avec MAGUETTE le gardien ne t’inquiète pas trop.
Alors la petite famille chrétienne prend la route de l’église tandis que les deux petits musulmans font leurs prières du « suub ».
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Le Dialogue
General FictionSYNOPSIS Bassirou et son frère Badou sont de jeunes gentils garçons d'origine casamançaise. Apres la mort tôt de leur père, leur mère HANNA rencontre beaucoup de difficultés pour pouvoir nourrir ses gosses. N'ayant pas le choix elle vend sa fierté...