Apres cette longue échange entre frères, le gardien MAGUETTE ouvra la grande porte et le Ford entra dans la maison : la famille MENDY est revenue. PIERRE descendait le premier et courait à toute vitesse pour rejoindre BADOU au moment que les autres regagnèrent leurs chambres pour se déshabiller.
PIERRE : BADOU j'ai prié pour toi à l'église.
BADOU : Moi aussi je te l'ai rendu en priant à votre départ.
PIERRE : Donc que DIEU exauce nos prières.
BADOU : Amène !!
PIERRE fixa BADOU avec des yeux de compassion. Déjà il ressentait une solitude puisqu'il croyait que son ami va quitter la maison. Avec ce sentiment intense, la petite pierre était obligé de lui poser une question.
PIERRE : Est-ce que vous allez partir ?
BADOU : J'en suis pas encore sure
PIERRE : Aimeriez-vous partir ?
BADOU : Sincèrement non je préfèrerais rester avec vous.
PIERRE : D'accord dans ce cas je vais me déshabiller et revenir.
Quelques dizaines de minutes après MONSIEUR ALBERT sortait minus d'un râteau et un ciseau et se dressa vers son magnifique jardin ; BASSIROU s'engagea à l'aider en lui demandant la permission d'arroser les fleurs. Son petit frère lui il était chargé de remplir les canaris d'eaux. De ce fait le petit PIERRE n'ayant jamais aidé son père dans le travail du jardin s'y engagea pour la première fois depuis sa naissance. En travaillent creusement, le bon homme BASSIROU échangea avec MONSIEUR ALBERT des paroles d'inquiétude.
BASSIROU : Monsieur qu'allait vous faire de nous ?
MONSIEUR ALBERT : j'aimerais vous garder mais il me faut l'accord de votre mère puisqu'elle est bien vivante.
BASSIROU : Ma mère vous avez dit, non moi je ne vais pas retourner le voire franchement ce n'est pas le moment
MONSIEUR ALBERT : Ne dit pas ça jeune homme, je ne veux pas avoir des problèmes avec la justice. Il me faut parler avec votre mère.
BASSIROU : Bon je n'ai pas le choix on va retourner le voire.
MONSIEUR ALBERT : Dit moi gamin votre mère est votre seule famille dans ce monde ?
BASSIROU : Je n'ai pas connu ma grand-mère, grand père non plus. En effet il me reste un oncle un frère de maman mais c'est un ivrogne. Il venait parfois semer la terreur et accuse maman d'avoir tué papa.
MONSIEUR ALBERT : je n'ai pas les moindres mots avec un ivrogne. Il me faut un accord noir sur blanc et tamponner rouge sur blanc avec l'émargement de votre mère dans un dossier juridiques.
BASSIROU : Oui monsieur c'est plus sure et plus honnête.
MONSIEUR ALBERT : Bien petit nous y allons cette nuit même, passe l'info a ton frères.
BASSIROU : Oui MONSIEUR.
De loin, MADAME MENDY et sa fille RACHEL nettoyèrent la case du chien ALEX le gentil chien. Quelques heures passes, le muézin appelle à la prière du *tisbaar* ; ainsi BASSIROU se purifia son corps et demanda à PIERRE :
_Quel chemin devrais-je emprunter pour atteindre la mosquée avant que je rate cette prière.
PIERRE : Sui moi je vais te guider.
BASSIROU : Oui je t'en prie.
PIERRE : Ici tu vois les rues sont très biens tracées, alors tu dois prend cette route et tu comptes par rue, a la quatrième à droite tu verras la mosquée sur l'angle.
BASSIROU : Merci beaucoup mon frère.
PIERRE : Mais attend où est BADOU, il ne part pas avec toi.
BASSIROU : Il dort profondément dans le salon ; mais avec ses nouveaux habits que tu la offert il est vraiment content.
PIERRE : Oui désormais c'est mon frère moi aussi.
BASSIROU : j'y vais avant que je sois en retard.
PIERRE : Allez-y, j'irais prévenir maman pour quelle t'attend pour le repas.
BASSIROU : Merci à toute à l'heure petit frère.
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Le Dialogue
General FictionSYNOPSIS Bassirou et son frère Badou sont de jeunes gentils garçons d'origine casamançaise. Apres la mort tôt de leur père, leur mère HANNA rencontre beaucoup de difficultés pour pouvoir nourrir ses gosses. N'ayant pas le choix elle vend sa fierté...