Dans ce salon il y trouvait un journal et une écritoire à côté ; BASSIROU s'asseyait par terre et ouvrait le journal. Du coup RACHEL le rejoignit, ainsi débute une nouvelle discussion.
RACHEL : Pourquoi êtes-vous assis par terre ?
BASSIROU : Non mademoiselle parce que je me sens mieux à l'aise ici.
RACHEL : Les fauteuils c'est pour tout le monde, donc levez-vous et prenez place si vous plait ?
BASSIROU : Merci mademoiselle !
RACHEL : Bon gré de votre éducation, veillez m'appelez par mon prénom s'il vous plait.
BASSIROU : Entendu Mademoiselle !
RACHEL : je veux que nous soyons amis.
BASSIROU : Ça sera un honneur pour moi RACHEL.
RACHEL : Voyons, le fait que nous soyons seuls au milieu de ce salon nous permettra de nous connaitre davantage.
En voulant trop s'approcher de BASSIROU, la jeune RACHEL ne résistera pas trop longue temps de cacher ses sentiments pour le pauvre jeune homme.
« Dans la vie il nous arrive parfois d'aimer quelqu'un d'un simple coup d'œil, là où la solitude ou rancœur règne, l'amour est la seule thérapie pour s'en débarraser.
Comprenons que les grands problèmes deviennent des petits problèmes si on les corrige voire soigner, régler, résoudre mais les petits problèmes deviennent des grands problèmes si on ne les corrige pas »
L'amour que la petite RACHEL ressentait pour BASSIROU deviendra un problème pour elle, mais elle n'avait pas le courage et les mots pour le lui dire. Dans l'avenir ce petit problème va prendre de la taille.
RACHEL s'asseyait près de lui et la discussion continue :
_ Comment est ta mère est-elle belle ?
BASSIROU : oui elle est trop belle même
RACHEL : c'est peut-être la raison pour laquelle tu es beau
BASSIROU : je ne crois pas je pense que ça n'a rien n'a voire ?
RACHEL : d'accord, mais avez-vous des petites t'amies ?
BASSIROU : oui j'en avais mais plus maintenant ?
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Le Dialogue
General FictionSYNOPSIS Bassirou et son frère Badou sont de jeunes gentils garçons d'origine casamançaise. Apres la mort tôt de leur père, leur mère HANNA rencontre beaucoup de difficultés pour pouvoir nourrir ses gosses. N'ayant pas le choix elle vend sa fierté...