Eloignés

7 0 0
                                    

A l'aube d'une douce nuit d'automne,
Les rayons chauds du soleil de l'été
Ont laissé la place à l'austérité.
Et mon coeur solitaire est monotone.

La gorge serrée, j'attends que le temps
Passe. La pluie coulant sur ma fenêtre
Est même aux larmes fuyant de mon être.
Actuellement, plus rien n'est important

Que toi. Les souvenirs de notre enfance
Inondent mon âme enchantée en transe.
Je songe à ces temps maintenant rompus.

La vie et toi avez changé, et moi,
Je subsiste là, figée dans le froid,
Je contemple de loin : je t'ai perdu.

Peindre la vie en versOù les histoires vivent. Découvrez maintenant