Une fois de plus, reflechisant, se plaignant dans un état perpetuel de lamentation cautionné par nul autre que moi-même.
Dans ma tête, listant tout échec et succès des dernières années juste pour réaliser que tout peut partir en couille pour une poignée des plus marquantes défaites sans y voir une once d'amélioration pour une infinité de petites victoires et ironiquement, s'oppose au côté positif de l'un, en quantité superieur à l'autre.Une fois de plus, un nouveau cycle, se lamentant, se plaignant dans un état perpetuel de réflexion pour ce qui devrait changer et comment le changer, comment l'améliorer. Finalement réalisant qu'il n'y a pas de chemin si ce n'est celui du sacrifice afin de ramasser les miettes d'un rêve brisé.
Une fois de plus grandissant, reflechissant et se lamentant dans un état perpetuel de plainte. 6 heures du matin à l'horloge, la tête prête à éclater, manque de sommeil, courbatures, dafalgan, un shot de rhum.
Huit heures pour deux jours de repos, quelques années pour une promesse qui se fait de plus en plus discrète lorsqu'elle s'éloigne.
Et pour une fois pas de leçon.
Pour une fois pas de raison pour écrire, juste du temps à tuer.
Pour une fois, de la motivation... mais pour combien de temps?
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la vie d un paumé lambda
CasualeDes joies des peines du cynisme de l ironie et beaucoup de coups de gueule(prenez plus un idiot seul qui raconte le premier truc qui lui sort de la tête): la recette d'un gros fragile qui fait comme si ca allait. Comme trop de gens ici bas. Un truc...