Il fait froid extrêmement froid; une froideur mordante tel une personne exécrable. En temps normal, il me provoquerait la chaire de poule mais en cet instant je ne sens plus mes membres. Aucune chance que je décongèle! Mon corps est figé comme les fossiles sont figés dans leurs pierres qui jouent le rôle de leurs prison définitif. Mes yeux clos ,mon esprit embrouillé ,je me vide peu à peu de mes souvenirs. Mon visage n'exprime aucune réaction. Tout mes sens ne sont plus mis en fonction. Le froid rien que le froid est à présent une partie intégrante de moi. Aucun sentiment exprimé n'est sur mon visage. Mes vêtements me serrent mais je ne peux rien faire; je ne sais si je respire ou non.
Je ne sais même plus à quoi je ressemble!
Des personnes qui me semble importantes à mes yeux me manquent. Un phénomène que j'aime bien observé me manque exactement comme mon monde. Pourquoi je n'existe plus. Mon existence a été annihiler. Je n'entendrai plus ces petites bêtes chanter ni ces personnes lassantes, parfois énervantes râler comme à leurs habitudes. L'époque est révolue.
Le temps où je dépendais de mes parents n'existe plus, puisque je n'est jamais vécu à leur yeux. Je suis devenu mes propres parents ainsi que mon guide. Ma vie est entre mes mains.
Pleurer est le seul mot qui me parvient, les larmes qui ruisselle le long d'un visage en peine. En y portant une réflexion juste, au final qu'est ce que pleurer? Ce n'est qu'une perte de temps me disais une part de moi. L'autre disais simplement et tout bonnement le moyen d'évacuer toutes tristesse par les larmes.
Debout, couchée ou assise? Qui sais! La gravité n'a lieu d'être. Je suis figé ainsi sans connaître la notion du temps.
Sans crier garde, un vent chaud soufflais sur mon corps gelé. Tout passage du froid avait disparu pour laisser place à un vent chaud. Mes sourcils collés ne pouvaient guère me permettre d'ouvrir ne serais ce qu'un oeil.
Ma tête se mit à tourner. Ce mal inconnue et atroce se propageait le long de mon être. Je souffrais en silence sans pouvoir me plaindre à qui que ce soit." Comme l'ouvrage d'un livre dramatique dont le titre intulé: souffrance solitaire"
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Des picotements se faisaient légèrement sentir sur ma peau. Des douleurs de bien être; une chaleur accueillante et reposante. Difficilement je me souviens de tout les évènements passés. J'ouvris un œil le fronçant affreusement, puis le second mais les refermaient sur le champs.Après m'être habitué à la lumière du jour, toujours couché j'observais mon environnement. Le ciel est grisâtre mais aucun signe de vent ne signalait la pluie. Tournant ma tête de mon côté droit, je constatais que les herbes étaient jaunies et la fois sèches. Une forêt s'étendait à perte de vue. Aucun amis nommés oiseaux ne sillonnaient dans les parages.
En essayant de me redresser, je retombais en un rien de temps en position couché. Des courbatures atroces se faisait ressentir en moi notamment vers ma poitrine. Elle était plus lourde que dans mes souvenirs. En y regardant de plus prêt j'eu un hoquet de surprise car elle avait prit d'empleur.
Mes vêtements étaient déchiquetés. Ma chemise de nuit que j'ai enfilés le jours de ma disparition si on peut l'appeler comme tel avait perdu ses boutons me serrant terriblement comme une et mon énorme poitrine se voyait. Les manches avaient sédé. Quand à mon short il n'avait plus lieu d'exister.
Ma respiration se faisait plus haletante et je dû enlever tout ce que me servait à présent de vêtement. Je me retrouvais nu au milieu de nul pas. Où est ce que je suis?
Après plusieurs essaie, je me levais avec difficulté puis commençais la visite de cet endroit étrange non sans trébucher parce que n'étant pas habitué a cette nouvelle forme de moi je ne mis ferais pas de si tôt. Pas chance dans ma visite je pu apercevoir vers l'entrée de la forêt prêt d'un énorme arbre appelé iroko une chemisette noir au longue manche et m'arrivant jusqu'à mon genou qui pouvait me couvrir pendant un laps de temps. Je l'enfilai et la boutonna avant de reprendre mon trajet.
Plus je m'enfonçais dans cette forêt, plus le temps s'assombrissait et devenait inquiétant. Des bruits bizarres ainsi qu'effrayant commençaient leurs énormes chansons que je ne peux supporter. J'essayai de courrir mais tombais à de nombreuses reprises m'écorchant par la suite. Mon sang avait une couleur rouge pur et violacée à certains endroits, il dégageait une odeur indéfinissable ; à m'en poser la question: comment voyais je dans le noir?
Sans me préoccuper des détails, je repris une marche raisonnable à la cadence de mes pieds. Le paysage présentait certaines végétations que j'ai déjà eut à rencontrer tandis que d'autres m'étais totalement inconnue. Une odeurs nauséabonde se levait me donnant des hauts de cœur. Elle me piquait les yeux à m'en arracher mes sourcils. Je ne toussais pas. Voilà une bonne nouvelle.
Je pressais le pas et atterris dans une clairière au allure miséreuse et peu accueillante. L'eau qui ruisselait non loin de l'endroit ou je me trouvais possédait une couleur verdâtre et noir; aucun animal que je puis voir sans approchait. Tout prêt je pu apercevoir le cadavre d'un animal qui me paraissait étrange. Je ne pouvais definis ce que s'étais. Balladant mes yeux sur la végétation a proximité sèche je sentis des présences derrière moi.
Je me tournais au ralentie sans empressement quelconque et dévisageais les quatre inconnues qui avaient fait leurs apparition.
_Qui es tu?
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Bienvenue à Grinn's
FantasíaQuatre enfants qui disparaissent fortuitement du jour au lendemain sans laisser l'once d'être perceptible est un fait très inquiétant. D'autant plus, aucune trace de leur nom et existence ne figure dans le système des données informatique après vér...