Stupide pari

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Depuis hier soir je n'ai plus eu aucune nouvelle d'Olivier sauf par l'intermédiaire d'Hugo, qui le voit tout les jours, qui me dit qu'il va très mal, qu'il se bourg la gueule tout les soires dans un vieux barre et qu'il est en dépression. Dans un sens ça me rend mal mais dans l'autre pas vraiment. Je sais c'est méchant mais je ne peux pas m'attacher. Je n'ai pas le droit. 

On c'est tous retrouver avec l'équipe et le staff de la coupe du monde 2018 car on se manquait tous et deviner qui j'ai devant moi...

Max : Maman, on va voir Lily et Kurk aujourd'hui ? 
Paul et Antoine : C'EST QUI EUX ??
Max : C'est les parents du collègue de maman.
Didier : Et en quel honneur va tu rendre visite aux parents de ton collègue ?
Max : Heu... Je vais chercher les mouchoirs...

Je le frappe l'épaule en rigolant.

Moi : Ne raconte pas n'importe quoi toi.

On se mit à rigoler sous le regard de tous. Je n 'ai pas autant rigoler depuis tellement longtemps, je peux vous dire que ça vous fait du bien quand votre moral est au plus bat.

Didier : Non sérieusement.
Moi : On va les voir car je suis l'ex fiancé de leur fils.

Il y eu un grand blanc et tous regardèrent Olivier et moi.

Moi : Bien quoi ? Vous ne pouvez pas m'interdire d'être tomber amoureuse pendant ces 4 longues années.

Toujours le même blanc, oppressant.

Max : Je vais aller acheter des fleures.
Moi : Prend deux bouquets, dont un de rose rouge, ce sont ces fleures préférer.
Max : Oui chef.

Il me sourit, se leva et pris mon porte monnaie d'où il en sortait 50 € en billet, ainsi il quitta Clairefontaine, car oui on était à Clairefontaine.

Antoine : Attend que j'assimile, tu as était fiancée ?!
Moi : Oui, pendant 2 ans et demi.
Hugo : Et ?
Moi : Et quoi ?
Olivier : Et pourquoi vous avez arrêter ?

Mais de quoi il se mêle lui en faite ?

Moi : Il est mort.

Le ton froid et je lui soutiens le regard, j'adore lui faire ça parce qu'il sais que ça veux dire que je lui en veux et que je m'en veux a moi aussi.

Antoine : On est désolé pour toi, Max était proche de lui ?
Moi : Assez pour se sentir mal quand il a su qu'il était mort. Max a toujours était proche avec les hommes que je fréquentais c'est pourquoi il est souvent toucher sentimentalement. 
Clem : Tu ne m'a jamais parler de lui.
Moi : Bah tu n'étais pas censé savoir que j'étais vivante.
Clem : T'a pas tord.

On rigolait quelques instants avant que mon téléphone ne sonne.

Appel

Moi : Allô ? ... Quoi ? ... Mais... comment ? ... Oui j'arrive... Ne bouge pas Max... J'arrive chéri.

Fin de l'appel

Hugo :  Il se passe quoi ?

Je regardais Clémence et je n'avais même pas remarquer je pleurais. Elle se leva et me pris dans ces bras, c'est ainsi que je me mis à fondre en larme comme jamais je ne l'avais fait. C'est pourquoi elle compris tout de suite... Mais pas les autres.

Clem : Chut, ça va aller... calme toi, respire.

Elle aussi pleurait. Je me rendis compte à cet instant qu'elle comptait vraiment pour moi et que si elle n'avais pas était là, je ne serais même plus là. 

Moi : Comment... Je porte malheur ou quoi ?
Clem : Comment ça?
Moi : Bah tout le monde meurt autour de moi.
Clem : Mais c'est faux, complètement faux.
Moi : Ah oui, t'es sur?

Je me retirais de ses bras, pris mon sac et mes clés de voiture et partis sans même me retourner.
J'entendais Clémence m'appeler mais rien à faire, je montais en voiture, il fallait je j'aille chercher Max pour aller au Texas.
Une fois nos valises faites, nous descendons en bats de notre immeuble, nous allions monter en voiture mais on c'est fait "intercepter".

Clem : Pas si vite toi !
Moi : Vous... Vous êtes venu?
Clem : J'étais un peu obliger de leu expliquer puis c'est surtout Olivier qui nous à bouger le cu pour qu'on vienne.
Moi : C'est vrai ?
Clem : Ok, il a fait une erreur mais il l'assume et il c'est excuser. Puis pour James, tu as le droit de passer à autre chose, tu ne dois pas t'arrêter d'aimer. Toi aussi tu as le droit au bonheur.

Je la pris dans mes bras et lui fit un bisous sur la joue.

Moi : Tu es la meilleure, tu le sais ça ?!
Clem : Vue le nombre de fois que tu ma l'a dit, heureusement que je le sais.

Je rigolais, je me tournais vers le reste de la bande dont lui...

Clem : Tu devrais le remercier et vite, on ne sais pas combien de temps tu pars et toi non plus. Les choses pourraient vite changer.

Je regardais Max dans la voiture qui me fit un oui de la tête. Il est médium ou quoi ?
Je m'avançais vite vers Olivier, pris son visage entre mes mains et l'embrassa. Notre baiser était passionnel et amoureux comme si c'était le dernier. Mais j'espère que ça ne va pas être le cas. Je me reculais et repartis en direction de la voiture sans accorder aucun regard à personne.

Max : Ça va ?
Moi : Et toi ?
Max : Roule.