2

696 18 7
                                    

Pour mon anniversaire j'ai décidé de vous poster ce chapitre en plus. J'espère qu'il vous plaira autant qu'il me plaît moi car je doit l'avoir. Je l'adore. Bisous💙

J'étais assise dans le canapé en pleure, Paul et la boite de mouchoir à côté de moi quand Clémence rentra dans l'appart.

Clem : Si tu savais comme je m'en veux, si je ne t'avais pas obliger à venir, tu ne les aurais pas vues, Max n'aurait pas engueuler son père comme jamais et toi tu ne serais pas sur ce canapé à pleurer.
Moi : Clémence, calme toi, ce n'est pas de ta faute mais de cet abruti qui n'a rien fait pour arrêter cette pétasse de lui sauter au coup.
Clem : Peut être mais je m'en veux quand même.
Moi : Il a dit quoi sinon ?

Clémence allait répondre quand la porte claqua, laissant apparaître un Max plus énervé que jamais.

Max : Il arrive pour te parler, dit lui que je ne veux plus jamais le voir.

Puis il monta dans sa chambre sans oublier de claquer la porte de celle-ci.

Paul : Attend, il a dit qu'il arriver ?!

La porte s'ouvrit à nouveau sous un Olivier les larmes aux yeux.

Olivier : On peut parler ?
Paul : Non mais tu te fous pas un peu de nous là !!??

Je n'avais jamais vue Paul autant énervé, il c'est même lever et lui a mit un coup de point. Oh, putain, il lui a foutu un point !!

Moi : Paul, ça va pas, arrête !
Paul : Non mais ta vue ce qu'il ta fait, il le mérite !
Moi : Je sais ce qu'il m'a fait, mais c'est pas de cette manière qu'il va payer !

Paul partie énervé, Clémence derrière lui afin de le calmer. Tandis que moi je me retournais vers Olivier, et le tira par le bras pour qu'il s'assoit sur une des grandes chaises du comptoir de la cuisine. Je pris une trousse de soin dans le placard à côté et commençais à soigner Olivier. On restait tout les deux silencieux, personne ne savais comment commencer la conversation, enfin surtout moi je ne voulais pas de cette conversation.

Olivier : Je te demande pardon.

Il est sérieux là ?

Olivier : Je t'en pris Iris, dis moi quelque chose au lieu de restais silencieuse.

Mais c'est justement ce que je voulais être à ce moment précis, silencieuse et pourquoi pas perdre la voie, c'est bien aussi je dois dire, pour éviter de lui parler c'est le mieux.

Moi : Max ne veux plus jamais te revoir ni te parler.

Mon ton était plus sec que je ne l'azurais voulu mais tant pis, lui souffla de déception avant de lever ces magnifiques yeux sur moi. Bah quoi ? Ok, il a embrasser Jennifer, mais je l'aime toujours... Non Iris, tu n'as pas le droit.

Olivier : Et toi ?
Moi : Pareil.
Olivier : Écoute...
Moi : Non, maintenant, c'est toi qui va m'écouter. Tu n'as pas honte de m'avoir prise pour une poupée, d'avoir jouer avec moi et après de revenir ici pour m'expliquer que tu t'es servis de moi?
Olivier : Jamais je ne te prendrais pour  une marionnette ou une poupée ou un jouet !
Moi : Tu te fous de moi ou quoi ?
Olivier : Iris, si c'est pour Jennifer, c'était un accident, elle a débarquer et c'est jeter sur moi sans que je puisse l'en empêcher.
Moi : Olivier, je ne t'en veux pas dans le fond pour Jennifer car vous avez était 3 ans ensemble.
Olivier : Alors tu m'en veux pour quoi ?
Moi : Parce que je me rend compte que tu es l'homme que j'ai toujours aimer et que j'aimerais toujours.
Olivier : Et il y a quoi de mal ?

Olivier en profiter pour ce lever et mettre ces mains sur mes hanches mais je les retiraient bien vite sous son regarde interrogateur.

Moi : Ce qu'il y a de mal, c'est que je suis amoureuse de toi, c'est qu'en voyant Jennifer je m'en veux d'avoir était loin de vous pendant ces 4 longues années.
Olivier : Tu dois arrêter de t'en vouloir pour ça, on t'a pardonner et en plus on a compris ta décision. Pour Jenn et moi, c'est finie pour toujours, c'est toi que je veux et personne d'autre.
Moi : Tu entend comment tu l'appelle, ça prouve que tu ne l'as pas complètement oublier.
Olivier : NAN ! Iris, je l'ai oublier, c'est toi que je veux, pour toujours.

Les larmes coulaient sur mes joues, je ne pouvais pas, l'amour est une faiblesse et ça je l'ai bien compris.

Olivier : Tu ne peux pas t'interdire de tomber amoureuse, je t'en pris, je t'aime Iris.

Je le poussais en dehors de l'appartement et avant de fermer la porte je lui chuchotait un désole et fermais la porte. Je tomba à terre, dos contre porte avec toute les lames de mon corps sur mes joues.  Je ne pouvais lui pardonner. Je ne pouvais tomber amoureuse. Je ne pouvais l'aimer. Pas après tout ce qu'il m'a fait, pas après tout ce qu'on à vécu, pas après James...
Non, je ne pouvais l'aimer, pour moi, pour Max, pour James.

Stupide pariOù les histoires vivent. Découvrez maintenant