Je me réveillais péniblement. Le mal de tête et surtout la dispute de la veille avec Olivier m'a beaucoup fatiguer et énerver.
Je suis chez mes parents depuis hier soir. Mon avions à atterrit vers 14 heures l'après midi mais je suis aller me promener un peu dans les rues parisienne avant de prendre le train pour le sud de la France.
Mes parents habite en Aquitaine, une ville du nom de Saint Pierre Du Mont. J'y ai passer toute ma scolarité avant d'aller sur Paris pour mon lycée et mon université. J'y retrouve mon oncle Jo qui ne peut s'empêcher de me poser des questions sur ce qu'il c'est passer avec Olivier. Justement en parlant de lui, je ne fais que recevoir des messages et appels de lui. Bien sûr je les supprimes sans les lires. Je lui en veux toujours, je n'arrive pas à me dire qu'il m'a tromper avec Jennifer. D'accord, ils sont ex marié mais ça n'empêche que l'on c'est retrouver, qu'il était toujours amoureux de moi et moi pareil.
Durant le repas avec ma famille. Je reçus un appel d'Antoine.Moi : Excusez moi, je dois répondre.
Je sortis de table et décrocha.
Appel:
Moi : Antoine ?
Antoine : Il arrive .
Moi : Comment ça ? Qui ?
Antoine : Réfléchi putain, quand il a su où tu étais, il à pris un taxi et il est parti. Il a même pas pris la peine de faire sa valise.
Moi : Attend deux minutes. Olivier débarque en France et toi tout ce qui t'inquiète c'est qu'il n'est pas pris de valises ?
Antoine : La valise c'est sacrée.
Moi : Tu me désespère Antoine.
Antoine : Bah j'ai dis quoi encore ?
Moi : Rien rien.
Antoine : Du coup tu sais comment tu vas faire ?
Moi : Pour ?
Antoine : Avec Oliver ?
Moi : Je vais le renvoyer chez lui aussi vite qu'il est arrivé.
Antoine : Tu ne veux pas essayer de l'écouter pour une fois ?
Moi : J'aimerais beaucoup, mais le problème c'est que je ne suis pas sur de pouvoir l'entendre. Déjà que le voir va me faire du mal alors l'entendre essayer de se justifier va être encore pire.
Antoine : Ça se trouve ce n'est pas ce que tu crois.
Moi : Tu le défend maintenant ?
Antoine : Je ne défend pardonne mais je tiens à te dire que tu as tord, juste écoute le. Tu n'es pas obliger de le croire mais au moins écoute le.
Moi : On va voir.
Antoine : En tout cas, j'espère que tu prendras la bonne décision. Personne n'aime voir notre couplé préférer Olivis se disputer. Vous êtes trop chou et on aime pas le fait de plus vous voir tout les deux heureux.
Moi : Mais je suis heureuse.
Antoine : Ça ne sert à rien de mentir, tu sais pas le faire.
Moi : Mouais bon, bonne soirée Antoine.
Antoine : A bientôt princesse et tu me tiens au courant pour vous deux.
Moi : Ça marche.Fin de l'appel
Je m'allongais sur le canapé. Comment j'allais faire avec Olivier ? J'ai envie de le voir car je dois l'avouer il me manque mais après il a fait un truc irréparable. A ce moment précis, j'ai peur de ce que sera fait mon futur. J'ai peur d'avoir fait une erreur. Mais en même temps je suis contente car si je ne l'avait pas quitté comme ça, je m'en serais voulu et ça se trouve ça se serait empirer. Non, j'ai bien fait de prendre du recul. Notre relation ne pouvais pas continuer ainsi.
Je retournais manger à table. Le repas se passa dans le calme quand on entendis toquer. Je savais que c'était lui. Mais j'étais tellement paralyser par le fait de le revoir que je bougea pas de ma chaise. C'est ma mère qui partie ouvrir. On attendit quelques minutes avant de la revoir revenir avec Olivier a côté d'elle.
Je me levais, Et le pris par le bras pour le traîner dans le jardin.Moi : Je peux savoir ce que tu fous là ?
Je savais que ma famille et surtout les enfants nous observer au loin mais au fond, j'avais tellement la rage que je m'en foutais.
Oliver : Iris, je t'aime et ce n'est pas du tout ce que tu crois.
Moi : Alors c'est quoi la vérité ?
Oliver : Après l'accident, Jennifer c'est inquiéter pour moi et ma contacter. Je lui ai dit d'aller se faire foutre mais elle n'a pas voulu m'écouter et tout les jours elle m'appelait. Mais il n'y avait pas qu'elle, je discutais énormément avec Didier par téléphone au sujet de Jennifer car elle m'a dit qu'elle viendrait me voir à Clairefontaine pour me récupérer. Ensuite, si je ne te calculais pas c'est parce que justement j'avais peur que tu réagisse comme tu l'as fait alors je me suis éloigné mais c'était aussi et surtout pour te protéger. Je ne voulais pas que Jennifer t'atteigne mais apparemment c'est justement parce que je me suis éloigné qu'elle ta atteinte. Je te demande mille pardons et je t'en supplie, reviens avec moi. Je t'aime comme un fou Iris et oui j'aurais du te le dire mais j'avais tellement peur de te faire de la peine, de te blesser ou pire, que ce soit elle qui te blesse. J'ai était un vrai con et un gros abruti et te demande pardon.
Moi : C'est tout ?
Olivier : Hum... oui.Je lui sautais dans les bras et l'embrassa amoureusement. J'étais tellement heureuse d'avoir retrouver l'homme de ma vie. Celui qui me fait rire quand je suis triste. Celui qui me console quand sa va pas. Franchement si je devais définir l'amour, je dirais que c'est un ascenseur émotionnel. Tu passe par tout les sentiments et c'est ça qui te rend heureuse car seul lui peut te guider vers le bonheur.
Bonsoir tout le monde, voilà, juste pour vous dire que je pense terminer mon histoire ainsi. Au fond je ne suis pas une si bonne écrivains que ça et je ne pense pas continuer sachant que j'ai déjà énormément d'autres histoires qui n'attendent que vous et votre envie de lire.
Au fond, Iris et Olivier on vécu une belle histoire non ?
Pour mes idées, je ne sais pas si elles plairont alors je préfère les commencer doucement au brouillon et si il ça me plaît, les publier. De toute façon je compte continuer les histoires sur la coupe du monde ou l'équipe de France ou n'importe quelle footballeur car je dos me l'avouer, ça m'a énormément plus d'en écrire sur eux. Enfin bref, n'hésitez pas à mettre en commentaire ce que vous en pensez. Sur ceux. Bisous💙
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Stupide pari
FanfictionAprès l'histoire de la bombe, je peux vous certifier que ma vie a complètement changer. J'espérais qu'aucun de mes secrets du passer ne reviennent à la surface, mais il semblerait que je me soit tromper. Entre amour, haine et fantômes de son ancienn...