Stupide pari

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Je me gara devant Clairefontaine et envoyais un message à Olivier.

Moi : Rejoins moi dans le parc en face de Clairefontaine, il faut que je te parle.

Je sortis de la voiture et partis marcher dans le parc. Je trouvais un banc où je m'assis et regardais droit devant moi.

Olivier : Dis donc, tu es une fille bizarre toi.

Je me tournais vers lui, me levais et le pris dans mes bras avant de l'embrasser amoureusement.

Moi : Il faut qu'on parle.
Olivier : On est vraiment obliger, je ne sais pas de quoi tu veux me parler mais j'ai peur que ça brise tout.
Moi : Je n'ai qu'une seule chose à te dire... Je t'aime Olivier. Je t'aime et je t'aime depuis toujours. J'étais jalouse quand tu étais avec Jennifer et c'est pour ça que je m'en suis voulu d'être partis. J'ai peur et je crois que c'est pour ça que je voulais pas revenir, car je savais que je t'aimais encore et toujours. Alors je ne sais pas de quoi sera fait demain, mais je suis sûr d'une chose, je veux vivre toute ma vie avec toi Olivier Giroud, je veux qu'on fonde notre propre famille. Même si l'amour me fait peur, avec toi ça me rend juste heureuse. 

Il reste silencieux un moment qui pour moi semblait durer une éternité. Jamais je ne m'étais confiais sur ce que je ressentais à personne, même pas à Clémence. Jamais je n'avais dit tout l'amour que je portais pour une personne à voie haute, même pas à James. Jamais je ne m'étais dévoilé à nu comme je l'ai fait tout de suite.

Moi : Dit quelque chose non ?

Sans que je ne m'y attende il se mit à genoux et sortis un boîtier de sa poche, il l'ouvrit dévoilant une magnifique bague de fiançailles.

Olivier : Iris Anaïs Dupond, veux tu me rendre le plus heureux des hommes, même si tu le fais déjà, en devenant madame Iris Anaïs Dupond Giroud ? 

Je restais bouche bée, je ne savais pas quoi répondre, non, je sais quoi répondre.

Moi : Je... oui... oui !

Il me mit la bague et m'embrassa. Je sus à cet instant que ce serais pour toujours lui et moi, je sus que j'avais fait les bons choix depuis le débit, que toutes ces décisions me servaient à me construire avant ce jour là. A me préparer.
Nous entendîmes plusieurs applaudissements derrière nous. On regarda dans la direction quand nous vîmes tout le monde, Max, ma mère, Clémence, tout le monde.

Maman : Bravo jeune fille, tu n'as pas suivi la règle 14 de notre code.

Tout le monde nous regardais bizarrement tandis que moi je rigolais et elle aussi.

Moi : Pour ça, tu n'as pas de souci à te faire.

Je la pris dans mes bras et elle me chuchota à l'oreille.

Maman : Je suis fière de toi ma chérie.
Moi : Merci maman, je t'aime.
Maman : Et moi encore plus.
Moi : A non, ça c'est pas possible.

Elle me sourit quand je vue apparaître derrière elle un homme que je ne croyais ne jamais revoir.

Moi : JAMES !!

Je lui sautais dans les bras et lui rigolait. Jamais je n'aurais cru pouvoir le revoir. Mon meilleur ami, mon confident, mon ... enfin bref, jamais je n'aurais cru le revoir. De petite larmes parlaient sur mes joues et il les essayait à l'aide de son pouce. J'entendais des chuchotements derrière moi mais franchement je m'en foutais. Bon on va pas se le cacher, j'entendais tout ce que disait Paul.

Paul : Il est vivant lui, qu'il vienne pas foutre la merde dans mon couple Olivis sinon je lui refait la face ou alors je le tue pour de bon. Et puis bon, on peut savoir pourquoi ils s'enlacent, elle est fiancé maintenant avec Olivier. Elle vient de lui dire qu'elle l'aimait. Oh... Je comprend plus rien moi.
Antoine : Heu ... moi non plus je comprend plus rien.
Olivier : Vous êtes pas les seuls.

Je tirais James par le bras pour qu'on s'éloigne un peu des autres.

Moi : Écoute, tu m'as manqué James, vraiment, mais... Je...
James : Tu es fiancé... J'ai compris.
Moi : James, tu as était très important pour moi durant longtemps dans ma vie. Tu m'as aider à remonter à la surface quand je coulais. Tu t'es occuper de Max quand j'en avait besoin. Tu as était mon meilleur ami pendant de longues années et je peux te dire que quand on m'a annoncer que tu étais mort, une partie de moi c'est détruite et malheureusement personne ne pourra la reconstruire. Même pas toi. Tu as fait de ma vie un conte de fée pendant longtemps et je te remercie. Mais je suis revenue et comme tu as vue j'ai avancer. J'ai affronter de nombreux obstacle et sans ton soutiens durant ces 4 ans, je me serais effondrer. Mais grâce à ça j'ai réussie à remonter à la surface. Je me suis construit mon univers, ma famille et pour rien au monde je ne l'échangerais. Je suis heureuse James et j'espère qu'un jour tu le sera autant que moi je le suis.

Il resta silencieux pendant de longues minutes.

James : Iris, je comprend et je suis content pour toi, vraiment. Je sais que maintenant je vais devoir m'éloigner de toi mais j'espère qu'on pourra rester amis car tu as étais une grande partie de ma vie et tu as étais ma meilleure amie. J'espère aussi que ton fiancé ne va pas être jaloux.
Moi : Ne t'inquiète pas, Olivier n'est pas comme ça.
James : Tu es sur car je viens de le voir partir de colère.

Je le regardais surprise et me levais pour courir en direction de la chambre d'Olivier.
Quand je rentrais dans la chambre je le pris tout de suite dans mes bras. Mais il me repoussa.

Moi : Qu'est ce qu'il te prend ?
Olivier : Retourne vite voir ton mec, je suis sûr qu'il s'inquiète. Qu'il a peur que tu le prenne comme un con. Comme tu l'a fait avec moi.
Moi : Je ne t'ai pas pris pour un con. J'ignorais qu'il était en vie et je lui ai fait comprendre qu'il n'y avait que toi dans ma vie et personne d'autre alors il m'a demander d'être simplement amis, comme nous l'étions autre fois.
Olivier : C'est vrai ?
Moi : Pourquoi je te mentirais, et si je l'aimais lui, tu ne crois pas que j'aurais dit non et de plus tu crois que je serais entré dans ta chambre en te prenant dans mes bras.

Il me pris dans ces bras et me fis tomber sur le lis m'arrachant un petit cris de surprise. Il se mit au dessus de moi et m'embrassait.