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Cela fait déjà deux semaine que je suis sortie de l'hôpital. On à eu les papiers pour adopter Lana, la semaine dernière, maintenant il faut que Olivier signe. Maintenant, on habite en Angleterre chez Olivier. C'est bien, comme ça je vois plus souvent Clémence et je suis plus proche d'elle.
Olivier, lui, il me cache un truc ça c'est sûr. Monsieur est tout le temps dehors même quand il n'a pas entraînement. De plus il est toujours au téléphone avec je ne sais qui. Bien sûr j'ai déjà essayer de regarder mais monsieur à changer son mot de passe. Au départ, c'était la date ou on c'est rencontré, mais il l'a changer, alors j'ai essayer avec notre date de mariage mais toujours pas et non plus avec ma date de naissance. Ni avec celle de Max alors je dois vous avouez que je ne sais plus quoi faire.
Ce soir, je dois aller chez Clémence car on se fait une soirée film entre fille. Étant donner qu'Hugo est avec les filles en France dans sa famille car monsieur n'a pas match et que Clémence travaille.

Clem : Alors comment ça va avec Olivier et les enfants ?

On était assise sur le canapé avec le pop corn et le film.

Moi : Les enfants vont bien, ils s'entendent très bien donc c'est super.
Clem : Et Olivier ?
Moi : Monsieur me cache quelque chose.
Clem : Comment ça ?
Moi : Toute les deux minutes il reçoit un coup de téléphone, il sort sans me dire où il va sachant que ce n'est jamais avec les gars de son équipe. Et puis une nuit je l'ai surpris dehors au téléphone et quand il m'a remarquer il m'a lancer un regard tellement noir que je serais morte sur le coup si ces yeux étaient des mitraillettes.
Clem : Exagère pas.
Moi : Je n'exagère pas, c'est vrai.

Une fois le film finie, je dis au revoir à Clémence et rentrais chez moi. Une fois dans la maison, une drôle d'odeur se faisait sentir. De l'alcool.

Moi : Olivier !!
Olivier : Gueule pas ! Je suis sur le canapé.

Je me dirigeais vers celui ci et le trouvais effondrer sur le canapé, une bière dans la mains et 4 bouteilles de Vodka sur la table.

Moi : Non mais je peux savoir ce qu'il c'est passer !
Olivier : Non. Maintenant fait pas chier et ferme ta gueule.
Moi : Pardon !! Tu te fous de moi !!
Olivier : Je vais prendre une douche tu me fais chier !
Moi : Ouais va si casse toi !

Non mais là ça devient du n'importe quoi.
J'attends qu'il soit sous la douche pour regarder son téléphone.

Nouveau message:

Jenn : Il faut qu'on parle d'hier...

Jenn : Répond !

Jenn : Oli  chéri répond !

Là s'en est trop. J'envoyais un message à ma mère lui disant que j'arrive ne France demain, j'en envoi aussi à Clémence, Lana, Max, Hugo, Paul et Antoine pour leur expliquer la situation et le fait que je parte demain.
Je partis dans ma chambre, me mis en pyjama et me glissa sous le lit. Je me mis à pleurer silencieusement. Olivier arriva quelques minutes et s'endormit. Moi je ne parvint pas à fermer l'œil de la nuit. Comment il à pu me tromper ? Je pensais que nous deux c'était pour toujours, pour le meilleur et le pire mais pas pour lui apparemment.
Le lendemain je me réveillais de très mauvaise humeur. La place à côté de moi est vide. Il doit encore être au téléphone. Je me levais et fis la valise que je descendait en bas. Quand je la posait au sol Olivier apparu plus ivre du tout.

Olivier : Coucou ma chérie, bien dormis ?
Moi : Je m'en vais.
Olivier : Pardon, pourquoi ?
Moi : Tu te fous de moi, tu es au téléphone toute les 30 secondes, tu ne me calcule même plus...
Olivier : Iris je peux tout t'expliquer...
Moi : NON !! Cette fois c'est moi qui va t'expliquer quelque chose. J'ai vue les message que Jennifer t'a envoyer. Pas vrai Oli chéri. Hier quand tu étais bourré, tu m'as dit que je te faisait chier, bien, tu sais quoi, je te laisse tout seul comme ça au moins je ne vais plus te faire chier.

J'enlève ma bague de mariage et lui la met dans sa main que je referme dessus. Les larmes coules sur nos deux visages.

Olivier : Je... Je t'aime Iris. Je t'en pris ne fait pas ça.
Moi : Retourne avec la femme de ta vie, une autre que moi, Jennifer.
Olivier : Tu ne comprend pas... C'est toi la femme de ma vie.
Moi : Non, ce n'est pas moi.

Je pris ma valise et sortis, Olivier derrière moi.

Olivier : Je t'en pris... Iris... Pour nos enfants...
Moi : Tu disais que jamais tu ne me laisserais tomber, que toujours tu vas m'aimer. Mais au fond, c'est elle que tu aimer depuis le début. C'est elle avec qui tu aurais du te marié, pas moi.
Olivier : Tu dis n'importe quoi, c'est faux, c'est toi et depuis toujours, depuis le début et jusqu'à la fin.
Moi : Mais la fin est déjà passer, la fin était quand on c'est dit oui, du moins, quand tu as dit oui. Au fond tu nous aimes toute les deux, sauf qu'il faut faire un choix mais vue que tu ne sais pas faire de choix. Je l'ai fait pour toi, car jamais je ne voudrais être à égalité avec elle.

Je montais en voiture et fermais la porte. Il toqua à la fenêtre, à contre cœur j'ouvrais.

Olivier : Je t'en pris, Iris, tu es ma femme, pour le meilleur et le pire, je t'en pris.
Moi : Je crois qu'on est allé plus haut qu'au pire, je n'y arrive plus. Deux semaines que tu ne me parle pas et que tu la retrouver.
Olivier : Non Iris, elle m'appelle mais moi je lui dit de me laisser tranquille, une amie qu'on à en commun est morte et elle arrive pas à passer le cap.
Moi : Mais tu ne vois pas que c'est faux, elle se sert de toi pour te retrouver. Clémence lui a parler. Elle veut juste casser notre mariage et te récupérer.
Oliver : Si tu pars, elle aura gagner.
Moi : Elle a gagner à l'instant où je t'ai dit oui.

C'est ainsi que je partis direction la France pour je ne sais combien de temps.

Stupide pariOù les histoires vivent. Découvrez maintenant