❝UNTIL YOUR DREAM❞ ➟ ᴶᵅᵉᵐᶤᵑ -『NCT』[Terminée]

🔸Chapitre 1: Mes rêves

Depuis mon plus jeune âge aussi loin que je me souvienne mes rêves ont toujours été d'une étrangetée dérangeante. En générale, je l'es ignore. mais quand vous voyez des gens mourrir et que vous savez que cette personne va vraiment succombé c'est horrible. Mes rêves sont une réalitée que je ne croiserais jamais. Si il a bien une règle importante à ne pas briser pour moi c'est de ne pas intervenir dans la réalité. Les évenements de mes songes me dépasse bien trop. Je risquerais ma vie, j'en suis sur! Si j'intervient ma vie y passera.

Ce  soir la je vis dans mon rêve une personne dont je me souvenais pas le nom je savais juste que c'était une personnalitée publique connue. En me
levant ce matin la j'ai tout dessuite notée son numéro de téléphone que j'avais vue pendant ma nuit et j'ai notée à coté "Garçons" et "cheveux rose". C'est les choses principale que je voyais dans  mon rêve. Un garçon au cheveux rose pâle et d'autres personnes autour de lui. Ils étaient une dizaine. Je tournai la tête vers ma fenêtre. Le ciel était bleu sans nuages de si bon matin et un grand soleil dominait le bleu intense. Plus je réfléchissai plus je me disai que j'aimerai intervenir. En fait tout les matins, en me réveillant, je me dis ça. Mais je redescend sur terre à chaque fois en me disant: "Suna si tu interviens tu vas y passer". Je suis si lâche que je laisse  mourir les gens pour ma survie. Si ça c'est pas de l'egoïsme!

Je sortis mes écouteurs et les branchas frénétiquement à mon téléphone. Je mis de la musique aléatoire pour découvrir de nouvelle choses car en générale je suis plus dans la musique sans parole slow ou rap US. Je laissai tombée ma tête en arrière et soupirai. La musique commança je fis volte face en entandant les voix. Elles métaient famillière et je savais très bien d'ou cela venais. "Personnalités connues" ses deux mots résonnèrent dans ma tête. Perturbée j'éteignis mon téléphone par peur.

"Non je n'interviendrait pas! Je ne cederais pas pour une connerie comme ça!" Me dis-je intérieurement. Un frisson électrique parcourai mon corps. Je me levai sortis quelques affaires de mon armoire somnolant de fatigue. Je ne savais pas pourquoi ce rêve m'affectais autant. J'ai mal au coeur, j'ai prèsque envie d'éclater en sanglot. J'avais très envie de rallumer mon téléphone mais je me retenue me rapellant sans cesse les conséquances.

J'enfilai des vêtements et pris mon téléphone. Je le déverrouillai et fermai tout les onglets pour ne pas voir le nom de chanson ni le nom des artistes. Je le rangeai précotionnement dans ma poche, pris mes clefs, mis mes chaussures et sortie vite de chez moi. Je respirai un grand coup d'air frais et me rendis à un café non loin d'ici. Je m'assis à une table et attendit le serveur. Je regardai en face de moi. Une femme assez âgée au cheveux brun et aux yeux noisettes se disputait avec son conjoin que je voyais de dos. C'était une dispute d'une violence incroyable. J'eus un soupire de soulagement en me disant que j'étais célibataire. Soudain une main se plaqua d'un coup sur ma table me faisant sursauter.

- Enfin! Putains je te cherchais partout! Le garçon en face de moi portait une casquette et un masque.

- Hum...qui es-tu?

Le garçon retira sa casquette et des cheveux rose retombèrent sur son visage. Des cheveux roses pâle. Ma bouche s'ouvrit toute seul et mes yeux s'écarquillèrent d'étonement.

- C'est bon? Tu me reconnais? Ou alors je suis le seul à avoir fait ce rêve. Dans se cas la je me sentirais ridicule.

- J'y crois pas.

Il remit sa casquette. Et s'assit en face de moi. Un serveur arriva et pris notre commande.

- Bon écoute, commençais-je, je veux rien avoir à faire avec toi.

Le garçon s'affala sur sa chaise. Et ne dit rien. Il attendait que je continue de parler.

- Je fais des rêves comme ça tout les jours je ne veux pas risquer ma vie et courir partout pour sauver des personnes. Oui c'est égoïste et j'en ai rien à foutre.

- Effectivement c'est égoïste. Je ne te pensais pas comme ça...

Je remis mes cheveux en arrière. La nervositée prenait poséssion de mon corps tout entier et je tremblais à vue d'oeil.