Université.

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Avec Angie nous venions de sortir de l'amphithéâtre où à eu lieux notre réunion. Bien sur l'autre trou du cul arrêté pas de me fixer l'air de dire je vais te tuer grosse folle. Notre réunion était porter sur la discipline et le savoir vivre et ensuite la directrice à parler des cours et tout le bazar, tout ce qui es dis en début d'année à chaque fois en faite.
J'ai faim, ont es resté enfermer pendant deux heures dans cette salle sans manger ni boire et je peux vous dire que je mangerais n'importe quoi. Avec Angie ont se dirigea vers la cafétéria en courant.

Il es 19h et je suis actuellement en train de me régaler avec la grosse assiette de pâte a la sauce tomate. Le meilleur plat du monde.
Avec Angie ont parlé d'elle, elle m'expliquer qu'elle venait de France et qu'elle avait dut déménager ici a cause du divorce de ses parents.

- Mon père et Américain d'origine, et il était en déplacement quand il à rencontré ma mère. Mais il était aussi en déplacement quand il l'a trompé. Ma mère le savait mais elle l'a fait pour moi. Elle croyait bien faire jusqu'au dernier moment ou mon pourris de père m'a dis de le suivre pour que je fasse de vraies études. Tout les mois j'envoie de l'argent à ma mère car mon père lui à tout pris... Et comme c'est l'argent que je gagne en travaillant il n'a pas le droit de me le prendre.

- C'est triste quand même... Je suis vraiment désolé je ne savais pas...

Je ne pensée pas que le passé d'Angie étais si compliquer, sinon je ne lui aurais pas demandé. Je ne suis pas bête à ce point là.

Une main frôla mon dos et je n'eu pas le temps de me retourner que ma tête atterrie en pleins dans mon assiette de pâte que je n'avais pas finis. Je pleure intérieurement. Mais minute, qui à fait ça ?

- Alors morveuse, elles sont comment les pâtes ? Et la sauce ? Attention tu en à un peu sur le coin des lèvres.

Tout le monde dans la cafeteria se moquer de moi. Je pris le yaourt que j'avais, pauvre de toi. J'ouvris le yaourt, me retourna et visa l'autre crétin. Je lui balança en pleins dans le visage.

- Un partout crétin.

- T'aurais jamais dut...

- Tu va me faire quoi ? Me frapper ? M'humilier ?

Entre temps il s'était rapprocher,et moi je m'étais levée, nos souffle se mélanger.

- Je vais tellement te faire vivre l'enfer Morveuse que tu va partir de toi même de cette université.

- Hum, non je ne crois pas. Tu ne me connais pas et tu ne sais ce dont je suis capable. Je manger tranquillement et toi t'es là tu viens me faire chier ?

- La guerre et déclarée morveuse.

- Elle est déclarée depuis hier la première fois qu'ont s'est vu. Je ne partirais jamais d'ici c'est compris ?

Je le laissai en plan et partie prendre une bonne douche pour enlever toute cette sauce.