Partie 13 🌹

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PDV Ethan :

Je sais même pas ce que je fais là, je suis dans la stupide fête du garçon le plus populaire de Forks alors que je ne le connais pas. J'ai des rages meurtrières contre ma meilleure amie qui se trouve à l'étage avec ce gars. J'ai envie de monter et de voir ce qu'ils font, sauf que je sais que si je le voit avec elle je vais me transformer et je pourrais faire une connerie dans un endroit où je je suis même pas censée être. Je suis tellement obsédée par cette fille que j'en viens même à me demander si je suis rationnel.
Je commence à monter mes escaliers sans vraiment le vouloir. Je me poste devant la chambre où je n'entends pas de bruits de jeunes personnes en train de mélanger plus que leurs salives dans un lit.
J'entends extrêmement bien ce qui s'y passe :

« Qu'est ce que tu peux être mignonne quand tu veux Cullen. »

Je n'entend pas ce qu'elle répond parce que je falli perdre l'équilibre au mots du brun. Comment osait t'il lui dire ça, c'est moi qui l'a trouve mignonne. C'est presque offusquant, ce n'est pas que quand elle veux, elle est tout le temps mignonne.
Je l'entend ricaner comme le fond les filles complètement dingue du mec avec qui elles parlent.
Je sens la rage monter mais je ne m'en vais pas, j'ai envie d'entendre leur conversation, voir jusqu'à ou sa va les mener.

« Dis pas n'importe quoi... » dis Rosa dans un souffle étouffé.

C'est horrible de ne pas voir ce qui s'y passe. Ils pourraient très bien être à cinq mètre l'un de l'autre, comme être assis tous les deux sur le lix.

« Ce n'est pas une blague, tu es magnifique. » murmura Enzo.

Puis plus rien, rien du tout, c'est comme s'il s'était tu. Je n'entendais que les bruits des autres chambres, des bruits qui me dégoûtais au plus au point.
J'entendis des pas dans la chambre, des pas précipiter, la porte s'ouvrît à la volée et je me la pris dans le nez. Rosalice sortis de la pièce en courant et en criant qu'elle étais désolé. Je ne sais pas si c'était adressée à moi ou à Enzo mais je descendis les escaliers en deux deux et me retrouva dans la foule de lycéen qui bougeaient au rythme de la musique.
Je l'a retrouve facilement garce à son odeur et me frayent un chemin entre tous les danseurs. Je la retrouve dans la salle à veste où elle prend la sienne et pars sans me voir. Je continu à la suivre jusqu'à ce qu'elle arrive dehors. Je me fais arrêter par un des fille avec qui j'avais parler avant.

« Oh, Re salut. » s'exclama la belle blonde avec une voix d'ange.
« Bonsoir. » dis-je sans grand intérêt.
Elle papillonne les yeux, une méthode que pas mal de filles utilise pour me draguer. Je sort un bout de papier et le lui donne :
« Tient, c'est mon numéro. On se parle à l'occasion. »

Elle me sourit et je repart dans ma recherche. Ce n'est pas que j'avais envie de reparler avec cette charmante jeune fille mais je n'avais pas de temps à perdre. Rosa avais très bien eu le temps d'appeler son père et vu la vitesse qu'il aime bien utiliser à chaque fois qu'il est au volant il pourrais être là d'une minute à l'autre.
Une fois la fraîcheur de l'extérieur retrouvée je l'aperçu assise sur une banc de la rue. Je m'approchai et entendit des sanglots étouffés. Je pris place à côté d'elle et enferma son corps froid dans mes bras. Je la sentis sourire lorsqu'elle posa sa tête dans mon cou.

« J'ai fait n'importe quoi... » dis elle la voix cassée.
« Je suis sur que non. » dis-je assurer du contraire.
« Enzo, il a essayer de m'embrasser. Le pire c'est que j'en avais envie. J'en avais désespérément envie. »

Mon cœur se brisa en milles morceaux. Pourquoi fallait t-il que toutes les filles soient à mes pieds sauf celle que je veux ?
Je la rassura comme je pu et appela son père pour qu'il vienne nous chercher. Comme je l'avais prédis il arriva seulement deux minute plus tard. Une fois la maison atteinte nous rentrâmes a l'intérieur et toute la petite famille étais dans le salon, seul Renesme manquait à l'appel.

Tous le monde souriait, je sentis un sentiment de joie intense m'envahir. Qu'est ce que le pouvoir de Jasper pouvais être énervant des fois. Je savais que Rosa l'avait sentis aussi car elle avait une expression dégoûter sur le visage. Elle salua tous le monde mais partis dans sa chambre à l'instant même où elle avais fais la bise à tous le monde. Son père me regarda avec interrogation et je lui transmis par pensée que ça ne s'était pas très bien passer.
Je monta et vis qu'elle étais déjà en pyjama et coucher sur son canapé. Je me posa à côté d'elle et elle me murmura :

« Tu peux dormir tu sais, je serais là pour te bercer. »

Elle fis des mouvement circulaire sur mon bras ce qui me provoqua une envolée de papillon dans le ventre.
Je ferma les yeux en sentant le souffle de Rosa dans mes cheveux.

                      ❄️❄️❄️

J'étais dans une pièce sombre, j'avais peur. Peur parce que j'entendais des hurlements, je courut tous droit mais plus j'avançais plus les sons s'éloignait. Alors je dis demi tour et partis à l'opposer, sauf que c'était la même chose. Les cris semblais s'éloigner. Je regardais autour de moi espérant voir une porte dans de couloirs afin de comprendre que cette personne apeurer étais peut être dans une piece. Sauf que je n'entendis rien. J'entrepris de courir pour me transformée, peut être que ça aiderais. A ce moment là je fus persuadé que j'étais dans un rêve. Je ne pouvais pas me transformer. J'essayais avec peine s'ouvrir les yeux mais je n'y arrivais pas.

Je courais dans ce couloir qui avais l'air sans fin sans comprendre d'où venais ce cris. Les cris s'intensifièrent et je pouvais distinctement comprendre que c'était une femme. Je criais pour qu'elle m'entende mais rien ne se passais. Je regarda en dessous et au dessus de moi pour voir si je n'avais pas louper une trappe. Après ce que je pensais être plusieurs heures de courses je m'arrêta essayant de réfléchir. Je réessaya de me réveiller mais je n'y arrivais pas.

Le couloir était brumeux, ainsi on ne pouvais pas en apercevoir la fin. J'avançais sans savoir où sa allais me mener, peut-être que c'était comme un jeu et que une fois que j'aurais touchée la limite du terrain je perdrais une vie et me retrouverais au milieu du couloir où j'étais arriver au début. Sans aucune indication en plus. C'était se qui pouvais arriver mais je continuais quand même à marcher, peut être qu'une fois la limite touchée je me réveillerais. De toute façon je n'ai pas grand chose à perdre. Les cris étaient de plus en plus fort, à un moment je n'entendais même plus mes pieds résonner sur ce qui devais être du carrelage affreusement froid. La voix cria distinctement :

« Ethan ! Ethan ! S'il te plaît Ethan ! »

C'était des cris de peurs, je dois retrouver cette personne, elle a besoin de moi. Je me remis à courir même si tout mes membres me criait de m'arrêter. J'avais toujours l'impression que je partais dans le mauvais sens.

Je m'attendais à trouver un autre couloirs ou une sortent de falaise qui annoncerais que je m'étais tromper de chemin mais rien n'arriva.
Je commençais à sentir une odeur de cramé, la fille criait encore mon nom apeurée.
                     ❄️❄️❄️

Quelque chose me secoua et j'ouvris enfin les yeux. Je croise le regard de Rosalice qui criait mon nom avant de m'apercevoir que tous brûlais autour de nous.

𝑅𝑜𝑠𝑎𝑙𝑖𝑐𝑒 𝐶𝑢𝑙𝑙𝑒𝑛, 𝑇𝑤𝑖𝑙𝑙𝑖𝑔ℎ𝑡 ☁︎︎ [𝐸𝑁 𝐶𝑂𝑈𝑅𝑆]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant