Je me rappelle de tous ces visages qui se sont éteints,
De toutes ces présences devenues poussières.Je me rappelle de vos voix, de vos sourires, de vos lueurs.
Parfois je pense à vous et puis je réalise.
Vous êtes si lointains, si proches
De moi que je peux tendre mes mains et étreindre le vide,
Que je peux vous parler et pleurer le néant.Je me rappelle de tous ces moments où vous avez été là,
de l'écho de vos âmes qui résonnent encore.Je me rappelle des reflets dans la vitre, cherchant à capter l'éphémère.
Soudain tout devient sombre et puis je réalise.
Je traverse vos absences de mon corps, et je tremble.
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S'effacer
PoetryNous résonnons tous comme des caisses vides. (poésie) (bref explicatif: les parties Bruch et Divers sont des transitions ratées qui mènent à des poèmes plus récents)