Dans la pénombre des cœurs là où chaque battement manque de l'air
Là où tous s'envoient en l'air J'aimerais te le dire,te le faire comprendre, mais qui es-tu pour être si important ?
Chaque battement incessant, manquant un bond
Le soleil ruisselait.
Moi, je me noyais dans la pénombre du ciel
J'étais la mort, tu étais l'incohérence de la vie.
Tout éphémère Tout ayant un sens perdu est-ce normal ?
Si les mots que nous usons perdent leur sens.
Si les mots de nos écrits, de nos poèmes sont étreints
Tous portent à confusion, disaient-ils, tous portent à y croire à y oublier Comme ses mots sur ces parchemins embellis d'amour Qui finiront sans doute, arracher...