pardonne moi ,L

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L'air frai 

La fumée transperce mes poumons L'odeur insoutenable de cette merde .
La lame dévalant le long du ruisseau de chair irrégulier ,  la froideur du soleil .
L'incohérence des larmes Poser sur ce banc a contemplé le sourire du lac La dernière bouffée d'air toxique pour la journée
Se briser pour une simple ignorance
La troisième clope pour la journée,sans doute la dernière .Enfin c'était ce que je me mentais
Mes poumons me brûlaient j'avais besoin de me détruire c'était ainsi que je m'étais construite.

Je vivais tout en crevant...

WriteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant