19 . De pire en pire

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Je me réveilla. Pas dans ma chambre en tout cas : les bouts de verre avaient disparu et cet endroit était rangé et propre. Il n'y avait pas de sang par terre. D'ailleur, regardons l'état de mes pauvres bras. Ah ! Ils sont bandés, je dois sûrement être à l'hopital. Ma mère a dû me voir ainsi , si triste , dormant dans mon propre sang, mes larmes et des bouts de verre. J'arracha mes bandages. Je m'en fou royalement de la douleur, je suis déjà morte mentalement, je n'ai plus d'âme.

Mes bras étaient recousus à certains endroits. C'est que je n'y avait pas était de main molle avec  mon bout de verre. Il y'avait aussi des bleus qui tournaient parfois au violet ou au marron.

... : Vous allez mieux ?

Je me retournis et vis une dame avec un uniforme blanc et un masque sur la bouche. Elle portait un chignon assez serré. C'était une infirmière.

Moi: Merci , sa va sa va ... Quand puis - je sortir ?

Elle glissa son regard qui atterisa sur mes bras découverts. 

Infirmiere: Déjà pas tant qu'on vous remettra des bandages et puis vous avez plein d'examens à faire. Cela fait 2 jours que vous vous êtes évanouïe.
Moi: Puis-je appeller quelqu'un ?
Infirmière :    Dès que vos bras seront à nouveaux bandés.

J'hocha la tête. Elle partit dans le couloir pour revenir avec du matériel quelques minutes plus tard. Je lui tendis mes bras.

Infirmiere: Sans être indiscrète, que vous est il arrivez ?

Je la regarda. Tiens , j'avais oubliée. J'avais l'impression qu'elle m'avait balançée tout mes problèmes dans ma gueule.

Une larme coula de ma joue, puis deux, puis une centaine. Je ne pleurai pas parce qu'elle serrai le bandage , trop fort à mon goût d'ailleur, mais plutôt en en le revoyant, lui . La cause de tout ce qui m'est arrivé. Je ne l'accuse pas de quoi que ce soit mais d'une part, c'est vrai.

Infirmiere: Désolé... je vais vous laissez. Le téléphone est là.

Je pleurai toujours.

Je voulais juste l'appeler. Tae ne me répondit pas. Je décida donc de m'échapper.

Je fis mes sacs que je ne sais qui les avaient préparé puis je sortit du couloir. Je longea les mur en me faisant discrète. L'hôpital a toujours eu le don de m'effrayer.

Enfin sortit je me mis à courir. Je ne voulais pas rentrer chez moi. Je voulais juste partit loin,  plus loin que la vie elle même. Je me dirigea vers mon lycée. Ce rêve voulait peut être juste me guider. Quoi qu'il en soit je m'en fou , je sais très bien que j'irai en enfer. Je monta sur le toit en abandonnant mes affaires dans les escaliers. Je ne savais pas quel jour il était, ni quel heure. Il faisait nuit, c'était jolie. Je mit mes jambes dans le vide en m'asseyant sur le rebord. Mon coeur battait lentement comme si il se préparer à la chute. Je me leva, me rapprocha plus du bord que je ne l'était déjà puis mit un pied dans le vide. Plus qu'un autre. Ouf ! Tout sa sera bientôt fini, qu'elle vie pitoyable j'ai eu. Eomma je t'aime, papa aussi, les amis aussi. J'allais mettre le deuxième pied.

Soudain lorsque je levais ma deuxième jambe quelqu'un me retira par le poignet, qui me fit gémir à cause de mes mutilations. Puis cette personne m'atira contre elle et m'enlaça. Je me mit à pleurer. Je tremblai. Je leva les yeux et vu Naomi qui était aussi en larme, derrière elle se dressait Jung Kook et les autres.

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Ce chapitre est volontairement cours.

Qui est tu réellement, Taehyung ?  [TERMINÉ]♡Où les histoires vivent. Découvrez maintenant