Mon amant invisible:le prince des djinns

l'ultime heure

Nous voilà arriver à ce qui ressemble a un village au fond de cette forêt lugubre, mäme  dieynaba et mäme  Penda m'amène dans une case et m'y laisse ,à peine entrée ,vingt pairs d'œil me fixent..l'une ont des regards voilés de tristesse  ,l'autre avec indifférence. J'avance et m'assois sur la natte avec elle. Mais a peine assise ,la plus grande des filles me lorgne avec haine et mépris.
La fille : coumbel n'est ce pas.
D'où est ce qu'elle connaît mon nom celle -la ,et pourquoi me regarde t'elle comme ça. Me suis je dis
La fille: j'ai entendu dire dans toute la contrée que tu est la plus belle fille de tout le fouta et que tu as un ''Farou Rapp '' (amant invisible), mais je te prévient on est toute dans la merde ici ,tu n'a pas intérêt à ramener tes airs de princesse à cause de ta beauté maudite,sinon tu n'a pas idée de ce que je peut te Faire vivre et personne ne viendra à ton secours ,enfant maudite thiip...
Une autre fille: Diarry ..lahilaaa mais comment peut tu dire de tels atrocités ,tu l'a connais même pas.
Diarry: toi aissata ,tu l'a boucle ,je ne t'ai pas adressé la parole à ce que je sache..Nafïgä mo ngöndä( diablesse que tu est).
La dite aissata baissa la tête, déçue et me murmure ''ne lui prête pas attention coumbel..d'accord'',j'hoche simplement la tête et détourné mon regard vers les autres qui n'ont pipé mot,sûrement préoccupées par leur sort .elles ont raison ,il y'a plus urgente que de m'occuper de cette vielle fille aigrie pff.  Je suis laissée emporté dans mes pensés les plus lointaines, quand tout d'un coup mäme  dieynaba entre dans la case, des robes large et légère à la main,qu'elle nous jette chacune ,elle appelle ensuite trois de nous et leur demande de la  suivre dehors ,nous elle dit de patienter ,qu'elle va rappeler une à une .de toute façons j'aimerais qu'on en finisse une bonne foi pour toute ,seulement quand je regarde les autres ,je ressent une très grande désespoir ,elles vont en souffrir ,elle seront anéanti après .cet épisode ,vont leur traumatiser tout au long de leur vie . je l'est observe avec une voile de tristesse, comme déconnecter de la réalité.
Je n'ai même pas ressenti la vitesse incroyable du temps ,parce que concentrée à réfléchir , j'entends des cris résonnaient dans toute la forêt ,des pleurs qui déchiquètent mon coeur en mille morceaux,je regarde autour de moi et me rend compte qu'il ne reste que moi,aissata et cette folle de diarry. Malheureusement,elle fût la prochaine. Une fois qu'elle est sortie,aissata me regarde longuement et me dit:
Aïssata: pourquoi coumbel pourquoi devront nous passer par la ? Je hausse simplement les épaule parce que je ne peut répondre à cette question, elle ajoute:
Aissata : tu m'a l'air bien indifférente de cette situation, n'a tu pas peur
Moi: détrompe toi Aissata ,suis bien triste et malheureuse ,et j'ai autant peur que toi ,mais que puis-je faire.
Elle baisse la tête ,des larmes perlant dans son visage d'ange... Tout d'un coup ,le rideau de la case se soulève et laisse apparaître mâme  dieynaba.
Elle : qu'est ce qu'il Y'a, pourquoi faites vous ces têtes d'enterrement ,j'espère pour toi coumbel que tu n'a mis des idées de sorcière a la tête de cette petite,beauté maudite.
Je fais non de la tête ,elle ordonne alors à aissata de la suivre ,cette derniere me jette un regard mélancolique et l'a suit.
Solitude, voilà ce que je ressent ,après que tout le monde soit parti. Alors l'idée d'interpeller la voix effleure mon esprit, je me met à l'appeler ....
Prince ... Rien
Prince des djinns..toujours rien
Mon prince ,svp j'ai besoin de vous ,je me sent seule..
Un vent frais me fais frissonné, je sens sa présence..
La voix :  ma reine ,m'a tu appelé
Moi:oui
La voix : et que puis -je pour ma reine
Moi: rien ...tu ..tu m'a manqué
La voix: suis heureux de le savoir, par contre ma reine, je suis aussi pour te rassurer d'avantage ,comme je te l'avait promis ,tu ne ressentira rien de qu'elles vont te Faire,je suis toujours là pour toi ,quand tu auras besoin de moi,appelle mon nom trois fois
Moi:mais je ne connais pas ton nom.
La voix: rire... Prince des djinns suffira pour le moment.
Je n'ai même pas eu le temps de répondre ,que mâme  dieynaba surgit .
Mâme  dieynaba: que fais tu toi, tu parle toute seule ?
Moi: non mâme.
Elle: on m'a fait part de ta folie, lève toi et viens c'est ton tour . je me lève et la suit ,elle m'escorte  comme ci ,j'allais m'envolée  ..elle m'amène derrière une case ,enlève mes habits ,me demande d'assoir et me frotte avec de l'eau et des feuilles ,elle me frotte si fort que j'ai cru que ma peau allait se décoller de mon corps. Elle m'ordonne de  me lever et m'entraîne dans une autre case ,où je trouve mâme Penda debout ,elle sourit à ma vue ,Vient jusqu'à mon niveau et me souffle à l'oreille ''tu va souffrir coumbel'' ,elle me fixe ensuite et je lui offre mon plus beau sourire.
Lasse ,elle me fait assoir sur un tronc d'arbre ,aménagé sous une forme de banc ,arrache mon pagne ,je me retrouve nue ,une deuxième fois dans la journée. Aidée par mâme dieynaba ,qui tient mes maigres épaules, elle écarte mes jambes  ,se tourne ensuite vers le bol d'eau mélanger avec le sang des circoncises  avec un couteau, une ciseau ,elle revient vers moi avec les matériels ,pose le couteau et prend le ciseau m'enlève les quelques poils naissant de mon entre-jambes prend encore le couteau toujours avec mes jambes écartés,elle me fixe ...
Tout à coup, je sens le sang ruisselé sur mes cuisses. Les deux veilles me regarde choquées  limite ahuris,de n'entendre  ni cris ni pleurs .elle ont le visage en  enflammer par la colère ,mâme dieynaba ,furieuse me tînt le bras et me jette dans la bassine d'eau bouillante  avec des feuilles .
Je l'est regardes ,le visage dégoulinant de sueurs ...j'affiche  un sourire triomphal. Mâme dieynaba me conduit dans la case des excisées, je retrouve les filles  avec des mines attristées. Je leur fixes à mon tour ...
Et j'ai dis intérieurecment " j'ai réussi'',mercii mon prince...mercii.

Les gars je m'excuse encore une fois,cette partie a été supprimée par wattpad ,j'ai dû la réécrire . toutes mes excuses... Vôtre chroniqueuse reime'sukey .
''Écrire,une essence''