Livaï's tragedy [Ereri] (Momiku)

#4

PDV Livaï

La pluie m'a fait beaucoup de bien mais je je me sèche au sèche main un peu ou au moins, mon T-shirt, le le retire donc : Il n'y a que deux garçons de ma classe Rreiner et Jean qui dont ce qu'il ont à faire.

Je continu mon affaire mais Jean m'interpelle.

Jean : Hey ! Mais c'est que la mauviette qui à peur d'une simple présentation en classe est toute mouillée ! T'as même pas d'abdos ! Tu c'est ce qu'on en fait à c'est gens là ? On les rabaisses et on les frappes !

Moi : N-naaan !

Jean : C'est quoi cette putain de voix !
<Baaaaaam>

Le premier coup de poing est parti sur mon visage et les coups s'enchaînent sans que je puisse faire un seul mouvement de défense. Je comprend pourquoi Erwin a mis un flacon du médicaments qui régénère mes blessures. La douleur immobilise ce que j'ai en muscle. Je me laisse faire en essayant au mien que je peux de me protéger sans même lâcher un gémissement.

Reinner : Mais geule ! Cri ! Dit quelques choses putain !

Puis je m'évanouis

Jean : J'aime les victimes soumises ! Il faira un bon défouloir !

Reinner : Ouais ! Allez on se casse ? Les cours vont bientôt reprendre.

Jean : Ouais allons y !

PDV Eren pendant ce qui se passe au dessus

Il le connais ! Nan c'est pas possible ! Comment il pourrait le connaître si je le connais pas ! Nan ! Ren s'il te plaît ! Est-c'est que l'on a connu ce garçon ? L'ad tu connu ? Je pleure dans les bambous ( voire média ) mes idées noires.
Mikasa vient me voir et s'assoit à mes côtés.

Mikasa : Tu sais Eren, j'ai découvert que Livaï a des difficultés de langage, c'est pour cela qu'il a prononcé ton prénom ainsi. Tu dois aller t'excuser auprès de lui. Ce n'était pas son intention de te blesser, on ne le connais même pas. Je te jure que l'on trouvera comment ton frère est mort Eren. Je t'aime, je serais toujours avec toi.

Moi : Merci Mika, tu es une véritable sœur pour moi.

Mikasa °_° : Oh euh... Tu devrais allez le voir non ?

Moi : Ouais tu as raison ! Je vais au toilette, il doit être trempé après la nuée de tout à l'heure !

Le spectacle qui m'attend l'a bas, je ne m'y attendais pas du tout :
J'ai retrouvé Livaï inconscient, plein sang, de bleu ! Je m'acroupis près de lui. Ses joues sont froides

Moi : Livaï ! Livaï ! Oh mon Dieu ! Je fais quoi moi ? Livaï réveil toi !

L'infirmière est absente mais mon père qui a pour 2nd métier médecin est en repos aujourd'hui du coup, je l'emmène chez moi. Je le prend en mode princesse. Seigneur ! Ce qu'il est légé !
Je passe par une porte de secours et cours 5 minute jusqu'à arriver chez moi. Il est 10h25. On a louper M3 mais tant pis. Mon père a laissé un mot dans la cuisine : il est en mission. Et shit ! Je vais directement dans la salle de bain où je fais couler un bain et je le déshabille. Il est si fin, presque éféminé et son visage est si paisible... Ah mais non ! Je dois me concentrer ! Je passe du shampoing aux œufs sur ses magnifiques cheveux de jaïs et un gant de toilette avec du gel bouche à l'amande douce sur son corps. Et re-shit ! Mon pantalon commence à devenir serré au moment où je passe le gant sur son membre. Dans son sommeil, il gémit un peu et son visage rougis et il commence a trembler de peur de plus en plus. Je lui murmure quelques mots pour le réconforter mais rien n'y fait. Je rince et le sèche puis je lui enfile une serviette avant de soigné des blessures. Son sac est à côté du mien. Un flacon tombé à par terre : il y a écrit "Médicaments", "boire une gorgée en cas de blessures physique". Je n'avais jamais vue ce genre de médicament mais cela veut dire qu'il a déjà été victime de harcèlement scolaire ! Oh Dieu Livaï... Je le porte jusqu'à dans ma chambre et le dépose dans mon lit double

Il tremble toujours. Je le met sous les couvertures puis inconscient, je me déshabille et le rejoint en boxer dans mon lit. Je le positionne contre mon torse, mes bras autour de lui et au lieu de se détendre, il se contracte et  déploie une pluie de larmes et de gémissements, de cri de douleurs avec sa petite voix.

Livaï : Waaaaaah ! Nhaaaa ! Haaaah ! (ect...)

Moi : Chute Livaï, tout va bien, je suis là (ect...)

Doucement, il se détend et nous rejoignons Morphée.