«Faites l'amour, pas la guerre.»
Une île , un lycée , deux gangs qui sont censés se détester :
D'un côté , les surfeurs.
De l'autre, les motards.
Harry est motard,
Louis est surfer.
Et aucuns des deux ne se sent à sa place dans son gang.
Une guer...
Je vais pas être longue mais juste encore merci infiniment pour vos messages et commentaires sur le dernier chapitre !
Pour vous remercier voici un chapitre haut en couleurs on va dire! Accrochez vos ceintures et n'hésitez pas à commenter vos réactions, j'y répondrai ! :)
Bonne lecture je l'espère, on se retrouve à la fin pour mes petites questions pour voir si je ne vous ai pas trop perdus!
(Désolé si vous voyez des fautes je n'ai pas pu bien corriger..)
#BattleSFic
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(Don't Let Me Go_RAIGN)
"Je ne sais pas comment sera la troisième guerre mondiale, mais je sais qu'il n'y aura plus beaucoup de monde pour voir la quatrième." Albert Einstein.
Et
"L'amour c'est comme la guerre, facile à démarrer , difficile à finir..Et impossible à oublier." -Anonyme.
Cara Delevingne
Le hurlement qui s'échappe de ma gorge leur fait tourner la tête.
Et leurs yeux bleus deviennent aussi mouvementés que les vagues qui viennent de les ramener à moi.
Dix ans que je ne les avait pas vu. Dix ans qu'ils étaient partis. Dix ans que je n'avais ni mère ni père.
Je repense à leur départ. Je repense à mon arrivée dans cet orphelina.
"On reviendra." Ils me répétaient. "C'est lui qui nous éloigne de toi mais on reviendra."
Ces phrases, moi aussi je me les répétait. Je me les hurlait et me les pleurait. Sous les coups de celle qui m'a récupéré, je les murmurait. Sous le torture du corps de l'homme qui m'abusait, je les criait.
Vous reviendrez..Vous reviendrez..
-"Cara!" Hurle ma mère dans un sanglot.
Tout mon corps réagit au son de sa voix. Les sanglots qui brûlaient ma gorge sortent dans de nouveaux hurlements alors que je tombe sur mes genoux.
Je vois mes parents essayer de courir vers moi mais ils sont retenus par les soldats qui les pousse jusqu'à une voiture.
Non, ils ne peuvent pas me les retirer une seconde fois.
Je ne contrôle plus rien, je ne sens plus rien, je ne vois plus rien à part eux.
C'est comme une corde qui lacère tout mon corps. Comme une voix qui me répète que c'est encore un de mes rêves, ceux où mes parents reviennent mais au réveil disparaissent. C'est comme la torture de leur départ, mais pour leur retour.
