« Moscou: -Beaucoup de personnes, ici, sont attachées à toi. Alors, si tu mourais, beaucoup auraient du chagrin. » ————————— Puis Moscou s'écarte et je parviens à distinguer Oslo, sans réaction, avec un bandage sur la tête. Helsinki est à ses côtés ⬆️ Moi: - Oslo ! Qu'est qu'il lui est arrivé ?! Je me lève même si ma blessure me fait mal et pars en direction d'Oslo. Suite à sa phrase, les visages s'assombrissent et ils regardent tous Helsinki, qui, se senti obligé de me répondre. Helsinki: - En s'échappant, les otages ont fracassé le crâne d'Oslo avec une barre de fer pendant qu'il leur donnait à manger. Berlin: - Il n'a aucune réaction, il a aussi des blessures graves et des laissions irréversibles. Il est grièvement blessé, Helsinki. Helsinki: - Mais avec Oslo, on a connu des moments pires que celui-là et on s'en est toujours sorti. Non, non... il n'est pas blessé...Il a juste besoin de... repos et de... médicaments, et.. il ira mieux. Ensuite, Helsinki parle à Oslo et fond en larmes, tous les braqueurs ont les larmes aux yeux sauf Berlin, pas étonnant il n'est pas très emphatique. Oslo n'avait jamais eu le regard vif mais maintenant on a tous le même: triste et vide. L'espoir comme les dominos, dès qu'il y en a un qui tombe tous les autres suivent et les otages ont remarqué qu'on est mal barré. Je suis sur l'escalier et discute avec Tokyo, Rio ramasse les bouteilles des otages après le déjeuner quand soudain Mercedes demande: Mercedes: - Il y a des blessés ? On a entendu des tirs hier soir. Rio ne répond pas, soudain elle se lève. Mercedes: - Un de mes élèves n'est pas là: Pablo Ruiz et je veux savoir où il est. Rio recule vers elle. Rio: - Asseyez-vous. Elle s'assoit. Rio: - Il s'est échappé avec d'autres otages, ils ont fait sauter une des portes et sont sortis. Moi et Tokyo nous nous retournons : on devait pas le dire aux otages ! Mais quel idiot ! Mercedes se relève et commence à applaudir. Tokyo: - À quoi elle joue ? Rio: - Asseyez-vous et arrêtez d'applaudir ! Elle n'obéit pas mais les autres otages présents se lèvent et commencent, chacun leurs tours, à applaudir. Rio: - Arrêtez ! Bordel obéissez putain ! Il braque son arme sur Mercedes et la vise. Rio: - Arrêtez ! Je prends mon gun et tire en l'air 3 fois. Les otages crient et cessent d'applaudir. Moi: - Asseyez-vous...Tout de suite ! Ils obéirent tous sauf une seule et je pense que vous l'aurez deviné. On descend, Tokyo s'avance vers Mercedes. Tokyo: - Asseyez-vous s'il vous plaît. Elle fini par s'assoir et j'aperçois Arturo. Alors lui il va m'entendre ! Moi: - Arturo tu veux bien me suivre ? Arturo: - Oui bien sûr... Tokyo et Rio me fixe ayant compris que je n'allais pas être tendre avec lui. Je l'emmène à l'étage, à l'abris des regards et des écoutes des otages. Arturo: - Alors tu veux quoi ? Moi: - Déjà tu va me parler autrement et de deux tu le sais très bien. Alors explique toi, pourquoi tu l'as menacé ? Soudain j'entends une voix derrière moi, je me retourne et vois Helsinki. Helsinki: - Tu as bien fait de l'emmener je pense qu'il nous doit des explications à toi et à moi. Moi: - Tu veux commencer ou pas ? Helsinki: - Tu peux commencer. Moi: - D'accord, bon dit moi pourquoi tu l'as menacé ? Arturo: - Je l'ai fait pour vous retardez. Moi: - Retarder quoi ? Arturo: - Le passage devant l'inspectrice. Moi: - Il faut que je t'explique que tu es un otage ? Faut arrêter de croire que tout est permis ! Tu es dans un braquage ! Ça passe pour cette fois mais si tu recommence et que je te chope, je te mets une balle dans la tête ! Je regarde Helsinki et part vers un bureau en disant: Moi: - A ton tour Helsinki. Helsinki: - OK
« FLASH-BACK » On est en train de manger avec Berlin, Tokyo et Denver et on discute pendant que Oslo et Rio s'occupent du barbecue et que Helsinki apprend à Moscou à mieux tirer. Le Professeur s'assoit commence à parler du braquage. Le Professeur: - Pour les otages, plus le temps passera et plus ils seront agaçants car leurs instincts de survie les entraînera à la révolte Tokyo: - Et ils feront quoi ? Les numismates se prendront pour Indiana Jones ?! Le Professeur: - Ça se pourrait bien, ils essayeront de s'échapper . Nairobi: - Ou ils s'échapperont ? Le Professeur: - Oui, c'est possible. S'ils s'échappent, il faudra reprendre le contrôle car les autres n'auront plus peur. Il faudra réinstaurer un climat de confiance. Moscou tire sur les mannequins après les conseils d'Helsinki. Moi: - Inspirer la confiance avec des mitraillettes ? Pas sûr... Berlin: - Il faut trouver des choses qui nous lient aux otages ? Le Professeur: - Exactement, alors ? Denver: - Le foot par exemple. Le Professeur: - Oui le foot est un bon exemple mais quelque chose lient encore plus les gens en général. Tokyo: - L'amour ? Le Professeur: - Oui mais seulement 2 personnes. Tokyo: - Ou plus ! Le Professeur: - En général c'est 2. Nairobi: - Qu'est ce qui lie plus que l'amour ? Le Professeur: - Qu'est ce qui nous relie chacun d'entre nous ? Moi: - En fait ce qui nous motive c'est l'argent ! Le Professeur: - Bonne réponse Madrid, donc je me suis dit qu'on pourrait amener les otages à s'associer avec nous. Après réflexion j'en suis arrivé à une conclusion: l'argent ou la liberté. Moscou: - Et on fait quoi de ceux qui choisissent la liberté ? Le Professeur: - Vous les descendrez au sous-sol de la fabrique.
« FIN FLASH-BACK »
Je m'installe au bureau, le but est d'informer les otages pour qu'ils fassent leurs choix ( 1 million et rester nos complices ou avoir la liberté mais sans argent),Nairobi est avec moi dans le bureau. Berlin et Moscou s'occupent des autres otages dans un autre bureau. Je reçois Mercedes, Monica, hésitante. Nairobi: - Réfléchi c'est pas pareil d'élever un enfant avec 1 millions sous ton matelas. L'argent ou la liberté. Eh oui, il faut préciser que Denver n'a pas tué Monica parce qu'elle est enceinte ! En terme d'enfants faut dire que Nairobi si connait mieux que moi... Après elle, M. Torres vient à son tour, on lui explique le choix. M. Torres: - Je vous dit tout de suite oui ! Moi: - Réfléchissez M. Torres ( je regarde ma montre ) il vous reste encore deux heures ! M. Torres: - Je n'ai pas besoin de réfléchir. C'est le meilleur travail que j'ai fait de ma vie, le métier c'est quelque chose qu'on a dans le sang. J'ai jamais eu des chefs comme vous deux, vous êtes les meilleures chefs qu'on puisse avoir ! Nairobi: - Eh bien, nous sommes ravies de vous avoir encore dans nos rangs M. Torres ! Il repart tandis que nous avons le sourire au lèvres. Les otages défilent et au bout de 1h30 nous avons enfin fini. Nous repartons dans le bureau où est Oslo, après être entrée je prends une bouteille d'eau et en lance une autre à Nairobi. Berlin arrive, s'arme d'une lampe et vérifie l'état d'Oslo. Berlin: - Aucune réaction. Le coup à la tête a entraîné des liaisons irréversibles. Nairobi: - T'es neurochirurgien maintenant ?! Il faut le transporter à l'hôpital et il pourra peut-être guérir. Berlin: - Le Professeur a dit que personne ne sort d'ici, on le sait tous et Oslo aussi ! Tokyo: - Les règles ont changé ! Berlin: - Voilà la deuxième. Moi: - Regardes comment tu veux qu'il parle ? Moi je pense qu'il nous balancerait pas. Berlin: - Et la troisième. Moi: - Je propose qu'on vote. Berlin: - On est pas en démocratie ici ! Il pointe son gun sur Nairobi, qui le pointe aussitôt sur Berlin. Tokyo et moi pointons aussi nos M-16 sur lui.
( à la place de Rio il faut imaginer que c'est moi )
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Nairobi: - On a décidé d'ouvrir les portes et de laisser sortir Oslo. Berlin recharge son gun et est prêt à faire feu sur Nairobi, elle fait de même. Moi et Tokyo: - Berlin fais pas le con...
Voici le 15ème chapitre, j'espère qu'il vous aura plu, n'hésitez pas à laisser des commentaires. J'ai 2 annonces à faire: - Je m'excuse de ces 3 mois de retard pour publier cette partie🙏🏻🙁 ( avec les cours, la fatigue et tout c'est compliqué 😴) - MERCI POUR LES 2K DE VUES !!! 😍😍J'ai pas de mots pour c'est juste ÉNORME ! Vous êtes géniaux !