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Arturo vient de se prendre une balle ( au niveau de la clavicule ) par un tireur d'élite.
Moi: - Emmenez le à l'intérieur. Les otages avec moi !
Les otages me suivent et je demande à Helsinki et Berlin de les prendre en charge.
Moi: - Nairobi ! Trouve quelque chose ! Otage blessé !
Nairobi: - C'est fait !
Je vois Denver, Moscou et Rio en train de poser Arturo sur cet « sorte » de brancard.
Berlin: - Je vient d'appeler le professeur, des infirmiers flics vont venir le soigner. Parmi eux ils y aura, un agent. Le professeur veut placer un micro dans ses lunettes pour que les flics soit sur écoute 24h/24h et 7j/7j. On va lui nettoyer tout ça, lui mettre un bandage et on va le laisser se reposer.
Nairobi: - Ok
Arturo: - Je vais mourir ?
Moi: - Mais, non Arturito ! Tu demanderas justes des excuses à la police.
Nairobi rigole. Soudain, on voit Moscou qui descend les escaliers quatre par quatre.
Moscou: - Venez ! Il y a quelque chose à la télé !
Berlin: - On arrive ! Helsinki reste là.
On monte tous. On arrive dans l'un des bureau de billets. Rio et Tokyo sont plantés devant la seule télé qu'on avait.
Présentateur télé: - En effet, nous avons appris récemment le portait de deux braqueurs. Il s'agit de Silene Oliveira et de Aníbal  Cortés.
L'image de la télé:

Présentateur télé: - Tout de suite, la météo

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Présentateur télé: - Tout de suite, la météo. On vous rappele la principale inf...
Berlin vient d'éteindre la télé.
Berlin: - Je pense qu'on en a assez entendu pour aujourd'hui.
Moscou: - Je pense aussi.
Ils partent tous sauf  Tokyo et Rio qui parlent de cette information, qui les a sûrement abasourdis. Berlin et moi descendons.
Il a une oreillette en place. Je le vois discuter avec le professeur, probablement.
Berlin: - Quoi ? Maintenant ?! Ok, on passe à l'attaque !
Berlin: - ( il s'adresse à nous ) Helsinki va appeler les autres! Les flics arrivent maintenant et pas à 1h du matin !
1 minutes plus tard:
Tout le monde en bas.
Berlin: - Madrid, amène-moi Alison Parker.
Moi: - Bien. Alison ! T'es où ? Lève-toi et viens.
Alison: - Je suis là. Je me lève et j'arrive.
Elle vient vers nous.
Berlin: - Tu vas lire ça.
Alison: - D'accord.
Moi: - Suis-nous.
On arrive à la porte. Moscou ouvre la porte et on sort ( on descend quelques marches puis on s'arrête ). Berlin lui met un micro pour que la police entende.
Berlin: - Parle.
Alison: - Ne tirez pas. Je suis Alison Parker. Nous sommes en sécurité et bien nourri. Aucun de nous n'est blessé. Nous avons tous les armes et vêtements, il est donc impossible de nous différencier des preneurs d'otages. Ils sont armés et prêt à tirer.
On voit que la police se recule. On décide de rentrer et Moscou ferme la porte.
Berlin: - Tu t'en ai bien sortit Alison.
Alison: - Merci.

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