Bismilahi ar-Rahman ar-Rahim
Quand le soleil se couche et que tes yeux ne voient plus rien regardes avec ton cœur.
[Zarafa_BD]Sa présence était devenue presque une habitude. Elle prenait trop de place et toute la place. C'est avec elle qu'il causait, sa nourriture qu'il mangeait, à elle il raconte ses journées. Aisha faisait tout pour ne pas laisser cette jalousie naitre en elle.
De l'autre côté son amie mariée qui ne cessait de lui demander de l'aide parce qu'elle vit avec sa belle mère dont elle essaie de gagner l'amour. Sa maladie qu'elle essaie de surmonter.
Au travail ces scientifiques qui ne cessent de la harceler pour qu'elle participe au concours ou fasse partie des membres du jury.
Dans sa famille seulement elle trouvait le réconfort.
Elle lance un salam qu'on lui rend à peine elle se sentait étrangère dans sa propre maison. Une fois qu'elle s'est débarrassée de la fatigue et appris un bon bain elle descend à la cuisine.
Marâtre: J'ai déjà préparé un bon...
Aisha Omérat : Avec tout le respect que je vous dois, c'est chez moi on ne mange que ma nourriture si vous voulez cuisinez limitez vous à une assiette qui sera la vôtre
Hakim: Aisha depuis quand tu parles comme ça ?
Aisha Omérat : Dorénavant vous vous tiendrez hors de ma cuisine
Hakim: Je ne te permets pas de lui parler comme ça !
Aisha Omérat: C'est mon droit ici j'suis la femme de la maison à moins que tu ne lui ais donner le droit !
Marâtre: Ehh jeune fille insolente !
Elle tient sa main de justesse.
Aisha Omérat : Nul n'a osé lever la main sur moi! J'espère que ça ne se répétera plus sinon..
Hakim : SINON QUOI ?
Aisha Omérat : Sinon je ne répondrai plus de moi même. Maintenant laissez-moi je vais cuisiner pour mon mari et moi même votre plat je le donnerai au voisin
Marâtre: Tu ne vaut pas mieux que ta mère !
La giffle était partie toute seule. Voilà la dose qui était fatale.
Marâtre : *pleure* Hakim tu vois ce qu'elle m'a fait ?
Hakim: Aisha..
Aisha Omérat : Sortez de ma cuisine avant qu'on ait besoin de pompiers !
Il fait sortir sa marâtre en jettant un dernier coup d'œil à sa femme qu'il ne reconnait plus. Il la console du mieux qu'il pût.
Sa femme n'était nulle part dans la maison qu'il commence à s'inquiéter. Il la trouve finalement en salle de sport où elle donnait des coups dans le punching-ball. Il était aussi étonné de sa précision que de la véracité de ses coups. Il arrive à voir ses phalanges et la rage qui l'animent. Il s'assoit à l'entrée par prudence et l'appelle.Aisha Omérat : Je l'ai giflé et je le referai si elle parle encore mal d'elle. Ma famille c'est tout pour moi ! Personne n'y touche
Hakim: Elle est ton aînée
Aisha Omérat : Ma mère est un être aimé quiconque s'en approche j'oublie le bon sens. Je te préviens que je ne lui présenterai pas d'excuses
Hakim: Aish...
Aisha Omérat : Même à toi je ne sais pas si j'aurais pu présenter des excuses alors que tu as salli le nom de mom
Hakim: Veux-tu dire que tu m'aurais giffler ?