Jour 4: Impossible de dormir

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Tout le monde fut rassemblé au réfectoire. Nous étions tous silencieux, mort de peur, tremblant pour certain, sanglotant pour d'autres. Edward était seul à une table, la tête dans ses mains il réfléchissais à vive allure mais il semble beaucoup moins calme qu'avant. Il regarde ses pieds croiser sous la table à la recherche d'une solution, voir même d'une simple idée. Dans un coin de la pièce Julie essayer de cacher le fait qu'elle tremblait à peur, tandis que Théophile essayait de la rassurée au maximum. Ce calme fut interrompu par Charles qui avec une voie tremblotante Isa briser le silence :

-J'en ai marre....

Edward releva la tête, comme sortis de sa trance et le dévisagea. Le camarade de droite de Charles lui demanda :

-T'en a marre de quoi... ?

Charles commença à s'énerver.

-De ça ! Des morts ! Et d'être dans ce foutue noir dans un bâtiment délabré ! On était censée passer une colonie en montagne ! Pas un escape gamme pourrie avec un risque de mort !

Edward observait la scène tout en réfléchissant. Noémie, qui étais à la table d'en face ajouta, comme pour confirmer ses dires, avec une petite voie, la tête basse :

-Surtout que le bâtiment délabré était censé être réaménager et rénover...

Des regards accusateurs ce levait vers les animateurs. Puis Théophile pour les défendre poursuivie :

-On nous a menti aussi... on pensait que tout était comme sur la brochure et ...

-VOUS VOUS MOQUEZ DE NOUS ?!!!

Elliot furax se leva brusquement de sa table.

-NE ME DITES PAS QUE DES CONNARD D'ANIMATEURS SONT INDIRECTEMENT RESPONSABLE DE CES MORT PARCE QU'ILS CE SONT FIER À UNE BROCHURE PLUTÔT QUE DE VÉRIFIER !!!

Théophile confus ne savait plus quoi répondre il avait Julie tremblotante qui tombais en sanglot d'un côté et Elliot furax près à tout détruire de l'autre. Soudain Renn cassa le silence pesant et électrique :

-Je ne voudrais pas casser l'ambiance hein... mais votre détective c'est fait la malle.


Pendant que tout le monde était concentré sur le spectacle Edward en avais profiter pour filer avec la lampe ultra-violette. Tous regardèrent autour d'eux pour vérifier que le disparu étais bien partis. Puis on se précipita tous à sa recherche sans même se concerter. Nous nous dispersions de toutes part, on savait que celui qui le retrouverais aurais plus de chance de s'en sortir et de sortir de cette prison. Je les regardais s'agiter et sortir du réfectoire en ce bousculant. Laure dans ses aires de princesse râlait dès qu'on la poussait, Elliot criais pour passer devant, c'était un chaos pas possible. Une fois tout le monde sortis je me leva enfin de la table et rejoignait les autres, j'avais une idée d'où il pouvait se trouver. En allant au première étage tout le monde le cherchais. Il y avait énormément de bousculades dans les escaliers et le couloir principal de l'étage. Je montai donc au second, personne n'y était encore aller. Cet étage-là est plus sombre que celui du dessous. Il est un peu plus poussiéreux et est presque fini d'être rénover. Certaines salles sont fermées et d'autres, ouvertes, ont encore leurs compositions de salle de classe.
En regardant de chaque coter je vis une faible lumière saccadée dans l'antre d'une des portes du fond d'un des couloirs. Je m'avance vers cette salle qui étais comme je le pensais la 3ème salle de l'étage. En arrivant au pas de l'entrée je vis Edward avec sa lampe ultra-violet qui fouillais la salle de fond en comble cherchant le moindre petit indice. Il ne m'a pas encore remarqué. Des bruits de pat qui cours au second étage de font entendre. Toujours à la recherche du soi-disant disparus, les autres se pressent. Edward qui continuait des recherches accéléra le rythme pour trouver plus d'indice et avoir la possibilité de montée sur l'autre scène de crime, au troisième étage. On entendait des bruits de personnes qui courrais aux étages supérieur et inférieur. Edward se releva plutôt fière de sa trouvaille et sursauta en me voyant dans l'entrée, je l'avais sortie de sa petite transe de recherches.
Les autres arrivaient à notre salle en courant dès qu'ils l'urgent trouver ils crièrent dans tout l'étage :

-ON L'A TROUVER !!! ON L'A TROUVER !!!

Tout le monde rappliquait. Théophile et Julie poussaient la foule pour passer devant et atteindre le détective. Arriver à lui Théo me pris par le bras violement et le tira hors de la salle à toute vitesse et poussa la foule dans le sens inverse. Une fois sortie du groupe d'élèves il le travers l'étage inférieure jusqu'à le traîner à la cantine. Tout le groupe avais du mal à suivre leurs rythmes mais une fois arriver dans la cantine et que tout le monde fut passer Théo ferma les portes violement et se dirigea cet Edward. Il était plein de fureurs et la fusillade du regard.

-MAIS QU'EST-CE QUI T'A PRIS PAR LA TÊTE M'A PAROLE !! ON NE DOIT PAS SE SÉPARÉ DU GROUPE SOUS PEINE DE COURIR LE RISQUE DE MOURIR !! C'ESTÇA QUE TU SOUHAITE CREUVER ??!!! PETIT CON VA !!!

Théo était prêt à le frapper lorsque Julie lui attrapa le bras pour le retenir. Il baissera son bras de rendant compte de ce qu'il allait faire et recula la tête baiser et commençais à regretter ce qu'il s'était apprêter à faire. Julie plus calme regarda tout le monde avec une mine triste et demanda à tout le monde de s'asseoir ce que l'on fit. Tout le monde soufflait, Julie pris à l'écart Edward pour discuter puis elle hocha la tête et en revenant sur le groupe elle remarqua une chose étrange, comme un manque. Elle alla près de Théophile qui étais affaler sur une chaise les yeux river sur la main qu'il avait levé sur Edward. Ils discutèrent tous les deux un peut puis Théophile paraissait avoir repris l'énergie qu'il avait perdue. Il regarda tout le monde nous compta de son regard et regarda Julie paniqué. Puis il sortit du réfectoire en courant et en revainc deux minutes plus tard avec un bout de papier. Julie qui s'était beaucoup inquiété regarda le bout de papier. C'était la liste des personnes de la colo. Julie pris le stylo que Théo venait de ramener. Ils se regardèrent mutuellement puis Julie s'assit et Théo regarda les élèves et brisa le silence :

-Désolé on va vous déranger un moment ne paniquez pas on va juste faire l'appel...

On répond présent sauf pour les morts Harry, Marie, Amélie, Baptiste, Romain, quand soudain il appela Charles...aucune réponse. Paul... toujours personne. On commença alors à se regarder les uns les autres pour remarquer leurs absences. Florence... toujours pas de réponse. La panique commence à nous prendre. Noémie... personne. Il en manque 4. Quatre victimes supplémentaires à un jeux morbide auquel on est obligée de jouer. Un escape Game géant et sanglant.
Tout le monde était complètement choqué et apeurée. Tous étaient pris de panique. Théophile essaya de calmer le monde malgré sa peur à lui aussi. Puis finalement il demanda à tout le monde de le suivre. Pour la nuit ils avaient décidé de la passer dans le réfectoire. Tout le monde le suivait et devant chaque chambre ils s'apprêtaient pour que les propriétaires de cette chambre récupèrent leurs affaire, oreiller draps et valise. Une fois tout le monde avec leurs affaires ils redescendaient au réfectoire. Poussèrent les tables et firent un petit camp improvisé. Julie qui aidait l'installation comptant aussi les élèves, une fois terminée elle regarda autour d'elle puis voulant dire son conte à Théophile elle se mis à le chercher du regard. Elle commençait à paniquer, elle ne le trouvait pas. Puis tout le monde sursauta à sa voie complètement affolée :

-ÇA SUFFIT QUE PERSONNE NE BOUGE !!

Tous se stoppèrent sur place Julie courait partout elle se tournais et ce retournerais ouvrant les portes de la cuisine et du garde-manger. Tout le monde regardait aux alentours. Il manquait Théophile. Tout le monde compris alors qu'il était mort.

-C'EST PAS POSSIBLE NOOON ! PAS LUI ! NOOON !

William essaya de la rassurer. Mais elle était complètement sous le choc. Perdue et livré à elle-même.
Puis tout le monde partie dormir dans leurs coins et tous eurent énormément de peine à trouver le sommeil.
Et pour ceux qui y parvenais ils étaient bercés par les sanglots des autres.

Le chalet des cauchemarsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant