1. Quand ils partent.

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1. Quand ils partent. 

Il devait être deux heures du matin quand Brooke se réveilla, bien plus tôt qu’elle en avait l’habitude, était-ce le stresse du voyage ou l’excitation? Elle ne savait pas. Elle se leva, mit les vêtements qu’elle avait préparé hier soir, et passa sa brosse dans ces cheveux avant de la mettre dans son sac à dos, qu’elle finit par ressortir avec l’intégral de son sac pour vérifier qu’elle avait tout; portefeuille, passeport, écouteurs, chargeur, ordinateur, chargeur encore une fois, et un sac de bonbons. Elle remit tout dans son sac et le referma. Puis passa à sa valise, qu’elle ouvrit et sortit tout ce qu’il y avait comme avec son sac, et en fessant des crochets sur une liste, elle passa en revue ces vêtement et autres, puis remit en place. Elle s’est coucher par terre comme elle le faisait toujours et regarda son plafond blanc pendant longtemps. Vers trois heures du matin, sa mère cogna à sa porte pour la réveiller, et cinq minutes plus tard Brooke descendais sa valise et son sac dans l’entrée de la maison. Sa mère, arriva dans l’entré avec sa tasse de café, et ces cheveux blond mis dans un chignon négligé, et elle mit ces souliers et pris ces clés, Brooke partit en premier, se dirigeant vers la voiture. Sa mère arriva quelques minutes plus tard s’assoir derrière le volant, et elle passa à sa fille un sac de plastique. 

« Tu as oublié quelques petites choses. » lui a dit sa mère en souriant tendrement à sa fille.  En jetant un coup d’œil la jeune fille vue une bouteille d’eau, une barre-tendre, un imperméable et même une photo.

« Merci maman » a dit la jeune fille, la voix enroué par la fatigue. Puis le reste du cours voyage en voiture jusqu’à l’aéroport se fit en silence, seulement dérangé par les artistes divers qui passaient au poste de radio. « Pourquoi Papa n’est pas venu? » a demandé la jeune. 

« Ton père est rentré tard hier soir, enfin, ce matin. » a répondu la mère sans donner plus de détaille, mais sa fille n’en avait pas besoin, elle savait ce qui se passait vraiment, il ne faut pas être Dieu pour remarquer que son père sentait l’alcool. La Jeune fille hocha la tête, et replaça son regard qu’elle avait placé sur sa mère sur la route. 

Dans le stationnement, ce fut une vraie scène. La mère de Brooke se mit à pleurer, et Brooke ne savait pas trop pourquoi. La mère prit sa fille dans ces bras, et Brooke se laissa faire, même si elle n’aimait pas les contacte comme ceux-ci, parce que, c’est inutile. Mais quand elle rentra dans les porte principale de l’aéroport, elle sentit le stresse monter un peu plus et aurait souhaité pouvoir jeter un coup d’œil à sa mère qui l’aurait rassuré d’un sourire tendre comme elle le faisait si souvent. Elle réussit à trouver son groupe, peu de gens étaient arrivées, et la plus part dormaient assit sur une chaise ou parlaient entre eux. Brooke c’est assise et à attendue en regardant les gens entrer et sortir par la porte d’où elle était arrivée. Vers quatre heures le groupe était complet, et ils sont partis en suivant les professeurs en charge du voyage vers le bureau d’enregistrement des valises et à 5 heures ils étaient en train d’attendre. La plus part des filles étaient parties regarder les petites boutiques, mais Brooke resta assise avec son sac à ces pieds, les idées qui volaient a deux milles kilomètre à l’heure. Le vol était prévus pour décoller à 7h, il restait encore du temps pour aller aux toilettes ce qu’elle fit. Et en sortant des toilettes, elle entendit le numéro de son vol, qu’elle avait fini par apprendre par cœur forcer de se le répéter par peur qu’il arrive quelque chose et qu’elle n’ait pas son billet avec elle. Le stresse monta encore plus, assez pour faire battre son cœur dans ces temples, mais elle marcha tranquillement jusqu’à voir la porte, et elle attendue en ligne et donna son billet au moment arrivé. La plus part des gens aimait toucher l’avion, une sorte de manière d’attirer la chance, mais pour Brooke, quand elle vue l’avions, sa respiration se bloqua dans sa gorge, mais elle continua à marcher et alla s’assoir à son banc, par change, ce n’était pas proche du hublot. Assise à sa place, Brooke essayait de trouver une respiration normal, mais elle ne réussit pas, elle sentait en elle, ça arrivait, encore. Au moment où les larmes sortirent de ses yeux, elle se leva en vitesse, bouscula des gens sans s’excuser et sortit en courant et s’accota sur un mur en suffoquant, se battant pour trouver son air. Elle s’est accroupit et a enfoui sa tête entre ces bras, comme toujours dans sa tête tournait les pires scénarios, qu’elle remonte dans cet avion et meurt, ou encore qu’elle meurt sur place parce qu’elle n’arrivait pas à garder d’air dans ces poumons. Autour d’elle, les gens la fixaient, et même riait, la prenant pour une folle, et non pour une jeune fille victime d’une crise de panique ou une attaque de panique. Sauf un. Qui se porta a son recours. Il bouscula les gens et vint s’agenouiller devant elle, il ne la connaissait pas. Enfin, il l’avait surement vue à l’école, mais il ne portait pas attention aux gens, seulement à sa musique. Mais, il savait ce que c’était d’avoir une crise, il savait à quel point cela pouvait faire peur, et à quel point cela semble durer longtemps et être dure.

La fille à la robe rouge [✔]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant