Chapitre 11 : Nouveau départ.

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C'était Ashley ! La même Ashley qui avait causer tout sa. Elle ce pencha dans la voiture, en sorti mon licol de cuire havane et claqua la porte. Elle jeta un bref coup d'oeil à la propriété puis avança l'air confiante jusqu'à l'homme qui était venu me chercher, il était en train de re peindre le vieux mur de la cour, celui qui fesait tant pitié.

Elle tapota son épaule, il sursauta.

- Ah c'est vous ! Que faite vous là ?

- Je viens récupérer ma jument.

-Hahaha, vous rigoler ? Desolé mademoiselle mais on ne fait pas d'échange.

- Je vous en offre le double de ce que vous me l'avez payer !

- ...

Ashley arriva confiante vers moi, j'en ai déduit que le marché était passé !

Elle ouvrit la barrière et fit une grimace pour montré son dégoût face à l'état de l'enclos..

Elle s'approcha de moi et me dit :

- Je suis désolé. Desolé de t'avoir jugé si vite ! Je regrette de t'avoir fait vivre sa.. J'espère, enfin je ne crois pas qu'un jour tu puisse me pardonner.

On pouvais apercevoir les l'arme s'écoulant sur ses joues.

Elle me caressa le chanfrein tandis que je ne fit rien.

Elle me mit mon licol et s'empressa de me sortir de là !

Une fois monter dans le van il y avait un gros filet à foin qui n'attendait que moi.

La route fut longue et nous arrivâmes très tard..

Je passa la nuit dans mon box dont j'étais heureuse d'avoir retrouver le confort.

A l'aube Ashley arriva en courant vers moi, elle entra dans mon box et passa bien deux heures à me bouchonné..

Elle attacha la longe à mon licol et me fit sortir..

On ce dirigeait vers le rond de longe, la où tout avait commencé..

Elle retira le licol et le jeta par terre puis elle alla ce mettre en tailleur au milieu du rond.

Je pris un départ au galop histoire de dégourdir mes membre pour ensuite ralentir et m'approcher doucement d'Ashley.

Je lui sentit les cheveux et sans se retourner elle me dit :

- Papa avait raison ! Avec de la patience et de la confiance tu deviendra une jument extraordinaire.. Hier à l'hôpital j'ai appris que la mort de mon père était du à une crise cardiaque, le choque ! Je devais réparé ma bêtise..

Elle ce leva, me regarda puis me tendit une pomme. Aucune hésitation, je croquis dedans !

J'avais retrouver une part de confiance en elle.. À suivre !

Sous le sabot d'un chevalOù les histoires vivent. Découvrez maintenant