Chapitre 8.

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- Alors, qu'est ce que vous voulez faire ?, demanda Nash.

- MANGER !, hurla Shawn Mendes.

- Tais-toi !, rirent les deux Jack.

- Sérieusement, on va se baigner ?

- Ouais !, crièrent les garçons.

- Hm, j'ai pas de maillot de bain, souffla discrètement Azelle.

- A POIL !, chanta Taylor pendant qu'Azelle rougissait.

- T'es bête Taylor. Je vais juste aller chercher un maillot de bain et je vous rejoind.

Azelle sortie de la maison et rentra dans la sienne. Elle enfila rapidement un maillot noir et prit le temps de se tartiner de cème. Sa peau blanche souffrait grandement sous le soleil Californien. Attrapant un paire de lunettes de soleil, elle retourna chez ses amis. Quoi qu'elle en dise, les appeller ses amis était étrange pour elle. Elle qui n'avait jamais eut d'amis. En réalité, des amis elle en avait eut, mais jamais elle n'avait eut d'amis qui ne partageait son passé, où qui ne faisait pas parti du monde dangeureux qu'elle avait fréquanté.

Elle entra dans la maison de ses voisins sans gêne et rejoingnit les garçons à la piscine. Ils étaient déjà tous à l'eau, criant, sautant, s'éclaboussant. Le bonheur qui émanait de la scène était un tableau d'une exeptionelle beauté. Sans attendre, Azelle Mandez retira ses vêtements et sauta dans la piscine.

Au côté de ses garçons qui lui rendait la vie plus simple, elle se sentait libre. Comme s'il n'y avait jamais eut d'Ava, d'Alicia ou encore de Clarisse. Comme s'il n'y avait jamais eut qu'elle.

Mais prends grade Azelle, je t'ai l'ai déjà dit, le passé n'a pas la langue dans sa poche.

L'après-midi s'écoula entre rires et cris de joie. Lorsqu'il fut sept heure passé, Nash jugea judicieux de quitter a piscine, de plus, le soleil commençait à se cacher derrière d'imposants nuages. Les habitants de la maison partirent se changer et Matthew proposa de vêtements secs à Azelle en attends que les siens qui avaient - miraculeusement - attéris dans le piscine ne sèchent. C'est ainsi qu'elle se retrouva vêtue d'un t-shirt bien trop pour elle et d'un caleçon d'homme.

- Hm, Azelle ?, demanda Carter.

- Oui ?

- Je crois que tu ne vas pas pouvoir rentrer... C'est le déluge dehors.

- Quoi ? Mais j'habite à dix mètres !

- Même, tu ne sors pas, renchèrit Jack J., c'est dangeureux. ET puis je suis sûr que les gars veulent apprendre à te connaitre ! Hein les mecs ?

- Oui !, répondirent les cinq nouvels arrivants.

- Je crois que je n'ai pas vraiment le choix.

- Non tu ne l'as pas, rit Matthew.

- Très bien, rit-elle à son tour.

Le temps fila vite et vingt et une heure sonna. Il était temps de manger alors, comme aucun des garçons ne se dévoua, Azelle partie dans la cuisine concocter un bon repas. Elle jeta plusieur légumes dans une casserole et dans une autre, elle fit cuire de riz.

Le riz crépitait dans la caserole. Azelle appréciait le soudain silence, les garçons semblaient s'être calmé. Laissant le silence envahir l'espace de la belle.

Ce qu'ignorait la fille à la peau pâle,  était que ses nouveaux amis parlaient d'elle. Ils étaient tous fascinés par sa simple beauté, par son élégance inné mais surtout, par elle tout court.

Elle était belle, intelligente, elle parlait diverses langues, et semblait parfaite.

Ne faudrait-il tpute fois pas oublier qu'un surplus de perfection n'est qu'un voile à secret.

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