C'était écrit...(Camren)

chapitre 12 : vire la ou je te vire !

"Manageur"

Merde. J'avais complètement oublié ce détails.
J'explique à camila qu'il faut absolument que je réponde.

-Allo?

-Oui, lauren qu'est ce que c'est que ce bordel

-Je...

-Je veux pas d'explication on en a suffisamment parlé. Romps avec camila ! si tu peux vraiment pas te passer d'elle ta cas coucher avec elle en secret, je m'en fous mais tu peux pas t'afficher avec elle.

-Mais..écoutes

-JE DISCUTE PAS LAUREN OU TU LA VIRE OU JE TE VIRE

-C'est pas ce que tu crois, mon album sort à peine je voulais faire un coup de buzz c'est tout et mes fans verrons bien que je ne parle pas de camila dans mes chansons.

-Tu me rassure vraiment. C'est une bonne idée continue à faire semblant dans ce cas. On en reparle plus tard.

Je raccroche. J'ai vraiment fait n'importe quoi. J'aurai du lui dire la vérité. Oui j'aurai perdu mon label, et ruiné mon contrat, j'aurais perdu un max d'argent et vendu mes droits d'auteur mais est-ce que ça ne vaut pas le coup pour être avec la fille que j'aime?

Je retourne dans le restaurant et vois une camila pensive.
Je m'assis. Je la fixe. Elle tourne enfin la tête.

-quoi? Demande-t-elle froidement.

-qu'est-ce que tu as, c'était mon manageur ne sois pas jalouse

-je suis pas jalouse Lauren. Manges ça va être froid.

Je n'insiste pas de peur de la contrarier d'avantage. Le repas se poursuit. Personne ne parle. Elle fronce les sourcils. Elle est encore jalouse comme d'habitude elle a sûrement peur que je l'abandonne. Mais je la laisse se calmer. On réglera ça a la maison.

De retour dans la voiture, l'atmosphère est tendue, Camila ne parle toujours pas.

-camz..qu'est-ce que t'as?!

Elle répond pas. Elle tourne sa tête et la pose sur la vitre. Elle ferme les yeux.
Qu'est-ce qu'elle est belle. Même énervée, même endormie je la trouve sublime. Je l'aime . Je l'aime tellement. Mais elle m'énerve à faire la tête vivement qu'on rentre.

Arrivée à la maison je n'ai qu'une hâte , ouvrir la porte retirer nos vestes, nos chaussures et comme d'habitude l'attraper sous les cuisses et la porter jusqu'à la chambre. Mais, elle me repousse. Vraiment là je ne comprends pas ce qu'elle a. Ça me fait de la peine de la voir si distante. Je veux la sentir contre moi. Je veux sentir ses lèvres contre les miennes, poser ma tête contre son cou et sentir sa respiration...sa respiration..qu'est-ce qu'elle m'appaisait.

-camila on peut parler maintenant? Je comprend vraiment pas ce qu'il se passe.

-fallait y reflechir avant

Réfléchir? Mais à quoi ? Qu'est-ce que j'ai fait encore?
Toutes ces questions tournent dans ma tête. Peu être qu'elle m'en veut d'avoir décrocher pendant notre rendez vous. Si ce n'est que ça cette dispute sera déjà oubliée demain.

On se couche. Mais pas comme d'habitude, elle ne se met pas dos à moi pour que j'enroule mes bras autour de sa taille. Non. Elle se met de l'autre côté de lit et positionne ses pieds devant sa poitrine. Comme une muraille qui la séparait de moi.

-camz tu vas me dire ce qui t'arrive bordel??!

-bonne nuit Lauren.

Elle s'endort. Je n'ai toujours pas reçu d'explication.
Triste, je m'endors les larmes aux yeux.

8h30:

C'est le matin et comme tous les matins un rayon de soleil se pose sur mon front et me réveille. Je me tourne vers camila, elle dort encore.
Je me lève, m'étire et vais dans la salle de bain.
Je fixe mon miroir pendant quelques secondes, j'ai une mine affreuse, je n'ai pas arrêter de me réveiller cette nuit.
Je me dirige en direction de la baignoire pour me faire couler un bain et j'aperçois des pétales de rose et une bouteille de champagne accompagnée de deux coupes delicatement posées sur le rebord. Je compris que camila avait prévu de poursuivre la soirée une fois rentrée. Dommage qu'elle me fasse la tête. Ça a complètement gâché notre rendez vous.

Je m'approche plus près en direction de la baignoire et aperçois un panier au fond de celle-ci. Je le sort et sortis la petite boîte qui se trouvait à l'intérieur. Dans cette boîte il y avait une lettre et une autre petite boîte.
J'ouvris la boîte.

NON! C'était une bague!
Une bague de fillancaille. C'est donc pour ça que camila était fâchée elle comptait me demander ma main hier soir et moi j'étais trop occupée à répondre à ce stupide portable.

Ça fesait une dizaine de minute que j'étais assise, le dos appuyé sur la baignoire à comptempler cette merveille ornée de diamant.
J'étais toujours un peu sous le choc.

J'entends des bruits de pas s'approcher de moi. Je referme vite la boîte et tend le bras pour chercher le panier mais, trop tard camila rentre dans la salle de bain avant que j'ai le temps de tout remettre en ordre. Elle ouvre la porte, se racle la gorge pour attirer mon regard dans sa direction.

- mets la!

Je fis mine de ne pas comprendre de quoi elle parlait.

-si avec ça tu fais pas le buzz, je comprendrais pas. Dit-elle en s'effondrant .