Partie 6

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Hello ! Bonne lecture.

J'étais dans mes pensées lorsque je sentis remonter quelque chose. Je me dirige dans les toilettes de Sali, sous les yeux inquiéter des personnes présente dans ma chambre.

Ce que je vis dans le lavabo me laissa ébahie....

Du sang ! Ce n'est pas vrai. Non, je ne veux pas mourir !

Mes larmes commencèrent à couler. J'ai complètement oublié qu'il y avait du monde hors des toilettes. Ils doivent s'inquiéter. J'essuie vite mes larmes et nettoie tout avec le papier toilette. Je jette le papier a la poubelle et en remet par-dessus pour qu'on ne soupçonne rien. Je sors pour prendre mon sac et rassurer le gens.

Idrissa : Ça va ? Qu'est ce qui c'est passer ?

Moi : Rien. J'avais mangé une pizza, des crevettes et des chips. Ça m'apprendra de manger tout et n'importe quoi....

Idrissa : Heureusement qu'on est dans un hôpital...

Rokhaya : Oh... je suis vraiment désoler

Elle se fout de qui elle.

Moi (avec un grand sourire) : Merci

L'hypocrise. Je n'aime pas cela, mais je n'ai pas le choix.

Salimata : J'ai eu peur.

Moi : T'inquiète ça vas.

Je me dirige vers la sortit de l'hôpital, je n'ai pas le temps de faire la queue aux urgences et je rentre chez moi. J'ai des maux de ventre de plus en atroces. Je m'allonge sur le canape, en me tordant de douleur. Mais que m'arrive-t-il ?

Rokhaya

Moi : Bon, ma chérie, je dois m'en aller.

Sali : Pas de souci, bye.

Je sors de cet endroit, soulager que ma meilleure amie se porte bien. Elle nous a fait peur ! Bon, je retourne chez moi, comme d'habitude, la boule au ventre, car ce qui m'attends las bas n'est pas très plaisant.

Maman : Rokhaya ! Fo nekone (ou était tu) ?

Moi : Cheuuuu, yaye, yangui mey beugueu sonal deh ! Salimata la démone setsi, defeu def accident ( maman, tu commence à me fatigue J'était aller voir Sali, elle a fait un accident.)

Maman : ACCIDENT ! Lahillah ! Mounoumeukeu gueum ( je ne peut pas le croire) ! Ak nimou bakhe, te yarou, te AME DJEUKEUR. (Avec toute sa gentillesse, sa sagesse, ET SON MARI)

Moi: Eh, yaye, kham ngua lane, bouma sonal ak set affairou djeukeur .Samay tank deniouy meti. Damay dof deh ! (Maman, tu sais quoi, na fatigue pas avec tes histoires de. Mes pieds me font mal. Je vais devenir folle !)

Maman : Dangua fonguoni que Salima li ley def ? Dedet ! Contraireum gue, lolotakh yaguifi te seyeguo. Ni guay wakhe ak sa yaye ? Wassalam. (Tu penses que Salima fera ça ? Non ! Tu es tous son contraire, c'est pour ça que tu es resté longtemps ici, sans te marier. C'est comme ça que tu parles à ta mère ?)

Je monte dans ma chambre pour éviter des embrouillardes avec ma mère. Juste parce que je ne suis pas encore marier, elle me casse la tête. De tout façon, je n'ai pas de chance en amour. Je suis sortit avec un nombre de gas incalculable, mais jamais rien de sérieux. Enfin, pour moi c'était sérieux mais, pour le gas... Il m'abandonne comme un chien. En pensant a cela, je laisse échapper une larme. Moi aussi je veux avoir un mari. Pourtant, j'en mérite un moi aussi. Chacune a le droit a sa chance. Vais-je mourir seule ?

J'ai été maraboutéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant