Partie 4

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Bonne lecture !

Mamie : Attends tu fous quoi la 😊?

C'est une blague ? Dans tout Dakar il fallait que je tombe sur elle. Je suis sur elle va me balance.

Fatima (avec des larmes de crocodiles) : J'ai compris Adja je vais vous laisser en paix.

Puis elle sort de restaurant. Mais quelle actrice.

Moi : Ne t'inquiète pas. Je voulais juste lui remettre les points sur les i. Quand même, elle a piégée notre pote.

Mamie : Mais pourquoi tu ne nous as pas prévenu ?

Moi : Je pensai que vous alliez mal le prendre. Viens-je te paye quelque chose.

Mamie

Non mais elle se fiche vraiment de moi. Et cette Fatima, elle n'est pas si bête que ça. Je les voyais bien discuter, elle me ment. Il fallait que je filme. Si je veux l'accuser, il faut des preuves. J'aurais du moins me précipiter.

A présent j'ai plus confiance en Rokhaya qu'en Adja. Mais à partir de maintenant, je ferais mon enquête, seule...

Moi : Non merci, c'est gentil mais je n'ai pas faim.

Adja : Ok bye !

Je rentre chez moi, puis je dors. Demain, je dois me réveiller assez tôt, à cause de l'université. Je fais de la biologie. J'ai tout pour être heureuse, sauf un mari. J'accumule les déceptions. Mais il faut croire que l'amour n'appartient pas tour le monde🙄. Mais j'ai réussi à accepter. D'ailleurs mes amis combler ce manque. Je suis surtout proche d'Adja. Enfin.... avant que tout cela arrive. Avec Salimata, c'est super. C'est une amie très présente pour moi. Mais elle pense que la vie est toute rose et qu'il y a des licornes et des fées.... En même temps, elle a tout ce qu'une personne voudrait avoir. On ne peut pas lui parler de nos problèmes. Elle pense que tout s'arrange en un claquement de doigt. Parfois, il faut souffrir avant de voir l'envers du décor. Certaine personne arrive a voir la vrai vie sans l'avoir vécu, d'autre non.

Avec Rokhaya, vous savez déjà l'ambiance.

Je vous passe jusqu'au demain.

Les cours ce sont bien passe dans l'ensemble. Mais j'ai des mots de têtes incroyable accompagnée d'une fatigue immense. A force de réfléchir. Bon, peut être un doliprane et une sieste pourra arranger le problème.

???

Ça pue trop ici ! Mais je n'ai pas le choix.

Moi : Salamualeykoum

Diallo : Mualeykoum salam naga def (comment va-tu) ?

Moi : Ma guifi (je vais bien). Vraiment ta magie a bien marché sur elle.

Diallo : Mais pourquoi ne pas la tuer simplement ?

Moi : Si elle meurt, elle ira directement au Paradis, donc ne souffrira pas. Je veux même qu'elle soit immortelle. Je pourrai lui faire plus de crasse.

Diallo : Très bonne idée. Mais ce que je lui suis fait n'est qu'un avant-gout.

Moi : Tu peux tuer son entourage par exemple. Appart son mari, je l'aime bien.

Diallo : Pas de soucis

Moi : Mais il y en une que je veux tuer. Mais a petit feu. Je veux vraiment qu'elle ressente une grande souffrance. Il ne faut pas que des médecins s'en doute.

Diallo : Cela est ma spécialité. Bien sûr, tout en discrétion.

Moi : Exactement, donc le plan....

(Une semaine plus tard)

Salimata

Ces temps-ci, je me sens bizarre. Je fais chaques nuits un rêve étrange ou je tombe au fond d'un trou. Mais au lieu de m'accrocher pour ne pas tomber, je ne fais rien, puis je ferme les yeux. J'ai commencé, petit à petit a délaissé la prière. Moi qui adore ça. Avec tous les problèmes que j'ai. Par exemple, j'ai oublié mon surligneur sur mon bureau  l'autre jour, et autres emmerdes. Je voulais pleurer.

Bien sûr, je prends le soin de cacher cela a mon mari. Mais aujourd'hui, je me sens comme......exciter. Je veux sauter, voler, courir dans un champ rempli de petits chiots. J'ai l'impression de vouloir faire le tour du monde. Je bougeai sur place, sur ma chaise, a l'université. Je suivais à peine les cours. A la fin de cet heure INTERMINABLE, je décide de marcher pour rentrer chez moi. Puis je me mis à courir, comme une dingue. Je ne suivais plus la route de ma maison. Je ne sentais plus mes pieds. C'est comme si j'avançais, comme ça, sans support. L'adrénaline qui montait en moi me poussait à faire des folies. Je n'entendais plus rien autour de moi. J'avais l'impression de monter, et de monter...puis, plus rien.

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(Salimata, tu veux du jus, du poulet, un Big Mac, ou....des LASAGNE? On a tout ici. Oui, tu veux rester, reste avec nous, on s'est habituer a toi, on t'aime. Dis-le-lui, reste, il veut que tu t'en aille loin de nous, loin de ce magnifique endroit)

(...NON......DIT....NON)

(Tait toi. Salimata, il veut t'embroyer, Salimata non...NON !!!!!!!!!!!!!!)

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??? : Allez, vous allez y arriver Mme Gueye.

Malgré mes paupière lourde, j'ouvre mes yeux.

??? : C'est bon, elle s'est réveillée. Christelle, ramenez-lui de l'eau.

J'essaye de différencier les voix réelles et celle qui sont dans ma tête. Mais j'en reconnais une....

Idrissa : Ma belle, on a eu peur, pourquoi as-tu voulut te suicider ?

Moi (avec une voix faible) : Mais qu'est-ce que tu me raconte la ? Je rentrais a la maison c'est tout.

Idrissa : Mais tu courais comme une malade mentale en plain milieu de la route !

Moi : Mais non, je voulais juste faire un peu de sport, il n'y a rien de grave.

Idrissa : Bon, je vais te laisser te reposer, l'infirmière t'emmène de l'eau Tu es restée quand même 2 jours dans le coma. A tout l'heure ma belle.

Dès que mon mari a fermé la porte, les voix sont revenues, plus intense dans ma tête.

Il y en avait deux, plus précisément. Elles se contredise. L'une me dit de faire ça, l'autre me dit de ne pas accepter. Mais une seule revenait sans cesse. C'est vrai que j'étais bien là-bas. Et l'adrénaline revenait. Je pris les fils de la perfusion attachés a moi, et les retirais, ce qui me fis sombrer dans un noir absolu......


Partie terminée !

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J'ai été maraboutéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant