Les anges de Combats

Chapitre 2.

Un mois passa et Evalia ne trouva rien, mais elle ne se laissa pas démoraliser, bien au contraire. Un jour, lorsque le soleil était à son plus haut, que le vent était aussi chaud que dans un désert de sable et que l'océan ne paraissait ne jamais finir, Evalia vit apparaître au loin un scintillement comme celui que Nadeshiko lui avait décrit. Alors épuisée mais revigorée d'apercevoir quelque chose au loin, elle avança plus vite que le vent : au milieu de l'océan plus loin que jamais de toutes terres elle aperçu le fameux dôme de verre avec son île et les anges de combats : certains volaient suants à grosses gouttes et d'autre épuisés se reposaient sur l'île, entassés les uns sur les autres éloignés du bord.

Evalia se rapprocha le plus prêt possible du dôme et posa une main sur celui-ci puis lança un sort : « Qu'autour de ma main se creuse une ouverture pour que tous puisse y passer jusqu'à ce qu'un sort d'arrêt soit lancer par le lanceur ! » Soudain apparue une sphère emplie de signes incompréhensible en vert printemps et rouge écarlate puis toute la partie du dôme qui était dedans se désintégra ; il y avait assez de place pour que l'homme le plus grand du monde puisse passer debout sans s'inquiéter ; alors une fois la désintégration terminée Evalia s'engouffra dans le dôme et ne passa pas inaperçus : « Notre sauveur est arrivé ! Cria l'un deux.

-C'est plutôt notre sauveuse ! Répliqua en rigolant un autre.

-Ne la harcelez pas enfin ! Vous voyez bien qu'elle est épuisée, n'est-ce pas Evalia ? Lui demanda une dame d'âge moyen avec les yeux verts impérial cernés et les cheveux noirs teintés d'un blond platine.

-Cela ne vous dérange pas que je me repose quelque instant le temps de reprendre mon souffle ? Demanda enfin Evalia essoufflée.

-Mais non pas du tout enfin et puis si tu tombais d'épuisement nous aurions un gros problème pour sortir ! » S'écria un garçon de l'âge d'Evalia et qui ressemblait énormément à la dame qui venait de parler sauf que celui-ci était aussi grand qu'Evalia,d'une peau blanche avec les yeux verts menthes et les cheveux courts blonds teintés de noir.

Evalia les remercias alors tous et s'assit sur un côté de l'île qui était inoccupé : « Non !! Ne t'assois pas là, rapproche-toi du centre de l'île, vite ! » Hurla une petite fille affolée, aux yeux bleus pastels, la peau bronzée comme du chocolat au lait que l'on aurais fait cuire trop longtemps et aux cheveux roux lisses et qui tombaient jusqu'à ces genoux. Apeurée Evalia se relevât en vitesse sans comprendre se qu'il se passait et demanda : « Qui a-t-il ?! Aurais-je fait quelque chose de mal ?! » La petite fille courut vers elle et celle-ci n'eut point le temps d'expliquer se qu'il se passait à Evalia qu'elle se fit attraper par une espèce de piranhas d'au moins un mètre de long qui l'entraîna dans l'eau aussitôt. Evalia plus confuse que jamais, s'écria : « Qu'est-ce que c'était se gros machin !? D'où sort-il et ou est passé la petite !?

-Lily ! Hurla en larmes une femme rousse qui semblait être sa sœur, mon ange ! Mon bébé, mon cœur, ma sœur !! Lily ! Nonnnnn ... Pas toi ! ...