Twilight 6 - Contemplation

Chapitre 23 - Tess

Cela fait maintenant 10 jours que Tess est née et pourtant on dirait qu'elle vient d'avoir un an. Le fait qu'elle grandisse aussi vite me rend fébrile et mélancolique. Je redoute également la réaction de ma famille lointaine tel que Kate, Tanya ou encore Benjamin. Ces personnes sont importantes pour moi et je ne veux pas les perdres. Mais vu la situation qu'à causée ma naissance je ne pense pas devoir faire face à de mauvaises réactions hormis celles des Volturis...

Ce matin je suis appaisée, encore coucher dans le lit du cottage. Je sens soudain une main carresser mon dos nu. Je ne ressens pas le besoin d'ouvrir les yeux. Je profite de mon tendre réveil au côté de l'homme que j'aime. Mais mon réveil est rapidement dérangé par un hurlement de nourrison. Tess aussi vient de se réveillée ! Je commence à me redresser quand la voix grave à côté de moi s'active.

(Jacob): Laisse ! J'y vais.

Je tourne la tête vers lui et ses lévres se dépose délicatemment sur les miennes. Il se lève rapidement et enfile son short. Alors qu'il travers la pièce je lui envoie un oreiller.
Il se retourne interloqué, le sourire aux lèvres.

(Moi): Merci beau gosse !

Son rire éclate dans la maisonnette mélangé au mien. Il sortit alors de la chambre et entre dans celle voisine. Nous avions installer Tess dans mon ancienne chambre d'enfant. Le rire de Jacob mélangé aux petits bruits de notre fille me parvenèrent vaguement. Je décida de me levée pour rejoindre la chose la plus importante pour moi à ce jour : ma famille. J'arrivais doucement vers la porte de la chambre et je décida d'observer Jacob faire son papa poule.
Il tenait Tess dans ses bras et la berçait avec délicatesse. Une grand sourire au lévres, il regarda notre fille comme une petite pépite d'or. Je m'avanca dans la piéce rose et grise et prend place sur un petit fauteuil installé à côté du berceau de Tess. Les yeux de Jacob se pose sur moi dans la seconde même. Il fut d'abord surpris que je ne me sois pas rendormis puis un petit rire lui échappa quand je fit un signe de tête en direction de la petite qui dormait depuis au moins dix minutes déjà. Il la posa délicatemment dans son berceau puis se pencha et déposa un délicat baiser sur son front. J'étais heureuse d'assister à ce moment qui semblait l'un des plus rares pour Jacob. Il se rapprocha de moi, toujours assise sur le fauteuil.

(Jacob): Quoi ?

(Moi): Rien...

Un petit rire m'échappa, ce qui déclancha celui de Jacob.

(Jacob): Tu me regarde avec insistance quand même...

Il s'approche plus près encore que je pouvais sentir son souffle chaud.

(Moi): T'es juste trop chou quand tu fais ton papa poule et que tu t'occupe d'elle comme ça !

Un ricanement glissa entre ses lèvres. Je sentis soudain ses mains se glisser au niveau de mes hanches.

(Jacob): Ah oui... Alors voyons comment je m'occupe de la maman !

Soudain mes fesses quittèrent le fauteuil si confortable et mon corps se colla à celui de Jacob. Par reflexe je passa rapidement mes jambes autour de sa taille. Il avança alors dans le petit couloir jusqu'à me poser sur le lit en prenant soin de rester au dessus de moi. Ses baisers se perdaient sur mon cou quand des coups résonnèrent dans le cottage. Jacob s'arrèta sur le champs et je le fit rouler sur le côté afin d'enfiler une tenue digne de se nom. J'opta rapidement pour une robe alors que les coups se faisaient plus forts et plus rapides. Je me leva et m'empressa d'aller ouvrir la porte. Devant la porte en bois je baissa au maximum ma robe pour paraitre à peu près appraiter. Ma main se posa sur la poignet et la tourna doucement pour laisser la porte s'ouvrir délicatemment. Les personnes qui se tiennent devant moi on le sourire aux lèvres et ça leurs vont tellement bien. Je propose à mes invités d'entré avant même qu'ils ouvrent la bouche. Quin est le premier à entré, un pack de bière à la main, suivit de Sawn et Derreck qui, eux, sont accompagnés de leurs sacs à dos. Puis dans l'encadrement de la pièce se tient Seth, un assiette recouverte de papier aluminum à la main. Son regard percute le mien et je sens en moi une chaleur profonde. Celle que je ressens depuis que je suis redevenu à peu près humaine, celle que je ressens quand je suis proche des gens que j'aime. Il jette un coup d'oeil au plat et me regarde de nouveau.