Et comme le dit le proverbe, je ferais mieux de me "méfier de l'eau qui dort".
Nan mais sérieux, il m'énerve à me regarder comme ça. J'ai l'impression qu'il me sonde l'âme.
-Non mais arrête de me fixer tu m'énerve lui criais-je presque.
- Je te regarde comme je veux et puis arrêté de hurler car tu vas finir par te faire exclure mais après c'est ton problème me murmure t-il à l'oreille.
-Mais pour qui tu te prend, tu n'as pas à me dire ce que je dois faire. Et puis, je ne hurle pas, Ok. Alors maintenant tu vas arrêter de me fixer comme un psychopathe parce que tu fais vraiment peur à me fixer comme ça lui murmurais-je à mon tour (du moins c'est ce que je pensais).
A ce moment, je me rend compte que notre conversation a été suivis par toute la classe dont le professeur de maths qui nous fixe (Jack et moi) avec un sourire du genre serial kiler, je sais que j'abuse mais bon. Il a les yeux revolvers, il a le regard qui tu ... non je vais m'arrêter là car sinon ça va partir en cacahuète.
-Bon maintenant que Jack et la nouvelle ... eh Elena, ont fini leur dispute de vieux couple, on va pouvoir continuer le cours. Tandis que le vieux couple va aller faire un tour chez notre très sympathique principale Mme Millers car les enfantillages je n'en veut pas dans ma salle de classe finit-il de dire en criant.
Je range mes affaires sans oublier bien sûr de lancer un regard noir, ce qui n'échappe pas à mon merveilleux prof de maths (notez l'ironie).
-Dépêchez vous de sortir avant que je mettes des heures de colle parce que j'en ai râle le bol des élèves immatures. Que cela serve bien de leçon aux élèves qui sont pareils conclut-il en soulignant bien la dernière phrase.
Je sors ensuite ensuite de la salle accompagné de l'abruti de psycho ... oh non mais c'est bon j'ai trouvé, ce sera son nouveau surnom.
-C'est bon t'es fière de toi, tu as réussis à te faire remarquer et à nous faire virer de cours, je pense que tu as réussis ton coups me déclare t-il sur un ton de reproche.
-Tu crois sérieusement que j'avais prévu de me faire virer de cours dès ma première semaine, eh bien non, je n'ai rien prévu de tout ça OK. Après si tu ne veux pas me croire c'est ton problème lui expliquais-je en résistant à l'envie de plonger mon regard dans le sien.
Non Elena, tu ne dois pas le regarder dans les yeux, putain, il faut que tu résiste. N'oublies pas qui il est et ce qu'il est, car il pourrais te faire du mal ou même pire en faire à ta famille.
-Eh bien non, je ne te crois pas car comment croire une fille qui de un, est nouvelle, de deux, qui fait exprès de s'évanouir juste pour manquer le sport, et de trois, qui te fais te virer de cours avec elle en se faisant remarquer par la même occasion me réplique t-il.
-Qu'est ce que cela peux faire que je suis nouvelle, je ne suis pas pour autant un virus ou un machin dont on ne veut pas s'approcher. De plus, tu m'accuse d'avoir faint un malaise juste pour louper un cours de sport, mais pour qui me prends-tu et surtout pour qui TE prends-tu lui demandais-je.
Il allait répliquer lorsque nous arrivons devant le bureau de Mme Millers notre principale.
Nous sortons une heure plus tard du secrétariat car avant de pouvoir nous recevoir, Mme Millers a dû s'occuper de cas plus urgent en nous demandant de bien vouloir patienté, nous avons donc eût trois heures de colle en guise de punition avec un avertissement de la principale. Elle nous a bien fait comprendre que la prochaine fois qu'une tel chose se produirais, nous serions exclut 3 jours du lycée.
ELIPSE JUSQU'A LENDEMAIN MIDI
Je me retrouve a manger seul car Ana a un rendez vous cet après midi et que sa mère est donc venue la chercher pour qu'elles puissent manger ensemble ce midi, ce qui fait que je me retrouve donc toute seule à ma table.
Ah non attendez, j'ai parlé trop vite car je vois trois garçons faisant partis des populaires s'avancer vers moi. Je décide donc de faire style j'ai finis de manger car je pense que ce sont des curieux, ce qui est tout le contraire de Ana qui est une pipelette mais pas curieuse, au moins avec elle d'habitude je suis tranquille pour manger.
-Salut la nouvelle, alors on mange toute seule, tu sais nous on peut manger avec toi me dit un blond qui dois sûrement être le chef de leur trio.
-Non c'est bon, et puis de toute façon j'ai finis de manger alors vous pouvez y aller leur expliquais-je.
Il me regarde alors avec ce regard que je reconnais immédiatement, ça y est je comprend leur venue, ils ont donc compris eux aussi.
Je sors en vitesse de la cantine afin de les éviter mais je sais très bien que je ne pourrais pas les éviter éternellement alors autant profiter de ce répis aussi court soit il.
Je pars direction mon dernier cour de la journée qui est le cours de maths (n'oublions pas que comme aujourd'hui je finissait à 14h, eh bien après m'attende trois longues et interminables heures de colle avec l'abruti de psycho ... il lui va vraiment bien ce nom, je suis un génie pour trouver les surnoms à donner aux gens).
L'heure de cours se déroule sans encombre ce qui est étrange sachant que d'habitude il me fixe avec son regard de psychopathe. Et petit bonus, Ana est revenue de son rendez-vous ce qui fait que comme après c'est la récrée, on va enfin pouvoir se détendre et papoter au soleil.
Au soleil, m'exposer un peu plus, au soleil, Quand le cœur n'y est plus ... non mais faut que j'arrête de me faire des films à partir d'un rien parce que là je commence à me faire peur.
Je me dirige vers la cours lorsque je suis emporté par plusieurs paires de bras.
Nous arrivons dans les toilettes et là, je les vois. Oh non pas eux!
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Ma vie de vampire
Teen FictionAvoir 200 ans et devoir en paraître 16, ce n'est pas une mince affaire. Mais Elena doit pourtant se résoudre à vivre pour la première fois de sa vie de vampire avec des mortelles. Et si en plus de ça vous rajouter quelques contre-temps, alors vous a...