La douceur de ton corps

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Je n'avais, non jamais, ressenti autrefois
La douceur de ton corps désireux, curieux
De goûter, d'apprendre, connaître et découvrir.
Ô mon jeune éphèbe, tout ne tient rien qu'à toi,
Qu'en tremblent mes jambes, mon cœur, mon corps, mon Dieu !
Me semble-t-il bel et bien t'aimer fort, mon sire.

Ces griffes qui m'ont tant lacéré tout le dos
N'ont-elles en vérité que laissé mis à jour,
Au grand jour, l'antre de mon âme, dépréciée
Par mes maîtres-martyrs : dépression et drapeaux
Blancs par la rupture du combat de l'amour
(Vital au demeurant) me sentant sans alliés.

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